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Aps 16/4/08] CONSTANTINE- Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a qualifié, mercredi, cheikh Abdelhamid Benbadis de visionnaire et de nom qui mérite d'être lié à la science. Dans un message lu en son nom par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République, au cours d'un colloque national organisé à Constantine à l'occasion de "Youm el ilm" (Journée de la science), le président Bouteflika a déclaré que cheïkh Benbadis était un "visionnaire, un homme d'exception qui mérite que son nom soit aujourd'hui lié à la science".
Au cours de ce colloque décliné sous le thème "la société civile: son rôle dans le développement global et la promotion de la citoyenneté", ouvert en présence de Abdelaziz Belkhadem, chef du gouvernement, le chef de l'Etat a rappelé que "c'est la science, qui ne doit pas être dissociée de la foi, qui fut le moteur du grand essor de la civilisation arabo-musulmane".
La pensée de Benbadis était avant-gardiste dès lors que l'imam a compris l'importance de la langue dans la constitution de la personnalité d'une nation et de son unité, a également écrit le président de la République, mettant l'accent sur les menaces qui pèsent, à l'heure de la mondialisation, sur les langues ne maîtrisant pas les sciences et la technologie.
Le choix du thème de cette rencontre est "au coeur du militantisme du cheïkh Benbadis, dès son retour d'Orient en 1913", a indiqué, pour sa part, Abdallah Boukhalkhal, président de la fondation Benbadis, à l'ouverture du colloque.
La première action entreprise par Benbadis fut de créer des associations, a-t-il indiqué, rappelant que l'Association des Oulémas musulmans algériens, dont l'imam fut le principal membre fondateur, a elle-même donné naissance à de nombreuses autres associations dans tous les domaines, y compris le sport et la musique.
En plus d'une exposition dans le hall de l'université, un documentaire a été projeté, mettant en exergue des extraits de discours du chef de l'Etat à Constantine ainsi que les étapes marquantes de ses multiples visites dans la cité du vieux rocher et les grands projets structurants qu'il y a initié.
Une vingtaine de communicants représentant les universités de Constantine, Sétif, Annaba, Batna, Biskra, El Tarf, Tizi Ouzou, Médéa, Ain Defla, Blida, Sidi Bel Abbès et Oran devaient également animer ce colloque organisé par la fondation Benbadis en présentant des conférences relatives au thème retenu.
Le programme de cette manifestation culturelle annuelle, qui en est à sa neuvième édition, propose également des conférences débats qui s'articulent notamment autour de "la composante de la société civile durant la période coloniale", "Cheïkh Benbadis et la société civile", "la société civile et la pratique de la démocratie en Algérie", "la société civile dans les pays arabes et le défi de la mondialisation dans le domaine de l'information et de la communication", "la société civile interethnique et panarabe" et "le rôle de la société civile et le nouvel ordre international".
Au cours de ce colloque décliné sous le thème "la société civile: son rôle dans le développement global et la promotion de la citoyenneté", ouvert en présence de Abdelaziz Belkhadem, chef du gouvernement, le chef de l'Etat a rappelé que "c'est la science, qui ne doit pas être dissociée de la foi, qui fut le moteur du grand essor de la civilisation arabo-musulmane".
La pensée de Benbadis était avant-gardiste dès lors que l'imam a compris l'importance de la langue dans la constitution de la personnalité d'une nation et de son unité, a également écrit le président de la République, mettant l'accent sur les menaces qui pèsent, à l'heure de la mondialisation, sur les langues ne maîtrisant pas les sciences et la technologie.
Le choix du thème de cette rencontre est "au coeur du militantisme du cheïkh Benbadis, dès son retour d'Orient en 1913", a indiqué, pour sa part, Abdallah Boukhalkhal, président de la fondation Benbadis, à l'ouverture du colloque.
La première action entreprise par Benbadis fut de créer des associations, a-t-il indiqué, rappelant que l'Association des Oulémas musulmans algériens, dont l'imam fut le principal membre fondateur, a elle-même donné naissance à de nombreuses autres associations dans tous les domaines, y compris le sport et la musique.
En plus d'une exposition dans le hall de l'université, un documentaire a été projeté, mettant en exergue des extraits de discours du chef de l'Etat à Constantine ainsi que les étapes marquantes de ses multiples visites dans la cité du vieux rocher et les grands projets structurants qu'il y a initié.
Une vingtaine de communicants représentant les universités de Constantine, Sétif, Annaba, Batna, Biskra, El Tarf, Tizi Ouzou, Médéa, Ain Defla, Blida, Sidi Bel Abbès et Oran devaient également animer ce colloque organisé par la fondation Benbadis en présentant des conférences relatives au thème retenu.
Le programme de cette manifestation culturelle annuelle, qui en est à sa neuvième édition, propose également des conférences débats qui s'articulent notamment autour de "la composante de la société civile durant la période coloniale", "Cheïkh Benbadis et la société civile", "la société civile et la pratique de la démocratie en Algérie", "la société civile dans les pays arabes et le défi de la mondialisation dans le domaine de l'information et de la communication", "la société civile interethnique et panarabe" et "le rôle de la société civile et le nouvel ordre international".