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Le président Abdelaziz Bouteflika a tenu parole

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  • Le président Abdelaziz Bouteflika a tenu parole

    Aps 13/4/08] PARIS - L'hebdomadaire "Jeune Afrique" a souligné, dans un dossier "Spécial Algérie", publié dans sa dernière livraison, que le président Abdelaziz Bouteflika "a tenu parole" en concrétisant ses engagements depuis son élection à la Magistrature du pays. Dressant le bilan des deux mandats du président de la République, l'hebdomadaire rappelle que "le premier a été consacré essentiellement au retour de la paix et à l'amélioration de l'image d'un pays marqué dans sa chair par une décennie de violence. Le deuxième a été orienté vers l'accélération des réformes économiques et la mise en route de grands chantiers destinés à rattraper un retard en matière d'infrastructures, de logements ou de transports".

    Jeune Afrique" aborde la bonne santé financière du pays, avec, écrit-il, "une dette extérieure réduite en quelques années à moins de 1% du PIB (980 millions de dollars en 2007 contre 40 milliards de dollars en 2000). Des réserves de change supérieures à 110 milliards de dollars, couvrant plus de soixante mois d'importations. Un programme quinquennal (2005/2009) d'investissements publics de près de 145 milliards de dollars. Un budget de l'Etat où les dépenses d'équipements dépassent celle du fonctionnement".


    "En 1999, le montant des IDE se comptait en dizaines de millions de dollars. En 2007, les projets déposés auprès de l'Agence nationale du développement de l'investissement s'élèvent à près de 40 milliards de dollars", précise l'hebdomadaire, soulignant que cet attrait des IDE montre que "l'économie du pays est plus attractive".



    Parmi les secteurs économiques du pays, "Jeune Afrique" considère que celui de l'agriculture "est devenu un véritable moteur de croissance pour l'Algérie".
    "Erigé en priorité durant le premier mandat du président Bouteflika, le sauvetage de l'agriculture a pris la forme d'un plan, le PNDRA, mis en oeuvre en 2000. Sept ans plus tard, les réussites ont permis l'alléger la facture alimentaire.

    Mieux, hormis les céréales et le lait, la production nationale couvre la totalité des besoins", souligne-t-il.
    Poursuivant son analyse du secteur de l'agriculture, "Jeune Afrique" précise également que "la valorisation des terres agricoles a permis d'étendre la SAU de près de 600.000 ha. Les superficies irriguées ont plus que doublé, atteignant 835.000 ha, avec l'introduction de la technique goutte-à-goutte, qui permet d'économiser les ressources hydriques.


    Le PNDRA a également suscité la "création de 1,6 million de postes de travail, parrainé plus de 428.000 exploitations et créé 22.000 entreprises de services".

    "Métro, autoroutes, usines de dessalement de l'eau de mer, quelques-uns des grands chantiers du vaste programme quinquennal 2005/2009 dont l'ambition est de moderniser les infrastructures du pays", rappelle "Jeune Afrique", qui a évoqué également les efforts déployés au profit des régions des Hauts plateaux et du Grand Sud pour éliminer les disparités régionales en matière de développement et les déséquilibres démographiques.

    L'hebdomadaire s'est intéressé au programme Grand Sud touchant dix wilayate. "Il prévoit la réalisation d'un campus universitaire dans chacun des chefs-lieux de wilaya, la réalisation de 60.000 logements, d'infrastructures sportives et d'une dizaine de centres hospitalo-universitaires".

    "Cependant, deux réalisations se singularisent : la construction d'une nouvelle ville de Hassi Messaoud (plus de 6 milliards de dollars) et le transfert d'eau potable sur 700 km, depuis la nappe phréatique d'In Salah vers Tamanrasset (3 milliards de dollars)", note la publication.
    Sur le plan social, l'hebdomadaire s'est intéressé à la présence de plus en plus forte de la femme algérienne dans tous les domaines socio-économiques.

    "Elles sont près de 10.000 agents, dont 459 officiers et 825 inspectrices au sein de la police nationale. Côté affaires, on compte 12.000 femmes parmi les patrons des 86.000 micro-entreprises financées dans le cadre de l'ANSEJ. Et, sur 11.000 juges officiant dans les différents palais de justice, 3.800 sont des femmes", écrit-il.
    Enfin, ce dossier contient un article consacré à l'équipe du FLN de football qui célèbre le 50ème anniversaire de sa création. L'hebdomadaire écrit notamment que "le sacrifice de ces joueurs d'exception --comme celui de milliers d'autres jeunes algériens-- n'avait pas été inutile".
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    Bonjour.

    Les mérites du pétrole, rien de plus rien de moins.


    Attendons d'avoir les retombées de la gestion depuis 1999.

