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Guéguerre entre les Fassis et les Soussis

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  • Guéguerre entre les Fassis et les Soussis

    Un article qui vaut ce qu'il vaut. Plein de beaucoup de préjugés et un tas d'âneries inaceptables. Peut-il en être autrement avec Tel Quel ? Pour preuve : peut-on considérer Aknouch comme soussi ? Son père oui, il l'était, mais pas lui qui ne parle pas un mot de tamazight. Les gens du Souss le considèrent plus que comme un parfait étranger, un arabo-makhzenien pur jugs parachuté par ce même Makhzen amazighophobe et raciste pour fructifier ses bonnes affaires.

    Pour finir, un mot quand même sur le festival Timitar. Il n'est absolument pas amazigh. Beaucoup d'artistes amazighes et non des moindes n'y sont jamais invités. Par contre, beaucoup de baâthistes y ont leur place de choix. Régulièrement.

    Bizarrement, lorsqu'un festival est organisé dans les régions amazighs, on y trouve toujours des Arabes, à gogo. Mais un festival arabe organisé à Rabat dernièrement, aucun artiste amazigh n'y a été invité. Mawazine par exemple....


    Fassis vs Soussis. Histoire d’une rivalité


    (TNIOUNI / NICHANE)

    Ils ont la bosse du commerce, le sens des affaires, l’esprit d’entreprise et une loyauté sans faille à leurs origines. Ils se ressemblent, mais jamais ne s’assemblent. Fassis et Soussis sont au contraire les meilleurs ennemis du monde… ou en tout cas du Maroc.


    Qui n'a pas ri de l'avarice supposée des Soussis ? Qui n'a pas plaisanté de la préciosité qu'on attribue aux Fassis ? Ces images d'Epinal ne sont pourtant pas que de simples clichés. En arrière-fond, c'est une rivalité économique qui les a dessinées à gros traits. C'est un clash commercial
    qui les fait perdurer… Négociants soussis et fassis se regardent en chiens de faïence depuis toujours. Ils ont chacun son périmètre sacré, où l'autre n'est pas le bienvenu.

    “Des commerçants soussis achètent des kissariates entières qu'ils réservent aux commerçants originaires de leur région”, raconte un intermédiaire casablancais. Un fait de guerre, en 2008, dans un conflit déjà bien avancé dans les années 30, époque où les Soussis partaient à la conquête des villes. Un concept de commerce d'un nouveau style dans la besace : l'épicerie. “Les épiceries ont servi de tremplin à une conquête de toutes les branches du commerce moderne. Cette progression s'est faite vers les restaurants, les boulangeries, les hôtels, les magasins de chaussures et de vêtements”, énumère le chercheur Hassan Zaoual, pour résumer la percée des Soussis dans les lignes fassies. Le commerce était chasse gardée, l'offensive a eu le même effet qu'un chien dans un jeu de quilles : “La promotion sociale des Soussis, par le biais du commerce, leur permet de faire bonne figure à côté des grandes familles aristocratiques qui ont exercé de façon presque héréditaire l'administration makhzen et le haut commerce”, écrit l’historien Mohamed Benhlal (Le collège d’Azrou, formation d’une élite berbère civile et militaire, 1927-1959).

    Aux origines du conflit, une affaire de négoce. A l'arrivée, quelques coups de canon retentissants : “Une rumeur a circulé après le tremblement de terre d'Agadir en 1960. Elle disait que c'était un châtiment divin pour punir les marchands soussis qui vivaient dans l'opulence”, raconte un historien. Un tsunami avant l'heure, acte de guerre comme un autre, ponctuant la compétition que se livrent Fassis et Soussis à qui sera le meilleur “commercial du Maroc”.

    La finance, le dernier bastion
    Un premier métier, le négoce, dont chacun s'est éloigné après l'indépendance pour diversifier ses activités vers des secteurs plus lucratifs. Le Maroc était à construire, il y avait des chantiers, des secteurs à conquérir. Tous l'ont été ou presque par le capital soussi. Sauf un, le plus important : la maîtrise des capitaux. “Une Française en mission au Maroc, au siège de Wafabank, était convaincue que Bennani signifiait Monsieur, quand elle a découvert que ce nom précédait le prénom de beaucoup de membres du staff de la banque”.

