Quand la nuit s’efface et que je passe
Qund le mot de passe efface tous les regrets
Quand le jour se lasse de se vouloir parfait
Quand le fait est là
Comment penser s’effacer
Nul regret de dire mes pensées
De danser tendrement enlancé
Des mots qui croisent et qui décroisent
Mes idées
Mots enchevêtres dans une toile d’araignée
Mots d'amour tendrement nichés
Mots qui passent sans jamais se défiler
Et pourtant si un instant
J’ai saisi le mot élancé
Une volute en forme de baiser
Qui subrepticement voulait se cacher
L’insolent voulait t’embrasser
Embrasser ton rire aux couleurs d’été
Ironique et frais comme la rosée
Contourner les rives éloignées
Accrocher le corail qui frémissait
Enivré par la douceur de l'instant
Le mot je crois s'est finalement
posé à tes pieds
Comme un sceau sur une lettre adorée
et s'est endormie sans l'ombre d'un regret.
Mot toujours à l'ombre prisonnier
Du bonheur de toujours t'adorer.
morjane
11/04/08
Qund le mot de passe efface tous les regrets
Quand le jour se lasse de se vouloir parfait
Quand le fait est là
Comment penser s’effacer
Nul regret de dire mes pensées
De danser tendrement enlancé
Des mots qui croisent et qui décroisent
Mes idées
Mots enchevêtres dans une toile d’araignée
Mots d'amour tendrement nichés
Mots qui passent sans jamais se défiler
Et pourtant si un instant
J’ai saisi le mot élancé
Une volute en forme de baiser
Qui subrepticement voulait se cacher
L’insolent voulait t’embrasser
Embrasser ton rire aux couleurs d’été
Ironique et frais comme la rosée
Contourner les rives éloignées
Accrocher le corail qui frémissait
Enivré par la douceur de l'instant
Le mot je crois s'est finalement
posé à tes pieds
Comme un sceau sur une lettre adorée
et s'est endormie sans l'ombre d'un regret.
Mot toujours à l'ombre prisonnier
Du bonheur de toujours t'adorer.
morjane
11/04/08
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