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Les chantiers de généralisation de l’utilisation des nouvelles technologies ouverts dans le cadre du programme du Président Bouteflika donnent à l’Algérie de sérieuses perspectives d’ancrage aux champs du développement numérique. Après avoir retracé le cadre juridique puis institutionnel, à travers notamment les nouveaux textes régissant le secteur des télécommunications et de la poste, pris au début des années 2000, puis la séparation des fonctions commerciales et de régulation, de multiples programmes sectoriels sont mis en chantier avec comme point nodal le souci de développer l’usage des nouvelles technologiques et de les mettre au service des multiples défis du développement, notamment humains. Conscient de l’importance de ces défis, le Président Bouteflika a, à maintes reprises, dénoncé la «fracture numérique» comme l’un des obstacles au parachèvement des Objectifs du millénaire fixés par la communauté internationale au développement humain. «La greffe numérique» est, selon les termes du Président Bouteflika, l’un des remèdes aux maux de l’humanité au premier rang desquels la pauvreté. Elle pourrait être également un bouclier aux méfaits de la mondialisation qui déferle avec ses lots de marginalisation sur les peuples du sud de la planète.
L’inscription par le Président Bouteflika de la généralisation de l’usage des NTIC dans ses différents programmes de développement commence à produire ses effets par l’impulsion des principaux indicateurs liés à l’usage des nouvelles technologies. Pour illustration, la capacité du réseau téléphonique fixe a doublé, passant de 2.271.000 en 2000 à 5.000.000 en 2007 ; autre indice important de la généralisation des capacités d’usage des NTIC, le réseau national de fibre optique a été porté de 7.000 en 2000 à plus de 28.000 kilomètres à fin septembre 2007. S’agissant du téléphone mobile, sa couverture du territoire national est passée à plus de 95% dans près de 20 wilayas, et entre 80 et 95% dans près de 20 wilayas. Le réseau haut débit ADSL a finalement été introduit pour atteindre près de 2% en 2007.
Cette évolution née des réformes profondes mises en œuvre depuis 1999 appelle une poursuite des efforts pour ancrer l’Algérie au concert des pays à haute capacité technologique.
Le processus de réforme, ainsi engagé, vise à développer les infrastructures, les compétences techniques et managériales, le tissu industriel et les pôles d’innovations et de recherche dans le secteur des TIC.
A travers une stratégie sur les moyen et long termes, l’un des enjeux principaux vise également à favoriser l’intégration et l’appropriation des technologies de l’information et de la communication par l’administration, l’entreprise et le citoyen, pour promouvoir l’édification de la société algérienne de l’information.
Sur une moyenne échéance, le gouvernement ambitionne de préciser la politique de recherche et d’innovation en matière de TIC, de développer de 20% le secteur des TIC en Algérie, en implantant dans chaque wilaya un pôle de compétence sur les TIC à vocation et enfin d’adapter les réseaux de télécommunications aux besoins du secteur.
Enfin et sur la perspective 2025, il est question de «créer dans chaque wilaya, un pôle de compétence industriel sur les TIC et dans chaque daïra un pôle de développement des télé-activités».
El moujahid
L’inscription par le Président Bouteflika de la généralisation de l’usage des NTIC dans ses différents programmes de développement commence à produire ses effets par l’impulsion des principaux indicateurs liés à l’usage des nouvelles technologies. Pour illustration, la capacité du réseau téléphonique fixe a doublé, passant de 2.271.000 en 2000 à 5.000.000 en 2007 ; autre indice important de la généralisation des capacités d’usage des NTIC, le réseau national de fibre optique a été porté de 7.000 en 2000 à plus de 28.000 kilomètres à fin septembre 2007. S’agissant du téléphone mobile, sa couverture du territoire national est passée à plus de 95% dans près de 20 wilayas, et entre 80 et 95% dans près de 20 wilayas. Le réseau haut débit ADSL a finalement été introduit pour atteindre près de 2% en 2007.
Cette évolution née des réformes profondes mises en œuvre depuis 1999 appelle une poursuite des efforts pour ancrer l’Algérie au concert des pays à haute capacité technologique.
Le processus de réforme, ainsi engagé, vise à développer les infrastructures, les compétences techniques et managériales, le tissu industriel et les pôles d’innovations et de recherche dans le secteur des TIC.
A travers une stratégie sur les moyen et long termes, l’un des enjeux principaux vise également à favoriser l’intégration et l’appropriation des technologies de l’information et de la communication par l’administration, l’entreprise et le citoyen, pour promouvoir l’édification de la société algérienne de l’information.
Sur une moyenne échéance, le gouvernement ambitionne de préciser la politique de recherche et d’innovation en matière de TIC, de développer de 20% le secteur des TIC en Algérie, en implantant dans chaque wilaya un pôle de compétence sur les TIC à vocation et enfin d’adapter les réseaux de télécommunications aux besoins du secteur.
Enfin et sur la perspective 2025, il est question de «créer dans chaque wilaya, un pôle de compétence industriel sur les TIC et dans chaque daïra un pôle de développement des télé-activités».
El moujahid