    L'anecdote est presque trop belle pour être vraie, mais racontée par un homme d'affaires soussi, elle est révélatrice d'un dépit face à ce bastion imprenable qu'est la finance. Mais pas de quoi se fâcher à mort entre grands patrons. La CGEM (le syndicat des patrons) n'est plus depuis longtemps un temple inviolable du capital d'origine fassie. Les grands entrepreneurs du Souss y ont voix au chapitre. Pas forcément pour élever le ton. Bien au contraire, les conversations seraient plutôt feutrées car on y cause business avant tout, Selon un ancien de la CGEM, il existerait même une complémentarité entre les deux forces en présence : “Les affaires où s'associent des hommes d'affaires soussis et fassis sont toujours bonnes car ils partagent les mêmes valeurs : le travail et l'idée que l'argent doit faire de l'argent”. Et les mêmes gouvernements aussi.

    Vox populi, quand tu nous tiens
    “Nous avons ressenti la composition du gouvernement Abbas El Fassi comme une continuation de la domination fassie. La nomination d'Akhannouch au ministère de l'Agriculture n'est qu'une caution, une façon de calmer l'agitation politique dans le Souss”, résume, lapidaire, un militant soussi d'Agadir. Un sentiment tenace qui part de la base pour rejoindre les sommets : “Les jours de l'Aïd, les réunions de la famille El Fassi doivent ressembler à un Conseil de gouvernement”, plaisante cet entrepreneur soussi. Le gouvernement est-il trop arabiste pour les militants formés à l'école de la dialectique amazighe ? Ou peut-être tout bonnement trop fassi pour l'épicier du coin ou le chauffeur de taxi. Car un Jettou, par exemple, était presque porté aux nues par la rue soussie alors qu'El Fassi est détesté par les mêmes . Un entrepreneur amazigh ayant fait fortune dans la chaussure contre un politicien nourri au biberon de l'Istiqlal ? Ici, l'origine des deux a retenu l'attention plus que le vieux débat entre ministres technocrates et ministres politiques : “Beaucoup des ministres nommés ont été choisis pour leur maîtrise technique. L'impression d'une représentation excessive de fassis est trompeuse. C'est juste un retour sur investissement dans les études de haut niveau, une constante dans la culture de l'élite fassie”, nuance un membre du parti de Abbas El Fassi. Mais rien n'y fait, la rancœur remonte à loin.

    Istiqlal, le grand méchant loup des Soussis
    L'inimitié des Soussis pour le parti de Abbas El Fassi trouve son origine à la fin du protectorat : “Dès les premières années de l'indépendance, les commerçants chleuhs de Casablanca se détachent du Parti de l'Istiqlal derrière lequel ils ressentent trop souvent la présence de leurs concurrents fassis”, écrit Rémy Leveau (Le fellah marocain, défenseur du trône). “Ce qu’on présentait comme une opposition entre Fassis et Soussis n’a pris corps qu’après l’Indépendance, et elle cachait en fait les luttes pour l’édification de l’Etat national”, précise l'historien Mustapha Bouaziz. A une époque où les cartes du jeu politique sont redistribuées, les riches soussis investissent à gauche dans l'UNFP de Mehdi Ben Barka, parti sorti des entrailles de l'Istiqlal dans les années 50. C'est une manière pour eux de sublimer leur réussite économique qui trouve porte close à l'Istiqlal. “Agadir était un fief de l'UNFP à cette époque”, signale à ce propos Mustapha Bouaziz.

    Sur le plan économique, les entrepreneurs soussis prennent aussi d'assaut les chambres de commerce afin de faire contrepoids aux relais politiques des Fassis.
    Le Tamazgha, c'est la terre des Amazighs.

  • #2
    La rhétorique est clairement anti-Istiqlal dans les discussions d'hommes d'affaires soussis influents. Haj Ahmed Oulhaj Akhannouch, le fondateur du groupe Akwa et père de l'actuel ministre de l'Agriculture, lance sa propre formation politique à la fin des années 70 : le Parti de l'Action. Une réaction au trust fassi sur les portefeuilles ministériels.

