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Maroc : manifestations et grèves contre la vie chère et les attaques du gouvernement.

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  • Maroc : manifestations et grèves contre la vie chère et les attaques du gouvernement.

    Dans le monde
    Maroc : manifestations et grèves contre la vie chère et les attaques du gouvernement.
    Depuis plusieurs mois, les protestations de la population contre la vie chère se font régulièrement entendre dans de nombreuses villes du Maroc. À cela est venu s'ajouter, début avril, un mouvement de mécontentement des travailleurs du transport et des employés de la Fonction publique.

    Parti de Rabat en septembre dernier d'une manifestation contre la hausse du tarif des transports en commun, le mouvement de protestation contre la cherté de la vie, et en particulier contre les hausses de l'eau potable et de l'électricité, s'est fait entendre dans de nombreuses villes du pays, comme Khénifra, Khémisset, Casablanca et dans des localités plus petites.

    Près de 70 « coordinations contre la vie chère » mobilisent chaque semaine ou même chaque mois, au moment de payer les factures, des dizaines, des centaines, et parfois - lors de journées de rassemblement - des milliers de gens modestes, dont beaucoup de femmes, directement confrontées au casse-tête de la fin de mois. Les manifestations, les sit-in, se déroulent devant les locaux de l'ONEP (Office national de l'eau potable), des entreprises concessionnaires Lydec ou Redal, ou, à défaut, devant les sièges des autorités administratives. Commment, en effet, faire face à une facture d'eau et électricité de 1 200 dirhams quand on gagne, comme beaucoup de travailleurs, autour de 600 dirhams (moins de 60 euros) ?

    D'autres mouvements se sont déroulés, dans le secteur des transports, à la suite de l'annonce par le gouvernement d'un durcissement du code de la route qui se traduirait par d'énormes amendes et des peines de prison. À la différence des organisations patronales de transporteurs, désireuses de négocier des aménagements avec le ministère des Transports, l'Union syndicale du transport routier, affiliée au syndicat ouvrier UMT, a appelé les 3 et 4 avril derniers à un mouvement de grève concernant particulièrement les chauffeurs de cars, de camions et de petits taxis. Ce sont les travailleurs du secteur qui feraient les frais du nouveau code, alors que, dans leurs conditions de travail, ils sont déjà pénalisés par l'état des infrastructures routières. Et leur mouvement, qui s'est poursuivi plusieurs jours, a démontré leur refus de cette situation, tandis que des salariés des installations portuaires, des chemins de fer et du transport aérien étaient à leur tour appelés à des mouvements de grève.

    Alors que des répercussions se faisaient sentir sur l'approvisionnement des stations service et des magasins d'alimentation, ce sont les employés des collectivités locales et de la fonction publique qui à leur tour ont fait grève souvent nombreux, pour revendiquer, entre autres, une augmentation des salaires et des retraites, et exiger le respect des droits syndicaux.

    Viviane LAFONT.

    http://www.lutte-ouvriere-journal.or...num=2019&id=37

    Mon voisin qui es marocain ma dit qu'il y a actuellement une montée de colère dans la population alors que sur le forum je lis que le maroc avance a grand pas! qui croire...
    Dernière modification par k-rim74, 12 avril 2008, 00h37.

  • #2
    http://fr.youtube.com/watch?v=PKI0MNQWdCk

    http://fr.youtube.com/watch?v=DCdc4r4eHc4

    C'est chaud! Mais ils on raisons de manifester

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    • #3
      les deux doivent être Vrai.......

      pour les manifestation c'est sûr la cherteté de la vie mais ça c'est un probléme international et pas que marocain.......

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      • #4
        Il ne faut pas etre naif.Dire que le Maroc ou un autre pays est en etat de mache ,ne veut pas dire que toute la nation a sa part du gateau.Beaucoup de gens reste sur la marge.Regardez l'exemple de la chine qui est la chamipionne dans le domaine,l'afrique du sude ,l'inde le bresil toutes ces grandes nation ont de tare et leur faiblesse..;Ici en France meme, les gens n'y arive plus et la pauvreté sevit à grde echelle ,les gens ont une amertume apparente..je suis commerçant et je sais de quoi je parle..a part Mr Sarkozy qui a triplé son salaire... et qui voyage à l"'oeil .Chez nous aussi il y a des gens qui mangent et qui mangent tout ,ils vont manger tout le Maroc ,comme en Algerie ou en Egypte
        Coucher du soleil à Agadir

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        • #5
          ceux qui prenne le site lutte ouvrière, pour un site sérieux et objective doivent retourner à l'école.

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          • #6
            600 dirhams le salaire mensuel ???

            même dans les montagnes reculées, le salaire journalier est au minimum 50 dirhams par jour.
            ce chiffre est fantaisiste.


