Du 6 Juillet au 15 Aout 2005 , le Musée Guimet accueillera la prestigieuse collections d'estampes et de peintures Japonaises du célèbre musée Ôta de Tokyo.
Ces oeuvres datant en majorité des XVIII ème et XIX ème siècles ne sont jamais sortis de leur musée et c'est en raison de leur extrème fragilité et de leur sensibilité à la lumière que l'exposition durera aussi peu.
Ce sera un privilège que de pouvoir les admirer car c'est leur première et dernière sortie en Europe.
Utagawa Hiroshige (1797-1858)
Pour vous rendre au Musée Guimet Chefs-d’œuvre du musée Ota de Tokyo
Ces oeuvres datant en majorité des XVIII ème et XIX ème siècles ne sont jamais sortis de leur musée et c'est en raison de leur extrème fragilité et de leur sensibilité à la lumière que l'exposition durera aussi peu.
Ce sera un privilège que de pouvoir les admirer car c'est leur première et dernière sortie en Europe.
Dans la première et la seconde salle, sobrement encadrées de bois clair sur fond blanc, des estampes aux couleurs étonnamment fraîches, dont la palette dominante est dans les jaunes et noirs, quelquefois rehaussés ici de rouge, et là de vert, présentent un état de conservation exceptionnel, dans des tons chauds et doux. Dans la troisième salle, ce sont les bleus qui dominent avec des sujets Dans la troisième salle, ce sont les bleus qui dominent avec des sujets traitant de l’eau ou de l’hiver et de la neige, d’envols d’oies sauvages ou d’oiseaux sur un néflier. Les auteurs exposés figurent parmi les grands maîtres d’excellence picturale, parmi lesquels il convient de citer : Hishikawa Moronobu, Suzuki harunobu, Kitagawa Utamaro, Tôshûsai Sharaku, Katsushika Hokusaï ou encore Utagawa Hiroshige.
Rigoureusement préservées, ces œuvres -peintures, estampes, éventails, livres- viennent retracer, dans un ordre chronologique, la grande épopée d’un art qui n’a cessé de s’enrichir au fil des décennies. Il s’agit de l’art de l’ukiyo-e, un terme qui désignait à l’origine ce «bas monde de misères et de souffrances» et qui désigna par la suite le «monde flottant», celui des plaisirs éphémères. «
Pour en découvrir plus: Le voyage unique des grands maîtres d’excellence
Rigoureusement préservées, ces œuvres -peintures, estampes, éventails, livres- viennent retracer, dans un ordre chronologique, la grande épopée d’un art qui n’a cessé de s’enrichir au fil des décennies. Il s’agit de l’art de l’ukiyo-e, un terme qui désignait à l’origine ce «bas monde de misères et de souffrances» et qui désigna par la suite le «monde flottant», celui des plaisirs éphémères. «
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