    Economiquement parlant il est encore trop tôt pour dresser la table pour les festivités.

    Allons donc rien que le désaveux de l'appareil judiciaire lui vaut 2/3 de son bilan.

    Ça pèse lourd, très lourd le sang des algériens, sur les consciences.

    Comment peut-on parler de bonne santé financière quand la transparence est au point-mort ?

    Comment dresser un bilan de réformes économiques fantômes ?

    Ils sont marrants au Jeune Afrique à parler d'agriculture, quand on connaît l'état léthargique et comateux de cette dernière en Algérie, la preuve ? Le volume d'importation !

    Les IDE, parlons-en , l'anarchie qui règne, manque de transparence, système fiscal avantageux pour ne pas dire inexistant, dessous de tables, la liste est longue.

    La production nationale couvre la demande nationale ? c'est une blague je suppose, pour celui qui n'a pas était voir les étalages envahis de produits contrefaits provenant d'Asie il croirait presque que le journaliste de Jeune Afrique à pour support d'article un catalogue de l'Office National de Tourisme.

    S'appuyer sur des spéculations pour rédiger un article élogieux c'est réellement ce qui s'appelle de la subjectivité bornée.
    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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    • #3
      salut

      S'appuyer sur des spéculations pour rédiger un article élogieux c'est réellement ce qui s'appelle de la subjectivité bornée.
      Ben non, il n y a pas de spéculation. Il n y a que des chiffres.
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #4
        Dressant le bilan des deux mandats du président de la République, l'hebdomadaire rappelle que "le premier a été consacré essentiellement au retour de la paix et à l'amélioration de l'image d'un pays marqué dans sa chair par une décennie de violence.
        Où est la parole tenue ? La paix existe peut pêtre pour ceux d'en haut mais le peuple ne connait toujours pas le sens de ce mot. Les attentats continuent et du nord au sud de l'Algérie, les "terroristes" sont toujours prêts à en découdre avec l'ANP.
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          Où est la parole tenue ? La paix existe peut pêtre pour ceux d'en haut mais le peuple ne connait toujours pas le sens de ce mot. Les attentats continuent et du nord au sud de l'Algérie, les "terroristes" sont toujours prêts à en découdre avec l'ANP.
          Bien sûr, le terrorisme peut encore frapper. Comme partout dans le monde encore. Mais entre les années 90 et aujourd"hui c'est la nuit et le jour.
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #6
            Campagne médiatique : Jeune Afrique fait la promo de Bouteflika

            Jeune Afrique, l’hebdomadaire du Tunisien Béchir Ben Yahmed, ex-ministre de l’Information du premier gouvernement de Habib Bourguiba, réputé proche du palais royal au Maroc, vient de publier dans sa dernière livraison un dossier « spécial Algérie » dédié à ... la promotion de Bouteflika.
            Dans une série d’articles rédigés sur le style d’un publi-reportage, au prétexte de dresser le bilan de ses deux mandats, l’hebdo cire-pompes des chefs d’Etat africains comme l'appelle " **************" passe une bonne couche de pommade au président algérien. Avec ses pages onctueuses célébrant les exploits de Bouteflika à la tête du pays, le journal de BBY apporte sa pierre à la campagne pour le troisième mandat − campagne qui vient de repartir de plus belle avec les sorties médiatiques - entretiens et, interviews tout azimut dans la presse étrangère – et les interventions publiques internationales du président en personne. Le publi-reportage qu’on dirait dicté par les services d’information d’El Mouradia tombe à point pour faire la promotion d’un président candidat à un nouveau mandat.
            Pour Jeune Afrique donc, Bouteflika "a tenu parole" en concrétisant ses engagements ». Son premier mandat « a été consacré essentiellement au retour de la paix et à l'amélioration de l'image d'un pays marqué dans sa chair », le second « a été orienté vers l'accélération des réformes économiques et la mise en route de grands chantiers destinés à rattraper un retard en matière d'infrastructures, de logements ou de transports ». L’hebdomadaire évoque la « bonne santé financière » du pays, ses réserves de change fabuleuses, son agriculture « moteur de croissance », il égrène un à un ses grands chantiers : métro, autoroutes, usines de dessalement de l'eau de mer, logements, etc… Tout y est évoqué, sauf l’essentiel.
            Ne manque à ce tableau lisse et sans aspérités de l’Algérie de Bouteflika reconstituée par ses technocrates de service que les algériens et leurs vies. Au bilan frelaté de Jeune Afrique, on peut facilement accolé le "ouadha thalitaa » des supporters présidentiels. Il est ne détonnerait pas avec le ton du dossier.

