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Réagissant à certaines informations rapportées par la presse nationale, durant ces derniers mois, et qui ont fait état de rupture de stock voire de pénurie sur le marché national du médicament, le groupe pharmaceutique Saïdal a tenu à rassurer les citoyens en expliquant qu’à leur niveau, les différents médicaments sont disponibles en quantités suffisantes.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction le groupe Saïdal souligne qu’il dispose d’un stock de sécurité d’une durée de quatre mois. "L’ensemble des 253 produits couvrant l’ensemble des pathologies relatives à la cardiologie, l’infectiologie, la psychiatrie et la diabétologie, notamment l’insuline sous toutes ses formes sont disponibles en quantité suffisantes au niveau de nos unités et au niveau des distributeurs grossistes," lit-on dans le communiqué.
Il est à rappeler que depuis le début de l’année, il a été fait état d’un manque de médicaments rapportés par des titres de la presse nationale.
Ces derniers, ont affirmé que certains médicaments essentiels utilisés dans le traitement de pathologies chroniques et cardiaques manquent de manière considérable. Il s’agit, notamment, de ceux utilisés par les hypertendus comme le Loxen et l’Atakand et par les épileptiques tels que le Tegrétol.
Quelques anti-inflammatoires comme Smecta, Celestene et le Diprostene se font également rares au même titre que le Calcibronat et l’Itrogestone utilisé en génécologie.
Un manque d’insuline a été, aussi, enregistré que ce soit au niveau de certaines structures hospitalières, chez les grossistes ou les pharmacies. Par ailleurs, la pénurie dans certains médicaments a été, selon la presse, provoquée par le retard de la délivrance des programmes d’importation pour les opérateurs. Le ministère de la Santé, qui s’est engagé en décembre 2007 à signer tous les programmes après avoir exigé des importateurs la révision de leurs programmes et imposé l’importation de 45% de produits génériques, s’est rétracté.
Et ce n’est qu’à la fin du mois de janvier que les programmes d’importation des médicaments et des matières premières pour l’année 2008 ont commencé à être signés et libérés progressivement aux importateurs, ce qui explique, selon les différents titres de la presse, le manque enregistré dans certains médicaments.
Par La Dépêche de Kabylie
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction le groupe Saïdal souligne qu’il dispose d’un stock de sécurité d’une durée de quatre mois. "L’ensemble des 253 produits couvrant l’ensemble des pathologies relatives à la cardiologie, l’infectiologie, la psychiatrie et la diabétologie, notamment l’insuline sous toutes ses formes sont disponibles en quantité suffisantes au niveau de nos unités et au niveau des distributeurs grossistes," lit-on dans le communiqué.
Il est à rappeler que depuis le début de l’année, il a été fait état d’un manque de médicaments rapportés par des titres de la presse nationale.
Ces derniers, ont affirmé que certains médicaments essentiels utilisés dans le traitement de pathologies chroniques et cardiaques manquent de manière considérable. Il s’agit, notamment, de ceux utilisés par les hypertendus comme le Loxen et l’Atakand et par les épileptiques tels que le Tegrétol.
Quelques anti-inflammatoires comme Smecta, Celestene et le Diprostene se font également rares au même titre que le Calcibronat et l’Itrogestone utilisé en génécologie.
Un manque d’insuline a été, aussi, enregistré que ce soit au niveau de certaines structures hospitalières, chez les grossistes ou les pharmacies. Par ailleurs, la pénurie dans certains médicaments a été, selon la presse, provoquée par le retard de la délivrance des programmes d’importation pour les opérateurs. Le ministère de la Santé, qui s’est engagé en décembre 2007 à signer tous les programmes après avoir exigé des importateurs la révision de leurs programmes et imposé l’importation de 45% de produits génériques, s’est rétracté.
Et ce n’est qu’à la fin du mois de janvier que les programmes d’importation des médicaments et des matières premières pour l’année 2008 ont commencé à être signés et libérés progressivement aux importateurs, ce qui explique, selon les différents titres de la presse, le manque enregistré dans certains médicaments.
Par La Dépêche de Kabylie
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