            Pour la montée du mécontentement, c'est totalement vrai, le pouvoir d'achat baisse.
            Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

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            • #7
              oushun
              ceux qui prenne le site lutte ouvrière, pour un site sérieux et objective doivent retourner à l'école.
              Donc pour toi l'article raconte n'importe quoi... tu a peut être raison il faut retourner a l'école tu nous donnera les nom d'école ou tu est allez pour les éviter je suppose que les vidéos aussi ne son pas crédible et puis mon voisin aussi délire même si il revient du maroc...

              Mobilisations et répression au Maroc

              Contre la hausse des prix des produits de première nécessité dans son pays, la population marocaine a manifesté fin septembre 2007 à l’appel de l’AMDH (l’Association marocaine des droits humains) et la Coordination nationale de lutte contre la vie chère et la détérioration des services publics. Bouarfa, Errachidia, Guercif, Rabat, Sefrou, Khénifra, Tata, Missour, les villes sont nombreuses à avoir participé au mouvement, fin septembre ou début octobre.


              http://www.collectif-rto.org/spip.ph...e=0#sommaire_8

              A quand le DAILY OUSHUN NEWS

              Temsamani
              pour les manifestation c'est sûr la cherteté de la vie mais ça c'est un probléme international et pas que marocain.......
              Malheureusement tu as raison mais le plus grave c'est que d'après les experts ce n'est que le début.
              L'Inde, gros exportateur de riz, a décidé de garder sa production pour les besoins de sa population.
              A cela, vient s'ajouter que de plus en plus de cultivateurs décident de passer dans la culture pour le biocarburant, plus rentable selon eux.
              Bien évidement la chute du dollar...
              Plus de consommation des pays en voie de développement pour qui les classes moyennes se sont créées avec une augmentation du pouvoir d'achat et donc de la consommation (exemple la Chine)

              Donc OUI pour dire STOP au business qui fait mourir des gens chaque jour...

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              • #8
                ceux qui prenne le site lutte ouvrière, pour un site sérieux et objective doivent retourner à l'école.
                exact ceux qui les prennet au sérieux devrait aussi lire ca :

                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...48#post1405948
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                • #9
                  Confrontée à la flambée mondiale du coût de la nourriture, l'ONU se prépare au pire. "Une des inquiétudes majeures est la possibilité que l'ensemble du système d'aide alimentaire d'urgence soit incapable de faire face", prévient une note interne de l'ONU dont Le Monde a obtenu une copie. Elle recommande la mise sur pied de "plans d'urgence spécifiques pour répondre aux besoins des populations urbaines", jusque-là peu touchées par la malnutrition.


                  D'après ce document de travail, la hausse des prix, qui pourrait se révéler non pas passagère mais "structurelle", risque de plonger dans l'"insécurité alimentaire" des millions de personnes. Et la communauté humanitaire manquera de moyens et d'expertise pour leur porter secours.

                  Selon le "mémo" de neuf pages produit par le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), l'ONU devra répondre aux besoins de "nouveaux groupes de population" à un moment où il y aura "moins de nourriture à distribuer". Pour cause d'augmentation des prix des aliments et de l'énergie, les agences humanitaires reçoivent moins de dons en nature et doivent dépenser plus pour acheter de la nourriture et la distribuer.

                  Parmi les défis qui attendent l'ONU et qui ne doivent pas être sous-estimés, figure aussi le durcissement de crises locales causé par des "émeutes de la faim", comme celles qui ont secoué l'Egypte, la Mauritanie, le Mexique, le Maroc, la Bolivie, le Pakistan, l'Indonésie, la Malaisie...
                  Ces troubles pourraient imposer "des interventions humanitaires hautement délicates" notamment en termes "de ciblage et de distribution", dans des périodes d'agitation et d'instabilité.

                  La réflexion onusienne s'appuie notamment sur des données du Fonds international de développement agricole (FIDA), une agence de l'ONU selon laquelle, pour chaque augmentation de 1 % du prix des denrées de base, 16 millions de personnes supplémentaires sont plongées dans l'insécurité alimentaire. Cela "signifie que 1,2 milliard d'êtres humains pourraient avoir chroniquement faim d'ici à 2025 ; 600 millions de plus que précédemment anticipé", prévient le document. Parmi les pays en première ligne : l'Erythrée, la Sierra Leone, Madagascar, Haïti, la Géorgie, le Burundi ou le Zimbabwe.

                  Selon cette analyse, bien que la flambée des prix alimentaires soit en partie due à des facteurs temporaires, la concomitance de "prix records de la nourriture" et de "productions agricoles record" est "une indication forte" que les prix resteront durablement élevés. D'autant plus que les facteurs de long terme, tels que l'augmentation de la population mondiale, la richesse croissante de pays tels que l'Inde, la Chine ou le Brésil (où l'on consomme plus de viande, et donc de grains pour le bétail), ainsi que la pénurie des ressources naturelles suggèrent "la possibilité d'un changement structurel, plutôt que simplement cyclique".