            Meriem Benmehdi
            Le Matin DZ 14.04.08
            "Je déteste les victimes quand elles respectent les bourreaux". Jean-Paul Sartre

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            • #7
              algerie

              st il ne faut pasnon plus sans cesse tiré a boulet rouge sur tout ce qui bouge ,la critique ai toujours facile ,des progres realises sous boutef sont indeniable sous ses deux mandats ,il faut revenir en arriere avant boutef et voir dans quel etat etait le pays vous parlez du petrole bien sur les enormes retards en infrastructre routiere et autres ont ete la prioritee de boutef qui a pratiquement tout renouvellé ,bateau,avion,logement,armee,autoroute,eau,control e techennique,hotel,hypermarche,metro,tramway pour le reste 15 annees seront tout juste suffisantes

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              • #8
                st il ne faut pasnon plus sans cesse tiré a boulet rouge sur tout ce qui bouge ,la critique ai toujours facile ,des progres realises sous boutef sont indeniable sous ses deux mandats ,il faut revenir en arriere avant boutef et voir dans quel etat etait le pays vous parlez du petrole bien sur les enormes retards en infrastructre routiere et autres ont ete la prioritee de boutef qui a pratiquement tout renouvellé ,bateau,avion,logement,armee,autoroute,eau,control e techennique,hotel,hypermarche,metro,tramway pour le reste 15 annees seront tout juste suffisantes
                salut

                le bilan de boutef est certes contrasté. Comme tout bilan d'ailleurs. toutes le bases ont été jettées pour préparer le pays à des lendemains meilleurs.

                Personne ne peut contester les investissement en infrasturctures, eau, energie, etc etc... du simple citoyen au DG de la banque mondiale.

                A mon avis ce qui reste à faire et qui est difficile à réaliser c'ets la lutte contre la corruption. C'est la guerre de demain.
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #9
                  Bledard

                  Tu devais être bien jeune en 1990 pour dire cela car c'est exactement pareil et même pire c'est les méthodes qui ont changé et surtout les intervenants. Avant c'était le FIS et ses chefs de guerre donc tout le monde savait qui organisaient et les raisons de cette violence. Aujourd'hui on nous dit qu'un mort vivant serait le responsable de tous ces attentats et cela seul les naifs peuvent le croire.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #10
                    Tu devais être bien jeune en 1990 pour dire cela car c'est exactement pareil et même pire c'est les méthodes qui ont changé et surtout les intervenants. Avant c'était le FIS et ses chefs de guerre donc tout le monde savait qui organisaient et les raisons de cette violence. Aujourd'hui on nous dit qu'un mort vivant serait le responsable de tous ces attentats et cela seul les naifs peuvent le croire.
                    Raté.

                    les deux situations ne sont pas comparables, il suffit d y avoir été dans le passe et de s'être rendu régulièrement dans les années 2000.
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                    • #11
                      algerie

                      Tu devais être bien jeune en 1990 pour dire cela car c'est exactement pareil et même pire c'est les méthodes qui ont changé et surtout les intervenants. Avant c'était le FIS et ses chefs de guerre donc tout le monde savait qui organisaient et les raisons de cette violence. Aujourd'hui on nous dit qu'un mort vivant serait le responsable de tous ces attentats et cela seul les naifs peuvent le croire, st zwina je vois pas le rapport avec le sujet , par contre si tu as des chiffres des faits reels sur les 2 mandats de boutef ils seront les bienvenue merci,
                      projets realiser
                      projets lancer
                      auncun projet
                      Dernière modification par langar, 14 avril 2008, 10h52.

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                      • #12
                        bledard_for_ever

                        Quels chiffres ?

                        Ceux de la rente pétrolière, surement ! Car les autres le tableau de bord vire au rouge dans la tendance générale.

                        Faut pas prendre les algériens pour des ignares chroniques.
                        “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                        • #13
                          Langar

                          Lis un peu mieux le sujet et tu comprendras le rapport.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #14
                            Bledard

                            Effectivement dans les années 2000, la situation s'était calmée et tout le monde a cru qu'une amélioration était possible mais 2007 a démontré que la situation avait empiré et que les choses n'avaient pas évolué depuis les années 1990. En 1990, le FIS était le meneur aujoud'hui on nous parle d'Al Qaida et du GSPC ; à choisir entre les deux il vaut mieux le FIS car au moins on sait à qui on a à faire....Les attentats n'existeraient pas si le bilan de Bouteflika était positif, c'est la politique menée par son gouvernement qui a engendré tous ces morts innocents.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #15
                              Les attentats n'existeraient pas si le bilan de Bouteflika était positif,
                              Penses-tu ??

                              Le seul contexte qui ferait que les attentats "n'existeraient plus"... c'est l'extermination ou la réddition totale des larves.

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