    Les histoires d'amour finissent mal en général
    “Les Soussis étaient très agacés par les gouvernements qui se succédaient depuis l'indépendance et où les Fassis se taillaient la part du lion”, contextualise un acteur politique de l'époque. Un doux euphémisme puisque, selon une étude de la politologue Amina El Messaoudi, dans les gouvernements constitués de 1955 à 1985, 61,9% des ministres étaient Fassis. Pourtant, la rivalité entre Soussis et Fassis n'a pas toujours bercé la vie politique marocaine. L'historien Mustapha Bouaziz est catégorique : “Dans les années 1920 et 1930, le travail se faisait en commun au sein du mouvement national. à l'époque, les deux associations nationalistes créées au sein de l'université Al Qarawyine à Fès étaient dirigées par le grand alem Mokhtar Soussi (plus soussi, tu meurs) pour la branche culturelle, et par Allal El Fassi (plus fassi, tu meurs aussi) pour son pendant politique”. Toujours selon Bouaziz, “la ligne de fracture à cette époque n'est pas ethnique, mais se situe entre nationalistes et non nationalistes”. Si bien qu'au moment du Dahir berbère des 1930, c'est toujours Mokhtar Soussi qui mène, entre autres, la fronde contre cette loi du protectorat très controversée, tandis que d'autres composantes de la “berbérité”, originaires du Moyen-Atlas, défendent le Dahir. On ne parlait même pas de berbères pour différencier la composante amazighe du Maroc des Fassis. Mais de “âaroubi”, appellation générique censée différencier le commun des Marocains de l'élite d'origine arabo-andalouse. Celle qui a éclos à Fès.

    Y a du tarab dans l'air
    Les 1200 ans de la capitale spirituelle qui seront fêtés en grande pompe, à partir de ce mois, sont venus raviver de vieilles blessures dans le monde culturel soussi. “Tant de faste pour célébrer la fondation d'une ville est une mainmise sur la culture marocaine présentée comme exclusivement arabo-andalouse”, se plaint un organisateur de spectacles d'Agadir, très remonté contre ce prisme qu'il juge omniprésent. Sa colère aurait été sans doute plus aigüe s'il connaissait le CV du responsable des festivités : Saâd Kettani, l'ex-propriétaire de Wafabank. Un tout-en-un économico-culturel très utile quand il s'agit de faire de la promo. L'élite originaire de Fès a su vendre les signes extérieurs qui font sa patine. Et en premier lieu un signe sonore, devenu le fonds musical du Maroc, de Tanger à Lagouira : le tarab andalous. “Il y a quelques jours, j'ai pris un avion de la RAM où l'on a diffusé pendant toute la durée du vol cette musique”, raconte un musicien soussi. La destination d'arrivée l'a fait sourire : Agadir. Il ne devrait pas, ce n'est pas si paradoxal que cela semble l'être : “Plusieurs musicologues qui se sont penchés sur la musique andalouse y ont trouvé des influences amazighes”, assène un mélomane. Parmi les fans de cet art de cour, un Soussi pur jus se détache d'ailleurs du lot : Hassan Abouyoub, ex-ministre et ancien ambassadeur du Maroc en France. C'est qu'en matière de notes, les frontières sont poreuses et trompeuses, comme le rappelle un producteur de musique : “Les cassettes de l'artiste soussie Tabaâmrant se vendent très bien à Fès. La ville est le troisième marché pour la musique amazighe après Agadir et Casablanca”. Un marché qui a fleuri sans coup de projecteur du fait d'un service après-vente déficient. L'élite fassie sonnait la fanfare à l'ombre de Hassan II tandis que son pendant soussi la mettait en sourdine. Question musique, et bien d'autres choses encore.

    On connaît la chanson
    “Les hommes du Souss ayant fait fortune n'ont jamais coordonné leurs efforts avec l'élite intellectuelle issue de la région par peur des répercussions politiques”, explique un membre de l'IRCAM. Ceux qui osaient financer des associations amazighes, bouillon de culture politique et artistique, le faisaient en cachette, craintifs face à un climat peu favorable. L'élite économique soussie avait de surcroît, pour certains, une image à défendre, éloignée de celle de l'épicier laborieux qui a réussi. Celle qu'elle s'était dessinée en s'alliant à sa consoeur fassie. A l'image d’un riche homme d'affaires originaire de Tafraout, une des villes viviers des grandes fortunes du Souss, A la fin des années 90, il a organisé à Meknès le mariage de sa fille au son d'un orchestre andalou et au pas de danse de troupes ahwach. Mais pas selon les mêmes règles de l'hospitalité : “Les membres de l'orchestre ont été logés à l'hôtel, tandis qu'on avait vidé les écuries pour y installer les ahwach”, se souvient un invité. Un simple détail comparé au crime de lèse-soussi qu'on reproche à d'autres hommes d'affaires du sud : financer les activités de l'association Fès-Saïss, le vecteur d'une culture jugée trop omniprésente.

