Avant-hier, samedi, les deux fils du célèbre chanteur Lounis Aït Menguellet, jaffar et Sid Aït Menguellet, circulaient en voiture de la Nouvelle-Ville, où ils venaient de terminer leur entraînement sportif, vers le centre-ville de Tizi-Ouzou. Juste après l’université de Hasnaoua, Djaffar qui était au volant a été gêné par une grosse voiture, un 4x4 qui était arrêté au milieu de la chaussée. Le conducteur du tout-terrain discutait en toute quiétude avec une de ses connaissances, et ne se souciait guère de la gêne qu’il causait aux autres automobilistes. Excédé d’attendre, Djaffar Aït Menguellet après un énième coup de klaxon, se résout tout de même à effectuer le dépassement du 4x4, même si la manœuvre comportait un réel risque. Jusque-là, rien d’extraordinaire, mais juste ces incivilités quotidiennes auxquelles nous nous sommes habitués même si nous ne les approuvons point.
Mais l’histoire ne s’arrêtera pas là. En effet, arrivés au niveau du CHU Nedir-Mohamed, les frères Aït Menguellet sont surpris et ébahis en voyant le véhicule tout-terrain, les doubler et en les braquant, les obliger à s’arrêter. Descendant du 4x4, trois jeunes gens étaient prêts à en découdre et proféraient insultes, injures et grossièretés. Sportifs et de constitution robuste, Djaffar et Sid Aït Menguellet sont arrivés à refroidir les velléités des trois occupants du tout-terrain. Constatant que même s’ils étaient plus nombreux, ils se sont vus humiliés tout de même, ils ont appellé visiblement des troupes en renfort. Une vingtaine d’énergumènes dévalent la cité des Genêts pour atterrir au boulevard Lamali, et prendre à partie les deux fils de Lounis Aït Menguellet. Une avalanche de coups a plu sur les deux frères, qui tout en tentant de riposter à cette horde se sont protégés avec leurs mains comme ils le pouvaient.
Par la Dépêche de Kabylie
Mais l’histoire ne s’arrêtera pas là. En effet, arrivés au niveau du CHU Nedir-Mohamed, les frères Aït Menguellet sont surpris et ébahis en voyant le véhicule tout-terrain, les doubler et en les braquant, les obliger à s’arrêter. Descendant du 4x4, trois jeunes gens étaient prêts à en découdre et proféraient insultes, injures et grossièretés. Sportifs et de constitution robuste, Djaffar et Sid Aït Menguellet sont arrivés à refroidir les velléités des trois occupants du tout-terrain. Constatant que même s’ils étaient plus nombreux, ils se sont vus humiliés tout de même, ils ont appellé visiblement des troupes en renfort. Une vingtaine d’énergumènes dévalent la cité des Genêts pour atterrir au boulevard Lamali, et prendre à partie les deux fils de Lounis Aït Menguellet. Une avalanche de coups a plu sur les deux frères, qui tout en tentant de riposter à cette horde se sont protégés avec leurs mains comme ils le pouvaient.
Par la Dépêche de Kabylie
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