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La Centrale estime que M.Bouteflika doit parachever le processus de développement national.
Le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta), Abdelmadjid Sidi Saïd, fraîchement réélu à la tête de la Centrale syndicale, n’est pas un rêveur. On peut lui reprocher tout sauf de tergiverser quand il s’agit d’exprimer son avis sur la révision de la Constitution.
Il le dit haut et fort: «Nous sommes pour la révision de la Constitution et nous soutenons de manière indéfectible le président Bouteflika.» Et ce ne sont pas les arguments qui manquent à Sidi Saïd. Le plus puissant d’entre ses arguments est que son syndicat opte pour la stabilité «dont le pays a tant besoin».
Hier, s’adressant au chef de l’Etat au nom du 11e congrès, Sidi Saïd l’a sollicité pour se porter candidat à un nouveau mandat présidentiel pour «parachever le processus de développement national global et consolider la Réconciliation nationale». Ainsi, l’Ugta a réaffirmé de la manière la plus claire son appui et son «soutien indéfectible» au président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui oeuvre «pour une Algérie de paix, forte et prospère».
Pour expliciter cette position, la lettre de Sidi Said souligne: «Nous sommes profondément conscients de nos responsabilités quant à la nécessité de suivre une démarche fondée sur le dialogue et la concertation, comme vous pouvez compter sur notre pleine adhésion au processus de réforme». Une réforme conduite avec «maîtrise et efficacité, et qui s’avère être une condition fondamentale à la transformation de la sphère économique et sociale», a écrit Sidi Saïd dans un message adressé, au nom des congressistes, travailleuses et travailleurs, au chef de l’Etat à l’occasion de la tenue du 11e congrès de l’Ugta.
«Conscients et rassurés de votre écoute et de votre disponibilité, les travailleuses, les travailleurs et la direction nationale de l’Ugta tiennent à vous exprimer leur engagement et vous témoignent leur soutien indéfectible à la réalisation de votre noble mission pour une Algérie de paix, forte et prospère», a ajouté Sidi Saïd à l’adresse du chef de l’Etat.
L’Ugta, fidèle à ses traditions, a-t-il souligné, «ne ménagera aucun effort pour participer de façon active aux côtés de ses partenaires aux actions qui sont menées face aux grands enjeux de l’heure, particulièrement les défis majeurs de la mondialisation».
«Notre 11e congrès vous réitère son soutien indéfectible et son appui sans faille aux différents programmes de développement lancés par les pouvoirs publics sous votre haut patronage et confirme l’adhésion de notre organisation syndicale, de ses cadres et des travailleuses et travailleurs dans ce processus général dont les contours sont déterminés par votre honorable personne visant à maintenir l’Algérie sur les rails de la stabilité, du développement économique et du progrès social», a-t-il soutenu.
Le 11e congrès, poursuit le secrétaire général de l’Ugta, «réaffirme son soutien et son appui à la Réconciliation nationale que les congressistes considèrent comme le moyen le plus civilisé et le plus réaliste pour recouvrer la paix par le pansement des blessures et l’amélioration de l’image de l’Algérie».
R.N-l'expréssion-
Le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta), Abdelmadjid Sidi Saïd, fraîchement réélu à la tête de la Centrale syndicale, n’est pas un rêveur. On peut lui reprocher tout sauf de tergiverser quand il s’agit d’exprimer son avis sur la révision de la Constitution.
Il le dit haut et fort: «Nous sommes pour la révision de la Constitution et nous soutenons de manière indéfectible le président Bouteflika.» Et ce ne sont pas les arguments qui manquent à Sidi Saïd. Le plus puissant d’entre ses arguments est que son syndicat opte pour la stabilité «dont le pays a tant besoin».
Hier, s’adressant au chef de l’Etat au nom du 11e congrès, Sidi Saïd l’a sollicité pour se porter candidat à un nouveau mandat présidentiel pour «parachever le processus de développement national global et consolider la Réconciliation nationale». Ainsi, l’Ugta a réaffirmé de la manière la plus claire son appui et son «soutien indéfectible» au président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui oeuvre «pour une Algérie de paix, forte et prospère».
Pour expliciter cette position, la lettre de Sidi Said souligne: «Nous sommes profondément conscients de nos responsabilités quant à la nécessité de suivre une démarche fondée sur le dialogue et la concertation, comme vous pouvez compter sur notre pleine adhésion au processus de réforme». Une réforme conduite avec «maîtrise et efficacité, et qui s’avère être une condition fondamentale à la transformation de la sphère économique et sociale», a écrit Sidi Saïd dans un message adressé, au nom des congressistes, travailleuses et travailleurs, au chef de l’Etat à l’occasion de la tenue du 11e congrès de l’Ugta.
«Conscients et rassurés de votre écoute et de votre disponibilité, les travailleuses, les travailleurs et la direction nationale de l’Ugta tiennent à vous exprimer leur engagement et vous témoignent leur soutien indéfectible à la réalisation de votre noble mission pour une Algérie de paix, forte et prospère», a ajouté Sidi Saïd à l’adresse du chef de l’Etat.
L’Ugta, fidèle à ses traditions, a-t-il souligné, «ne ménagera aucun effort pour participer de façon active aux côtés de ses partenaires aux actions qui sont menées face aux grands enjeux de l’heure, particulièrement les défis majeurs de la mondialisation».
«Notre 11e congrès vous réitère son soutien indéfectible et son appui sans faille aux différents programmes de développement lancés par les pouvoirs publics sous votre haut patronage et confirme l’adhésion de notre organisation syndicale, de ses cadres et des travailleuses et travailleurs dans ce processus général dont les contours sont déterminés par votre honorable personne visant à maintenir l’Algérie sur les rails de la stabilité, du développement économique et du progrès social», a-t-il soutenu.
Le 11e congrès, poursuit le secrétaire général de l’Ugta, «réaffirme son soutien et son appui à la Réconciliation nationale que les congressistes considèrent comme le moyen le plus civilisé et le plus réaliste pour recouvrer la paix par le pansement des blessures et l’amélioration de l’image de l’Algérie».
R.N-l'expréssion-
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