    Mohammed VI, roi réconciliateur ?
    “Le discours prononcé à Ajdir par Mohammed VI a été un signal encourageant pour les Amazighs”, explique Ahmed Assid. Un signal reçu haut et fort par les Soussis qui ont, coup de fouet royal oblige, affiché leur patrimoine musical de manière moins “underground”, après l'intervention de M6. Au grand jour et dans la rue : “le festival Timitar d'Agadir met désormais en valeur la culture de la région en plein boulevard alors qu'elle était jusque-là cantonnée aux moussems et au cadre des fêtes familiales”, se réjouit Brahim El Mazned, directeur artistique de la manifestation initiée par Aziz Akhannouch. Un Soussi dans les bonnes grâces du roi qui a offert cette jolie carte de visite sonore à la deuxième région la plus riche du Maroc. Une preuve de l'impact du discours d'Ajdir sur la “berbérité” officielle. Un ton royal qui a même charmé des membres de la nomenklatura fassie, tout ouïe, devant Mohammed VI. Si le roi le voulait, c'est qu'il fallait aussi se mettre à l'amazigh… Chose dite, chose faite. Le wali de Casablanca, Mohammed Kabbaj, a lancé il y a trois ans un festival amazigh à Fès, sous l'égide de l'association Fès-Saïs qu'il préside. Le message inaugural lu par Kabbaj était loin d'être anodin. Il a ponctué son propos par un “nous sommes tous des Amazighs” qui en a surpris plus d'un.

    Ich bin ein Amazigh
    Un équivalent du “Ich bin ein Berliner” (Je suis un Berlinois) de John Kennedy, prononcé à l'occasion de l'hommage rendu à Mohamed Chafiq, ex-recteur de l'IRCAM et défenseur historique de l'amazighité. En si bonne route, Kabbaj a salué lors des éditions suivantes l'inévitable Mahjoubi Aherdane et Ahmed Boukouss, le successeur de Chafiq à la tête de l'IRCAM. Parmi les honorés, des intellectuels amazighs, pour deux d'entre eux en tout cas. Des auteurs qui n'avaient pas droit de cité dans les médias, presse de l'Istiqlal en tête : “Al Alam publiait des poèmes d'auteurs amazighs, mais pas leurs écrits portant sur la dimension amazighe du Maroc”, se souvient Ahmed Assid, membre de l'IRCAM. Un débat sur l'identité du pays qui a été source d'un accrochage avec le conseiller de Hassan II, Mohamed Allal Sinaceur. “Lors d'une réunion du Conseil supérieur de la culture, un intellectuel amazigh s'est exprimé dans sa langue. Il a été rappelé à l'ordre par Sinaceur qui lui a demandé de se taire immédiatement”, se souvient un témoin de la scène. Le conseiller royal a défendu bec et ongles son ordre du jour portant sur les fondements de la culture nationale. L'amazigh n'en faisait pas partie, à l'époque. C'est devenu, depuis, la nouvelle zone de combat investie par les Soussis…
    Le Tamazgha, c'est la terre des Amazighs.

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    • #3
      "Le wali de Casablanca, Mohammed Kabbaj, a lancé il y a trois ans un festival amazigh à Fès, sous l'égide de l'association Fès-Saïs qu'il préside. Le message inaugural lu par Kabbaj était loin d'être anodin. Il a ponctué son propos par un “nous sommes tous des Amazighs” qui en a surpris plus d'un"


      toi t'as vraiment envie de faire de la haine ton fond de commerce, retourne à ton epicere.

      ps: tahia aux Fassis

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      • #4
        AMAZIGH III TU VEUX QUOI ? EXPULSé TOUS LES "ARABES" du maroc ? Y'A UN TRUC QUI ME CHOC DANS CE QUE TU VIENS D'ECRIRE EN HAUT , pour toi il faut parlé obligatoirement AMAZIGH pour l'etre ? c'est quoi sa d'ou tu sort toi ?

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        • #5
          Sad,

          Mon épicerie ? Marrant cela. Surtout que je sais que seule une minorité parmi les Ait Souss sont des commerçants...Voilà un autre préjugé à deux balles. La richesse du Souss vient de ses immigrés qui rapportent le double de ce que ramènent les autres marocains à la tésorerie du régime fasciste de Rabat.

          Temsamani,

          Je veux que le Souss soit INDÉPENDANT. Je ne veux que les destructeurs arabes continuent à détruire mon pays, le Souss.