                  Bien que les groupes les plus vulnérables se trouvent traditionnellement dans des zones rurales, la nouvelle crise risque, selon l'OCHA, "d'avoir un impact important sur les pauvres en milieu urbain".

                  Le phénomène a commencé au Pakistan, où plus d'un tiers des 56 millions de citadins sont considérés comme vivant dans une situation "d'insécurité alimentaire". Selon la note, le défi, pour les organisations d'aide alimentaire, sera de s'adapter à "la nature mouvante des mécanismes de débrouille en milieu urbain", alors qu'elles n'ont qu'une "expérience limitée" dans cet environnement.

                  Pour faire face, l'ONU devra aussi, selon l'étude de l'OCHA, envisager "des interventions alternatives", telles que la distribution d'argent liquide, de bons alimentaires, ou la mise en place de "filets de secours sociaux".

                  Le déblocage de fonds d'urgence pour l'achat de bétail, de semences ou d'outils agricoles pourrait aussi se révéler indispensable. Mais les Nations unies disposent d'une expertise toute relative dans ces domaines, ce qui est, selon la note, une "source de vulnérabilité majeure".

                  Jusqu'à présent, les modèles d'analyse de l'ONU se sont rarement appliqués à "des situations où il y a de la nourriture, mais où les gens n'ont pas de quoi se la payer", relève le document. Le bureau de la coordination de l'aide humanitaire envisage donc d'encourager l'étude des effets du fonctionnement des marchés mondiaux sur la malnutrition.

                  L'ONU pourrait par ailleurs aider les gouvernements touchés à trouver "les bonnes réponses". Cela pourrait passer par l'adoption d'une posture claire sur la question de la reconversion de terres agricoles pour produire des biocarburants. Cette tendance nouvelle a été qualifiée de "crime contre l'humanité", en octobre 2007, par Jean Ziegler, alors rapporteur des Nations unies sur le droit à l'alimentation, mais ni l'ONU ni ses agences humanitaires ou environnementales n'ont adopté de position définitive sur la question.

                  Philippe Bolopion, le monde
                  le monde en parle aussi, alors qui croire?

                  Moi perso, je préfère ecouter el zmagra marocains qui ne connaissent que les bons cotés du maroc et qui pensent certainment que tous les marocains vivent comme eux quand ils y descendent les poches pleines d'euro .
                  Rabhine n'katlokoum, wo Rhassrine n'katlokoum... Tahia JSD !!! même si souvent, elle deconne vraiment!!! enfin tout le temps même...

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                  • #10
                    k-rim74

                    pour toi, les sites d'extrême gauche sont objectif et neutre
                    Tu veux savoir quel école j'ai fait, je vais te dire, j'ai obtenu une licence en économie à l'université libre de bruxelles et une maitrise à la louvain school of management en belgique et toi tu as fait tes études où? à l'université sidi bahloul d'alger à moins que tu sois une racaille en france.

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                    • #11
                      Commment, en effet, faire face à une facture d'eau et électricité de 1 200 dirhams quand on gagne, comme beaucoup de travailleurs, autour de 600 dirhams (moins de 60 euros) ?
                      600 Dirhams = 60 Euros =...6000 Dinars Algériens.

                      Voilà comment les fonfaronnades cessent de claironner et que la réalité est mise à nu.

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                      • #12
                        non non mendz c'est pas 60euros mais 6euros le smig marocains !!!!

                        Commentaire


                        • #13
                          tt l mond

                          je ne vois pas en quoi cet article pt il offusquer certains qui n'attendent que la moindre mauvaise nvlle de leur voisin de l'ouest
                          au lieu de vs acharner sur lui, faites qlq choses ds votre pays
                          au moins la societe civile marocaine bouge, les journaux aussi,
                          loin de toute subjectivité, qd je vois que echourouk et alkhbar sont des journaux des plus vendus en algerie ( un jour, on pourrai trouer ds ces journaux le nombre de chien morts au maroc), je me pose la question sur la capacité des gens la bas a analyser les choses
                          voir echourouk d'hier (article sur les evades de la prison de kenitra): et surtout regardez les commentaires


                          3eshra fi 39el, hada houa hal........
                          llah yehdina hetta yddina

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                          • #14
                            Envoyé par Temsamani
                            non non mendz c'est pas 60euros mais 6euros le smig marocains !!!!
                            Je suis désolé, mais entre ce qui est décreté officiellement et la réalité du terrain y a un énnorme fossé.

                            Le gouvernement marocain peut déclarer meme un smig à 1200 euros et un taux de chomage de 5% pour faire joli, et plus pompeux, mais ça n'ajoutera rien au pauvre ouvrier marocain qui restera toujours payé à 60 euros.

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                            • #15
                              60euros tu peux même pas loué un appart pour le mois alors revoi ta copie un peu . le smig c 50dh par jours minmum .......tu aura ka faire le compte !!!

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