Après le Crédit agricole qui l’a projette comme une future puissance économique
En l’espace de quelques semaines, l’économie nationale vient de gagner d’énormes points auprès de hautes instances occidentales. En effet, après une étude approfondie qui a été menée par la banque française, le Crédit Agricole, concluant sur les capacités de l’Algérie de se placer, à moyen terme, parmi les puissances économiques mondiales, c’est au tour de la banque d’affaires allemande, Deutsche Bank, de publier récemment une nouvelle étude où il a été clairement fait part des capacités de l’économie nationale en soulignant que “ l’Algérie est en passe de devenir une puissance énergétique et économique de premier plan dans la région du Maghreb ”. Dans les conclusions arrêtées dans l’étude des experts de la prestigieuse banque allemande, il a été fait référence aux nombreux projets non moins ambitieux que le gouvernement vient d’engager dans le secteur énergétique. Ainsi, les économistes de la Deutsch Bank ont pris comme premier indice confirmant la bonne santé de l’économie nationale, la production pétrolière qui est en passe d’atteindre prochainement, à partir de l’année 2010, les deux millions de barils par jour, alors qu’actuellement elle est de 1,3 million b/j. Ceci au moment où la production gazière, elle, est projetée sur un volume de 85 milliards de m3 à court terme, selon les économistes de l’institution bancaire allemande. Ces progressions, notent également la même étude, permettra de renflouer les caisses de l’Etat et aussi de renforcer les finances publiques, particulièrement les projets d’investissement lourds inscrits au programme du gouvernement ces quatre dernières années. L’autre indice ayant permis aux experts de la banque d’affaires allemande de conclure à l’émergence de l’économie nationale consiste en la croissance de l’économie “ stimulée par une nette progression du PIB (produit intérieur brut), avec un taux moyen de 5% annuellement pour les années à venir ”. En outre, il y a lieu de mentionner qu’en plus des indices macroéconomiques, qui s’orientent de plus en plus vers une tendance positive, il y a également la politique de redéploiement et le processus de réformes multidimensionnelles que, le gouvernement a prônés ces dernières années, qui sont à l’origine de l’intérêt que les instances internationales et les capitales étrangères accordent désormais à l’Algérie. Peu avant la banque d’affaires allemande, une étude menée par la banque française, le Crédit Agricole, a conclu que l’économie algérienne est en passe de devenir une puissance mondiale dans quelques années, en l’inscrivant parmi les 13 nouveaux dragons de la planète, aux côtés de la Chine, de l’Inde et du Brésil. Dans la zone euro-méditerranéenne, l’Algérie est la seule économie régionale avec la Turquie à gagner de bons points aux yeux des experts de la banque française. En effet, après avoir attesté du caractère dynamique de l’économie algérienne, l’étude du Crédit Agricole précisait, rappelle-t-on, que l’Algérie s’apprête à affronter dans les années à venir des défis d’ordre, entre autres, bancaire et financier, politique et social, énergétique et environnemental, démographique et hydraulique. Une fois maîtrisés, ces facteurs permettront largement au pays de sortir du lot et de se distinguer remarquablement parmi les économies de la rive sud de la Méditerranée.
- Le Maghreb
En l’espace de quelques semaines, l’économie nationale vient de gagner d’énormes points auprès de hautes instances occidentales. En effet, après une étude approfondie qui a été menée par la banque française, le Crédit Agricole, concluant sur les capacités de l’Algérie de se placer, à moyen terme, parmi les puissances économiques mondiales, c’est au tour de la banque d’affaires allemande, Deutsche Bank, de publier récemment une nouvelle étude où il a été clairement fait part des capacités de l’économie nationale en soulignant que “ l’Algérie est en passe de devenir une puissance énergétique et économique de premier plan dans la région du Maghreb ”. Dans les conclusions arrêtées dans l’étude des experts de la prestigieuse banque allemande, il a été fait référence aux nombreux projets non moins ambitieux que le gouvernement vient d’engager dans le secteur énergétique. Ainsi, les économistes de la Deutsch Bank ont pris comme premier indice confirmant la bonne santé de l’économie nationale, la production pétrolière qui est en passe d’atteindre prochainement, à partir de l’année 2010, les deux millions de barils par jour, alors qu’actuellement elle est de 1,3 million b/j. Ceci au moment où la production gazière, elle, est projetée sur un volume de 85 milliards de m3 à court terme, selon les économistes de l’institution bancaire allemande. Ces progressions, notent également la même étude, permettra de renflouer les caisses de l’Etat et aussi de renforcer les finances publiques, particulièrement les projets d’investissement lourds inscrits au programme du gouvernement ces quatre dernières années. L’autre indice ayant permis aux experts de la banque d’affaires allemande de conclure à l’émergence de l’économie nationale consiste en la croissance de l’économie “ stimulée par une nette progression du PIB (produit intérieur brut), avec un taux moyen de 5% annuellement pour les années à venir ”. En outre, il y a lieu de mentionner qu’en plus des indices macroéconomiques, qui s’orientent de plus en plus vers une tendance positive, il y a également la politique de redéploiement et le processus de réformes multidimensionnelles que, le gouvernement a prônés ces dernières années, qui sont à l’origine de l’intérêt que les instances internationales et les capitales étrangères accordent désormais à l’Algérie. Peu avant la banque d’affaires allemande, une étude menée par la banque française, le Crédit Agricole, a conclu que l’économie algérienne est en passe de devenir une puissance mondiale dans quelques années, en l’inscrivant parmi les 13 nouveaux dragons de la planète, aux côtés de la Chine, de l’Inde et du Brésil. Dans la zone euro-méditerranéenne, l’Algérie est la seule économie régionale avec la Turquie à gagner de bons points aux yeux des experts de la banque française. En effet, après avoir attesté du caractère dynamique de l’économie algérienne, l’étude du Crédit Agricole précisait, rappelle-t-on, que l’Algérie s’apprête à affronter dans les années à venir des défis d’ordre, entre autres, bancaire et financier, politique et social, énergétique et environnemental, démographique et hydraulique. Une fois maîtrisés, ces facteurs permettront largement au pays de sortir du lot et de se distinguer remarquablement parmi les économies de la rive sud de la Méditerranée.
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