          Tu sais que le Souss a toujours été une région de savoir. Les plus grands savants dans toute l'histoire du Maroc et même de l'Afrique du nord viennent du Souss. C'est eux qui ont appris l'Islam aux Arabes, ceux-là même qui prétendent nous avoir ramené cette religion, nous avoir sortis des grottes...

          Les plus grandes dynasties qui ont marqué l'Afrique du Nord aussi viennent du Souss : les Almoravides, les Almohades et les Saadiens....

          Qu'est-ce qu'il est devenu le Souss maintenant ? Un pays où toutes les prostitutions sont encouragées par les "descendants du prophète". Tu sais que toutes les prostituées du Maroc sont invitées à venir à Agadir. J'ai même vu des mauritaniennes...

          Discute avec les Ait Souss, les vrais bien sûr, pour qu'ils te parlent ce qu'ils pensent du Makhzen et des ses politiques diaboliques.

          Tu sais que le régime de proxénètes makhzeniens a même crée une ligne aérienne entre Agadir et Jeddah. D'après toi pour quelle raison ? Quant au bradage de nos terres à ces mêmes animaux saoudiens, je ne te raconte même pas. Une véritable catastrophe....
          Le Tamazgha, c'est la terre des Amazighs.

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          • #6
            la realité est que le souss comme le rif ne pourons jamais avoir leur independance .

            le jour oû la monarchie est abôlie, oû ont aura plus le choix , soit entre des islamistes a la nadia yassine ou des millitaire a la benslimane(khadafi) , ce jour là je serai le premier a demandé l'independance de ma region le RIF et je ferai de mon mieux pour que cela arrive .pour le souss sa a la male chance d'être au milieux du pays ce qui t'empechera de realisé ton rêve alors que nous au Rif c'est plus realisable tous simplement parce que nous sommes au bord .....mais contrairement a toi moi je dit ça pour des raisons non édiologique.

            ps: tkt quand je deviendrai ROi du "ROYAUME CONFIDERE DES TRIBUs DU RIF " je te soutiendrai dans tes revendication contre le pouvoir millitaro-islamiste!!!!!
            Dernière modification par Tems, 12 avril 2008, 15h22.

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            • #7
              AMAZIGHIII

              il y'a du vrai dans ce que tu dis, mais ta conclusion est mauvaise.
              La monarchie est allée jusqu'a brader l'honneur des marocains. Je suis arabe, je ne parle pas un mot de berbere, mais étant marocain, je suis sur qu'en réalité la majorité de mon sang est berbere, c'est le cas de tous les marocains, algériens et tunisiens.

              Nous sommes tous des amazigh, c'est une réalité.

              Plutôt que de demander l'indépendance, tu ferais mieux de te battre comme d'autres pour améliorer la situation de ta région.
              Je comprends ta haine envers certaines situations, quand il y a eu le scandale d'Agadir, sans me vanter, j'ai failli aller au consultat du Maroc, déchirer mon passeport marocain, et les traiter d'esclaves du roi. Je ne l'ai pas fait pour diverses raisons, la principale c'est pouvoir revenir au Maroc, et que ma famille restée la bas n'ait pas de soucis.

              En tant que musulman, tu dois plus te battre pour la Oumma, que pour la désunion et bien entendu aussi te battre pour la préservation de votre culture et de votre langue.
              Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

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              • #8
                moi je veut l'independance des fassis, on a pas besoin d'autres incultes, on prendre l'axe fes-casablanca, je veux pas qu'on se melange aux indigenes, la culture andalouse et arabe et tous ce qu'elle a apprté au monde doit survivre....

                sad roi des ahl fass

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                • #9
                  Sad,

                  Qu'est-ce que va être bien si vous prenez votre axe de tous les maux: Rabat, Fès et Casablanca ! Je t'assure que je vais faire une grosse fête. Vous ne savez pas à quel point vous nous rendez service en gardant votre corruption, votre prostitution et vos maladies sociales chez vous.

                  Vous ne les exportez qu'au reste du Maroc, mais votre savoir-faire a même conquis le monde entier. Les Émirats du Golfe, l'Europe et même l'Amérique du Nord maintenant.

                  Comme cela ne suffisait pas, vous vous mettez au terrorisme maintenant. Vraiment vous êtes la personnefication de la Malédiction. Tfu !

                  Quant à notre ami arabe qui me parle du scandale d'Agadir, je tiens juste à lui dire que toutes les filles qui y sont impliquées ne sont pas des Agadiroises pur sucre. Mais bel et bien de mésirables Aroubiayat avides de papiers et d'argent...

                  Et le problème, c'est que les Arabes, tous sans exception, ont trouvé là l'occasion de salire la réputation des gens du Souss. Mais il en faudra plus pour nous atteindre.

                  Quant à l'indépendance du Souss, je militerais toujours pour ce soit le cas. On a tout à y gagner et rien à y perdre. C'est la seule solution de se débarrasser des proxénètes du Makhzen et des colonialistes arabes.
                  Le Tamazgha, c'est la terre des Amazighs.

                  Commentaire


                  • #10
                    amazigh t'es juste une grosse blague

                    Commentaire


                    • #11
                      amazigh III
                      peut-on considérer Aknouch comme soussi ? Son père oui, il l'était, mais pas lui qui ne parle pas un mot de tamazight.
                      on vous comprend pas mister amazigh 3, tu clame toujours que tous les maghrébins sont amazighs (y compris les arabes) et maintenant tu dis que Akennouch n'est pas un amazighe parce qu'il ne parle pas la langue des ces parents!
                      A todo cerdo le llega su San Martín.

                      Commentaire


                      • #12
                        Je n'ai jamais dit cela. Le sang n'a aucun valeur pour moi. Je ne suis pas un adepte des "palmiers" généalogiques comme les Arabes et autres âneries biologiques.

                        Pour moi, le principal, c'est ce que sent la personne. Même un amazighophone qui me dit qu'il est arabe, je vais le considérer comme arabe. Et je respecterai en conséquence son choix.

                        Sauf que pour moi, les Arabes en Afrique du Nord sont des impérialistes de la pire espèce. De véritable colonialistes qui ont tout détruit et qui continuent à tout détruire ( le terrorisme, le Sahara occidental entre autres magnifiques réalisations).

                        Un Amazigh, pour moi, est toujours amazighophone. Ce qui n'est pas le cas d'Aknouch qui ne parle pas un mot de tamazight.

                        Que le Souss soit indépendant, que l'on renouve avec la LIBERÉ illico presto. Ne dit-on pas que les Amazighs sont des hommes libres ?

                        Quant à Casablanca, Rabat et les autres terres, on vous laisse tout cela. Gardez le, vous connaissant, jamais vous n'avez rien faire avec. En tous les cas, même si vous héritez de la terre entière, vous ne serez jamais capable de CONSTRUIRE quoi que ce soit. Parole d'un vrai agharas agharas !
                        Dernière modification par amazigh III, 12 avril 2008, 17h27.
                        Le Tamazgha, c'est la terre des Amazighs.

                        Commentaire


                        • #13
                          amazigh tu as bu ?

                          Commentaire


                          • #14
                            amazigh III

                            j'aime bien tes sorties ,sacré amazigh c'est vrai avec toi on se detend vivement le weekend,je crains pour toi que tu ne change pas grand chose ,c'est comme un verre d'eau dans un ocean.
                            Dernière modification par absent, 12 avril 2008, 17h31.

                            Commentaire


                            • #15
                              amazigh III
                              Quant à Casablanca, Rabat et les autres terres, on vous laisse tout cela. Gardez le, vous connaissant, jamais vous n'avez rien faire avec. En tous les cas, même si vous héritez de la terre entière, vous ne serez jamais capable de CONSTRUIRE quoi que ce soit. Parole d'un vrai agharas agharas !
                              tu n'a rien a nous laisser ou a prendre. Ces villes sont pour tous les marocains, tu n'a qu'a aller a Casablanca pour voir la diversité ethnique marocaine en live; c'est l'occasion d'y rencontrer les vrais roussis qui ont réussi dans le business et pas ceux qui pensent qu'ils vont changer, assis derrière un écran de PC a taper des balivernes tout au long de la journée.

                              Si tous les agharas agharas pensent de la meme façon que toi; c'est a dire se fermer dans leur cocons et refuser le contact avec l'autre ils n'auront pas ce succès et la notorité qu'ils ont maintenant dans les affaires dans les grandes villes du Maroc, heureusement je connais beaucoup de soussis ils ont un esprit plus ouvert

                              Parole d'un vrai agharas agharas
                              est ce un début d'une crise de mégalomanie?
                              A todo cerdo le llega su San Martín.

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