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“On ne fait pas la grève pour demander le dialogue”
Le Chef du gouvernement n’est pas resté insensible aux derniers événements qui ont caractérisé l’actualité sociale du pays. Selon lui, les syndicats autonomes ont recouru à la protestation avant même d’épuiser les voix du dialogue ou connaître les détails des dernières mesures sociales professionnelles.
“On ne fait pas la grève pour demander le dialogue”, a-t-il précisé en estimant que l’action de protestation de l’Intersyndicale est prématurée tout en ajoutant que les portes du dialogue sont ouvertes.
C’est la première fois que le Chef du gouvernement s’exprime sur la grève des trois jours (13,14 et 15 avril) et au lendemain de l’interdiction, avant-hier, d’une marche vers le siège de la chefferie du gouvernement, initiée par les syndicats autonomes. M. Belkhadem était, hier, à Constantine, en qualité d’invité par la Fondation Ibn-Badis, en compagnie du conseillé du président de la République, Mohamed Boughazi, pour prendre part aux festivités de célébration du 68e anniversaire de la disparition de chef de file du mouvement de la renaissance, Abdelhamid Ben Badis.
En cette journée, consacrée Youm El-Ilm, le Chef du gouvernement a assisté à l’ouverture des travaux du 9e colloque de la fondation. Ce dernier traite, cette année, la thématique de “la société civile et son rôle dans le développement global et la promotion de la citoyenneté”.
Dans son discours, lu par M. Boughazi, le président de la République a insisté sur le fait que la science et la connaissance restent le seul moyen, aujourd’hui, pour faire face aux mutations, souvent douloureuses, socioéconomiques que vit l’humanité. Le Chef du gouvernement s’est rendu, également, à la faculté de médecine où il a assisté à la remise des prix du premier concours national de médecine. Ce dernier est une initiative à travers laquelle les organisateurs cherchent à rendre hommage à l’œuvre du fondateur de l’Association des ulémas qui a su allier identité et modernité.
Pour cette première édition, dix recherches scientifiques ont été sélectionnées par la commission scientifique de la faculté, sur un total de 241 études présentées.
Trois étudiants de Constantine ont remporté les trois premiers prix et ont été honorés par le Chef du gouvernement. Ce dernier, en s’adressant aux étudiants, a rappelé que la science reste la seule arme pour relever les défis de la mondialisation.
Le Chef du gouvernement n’est pas resté insensible aux derniers événements qui ont caractérisé l’actualité sociale du pays. Selon lui, les syndicats autonomes ont recouru à la protestation avant même d’épuiser les voix du dialogue ou connaître les détails des dernières mesures sociales professionnelles.
“On ne fait pas la grève pour demander le dialogue”, a-t-il précisé en estimant que l’action de protestation de l’Intersyndicale est prématurée tout en ajoutant que les portes du dialogue sont ouvertes.
C’est la première fois que le Chef du gouvernement s’exprime sur la grève des trois jours (13,14 et 15 avril) et au lendemain de l’interdiction, avant-hier, d’une marche vers le siège de la chefferie du gouvernement, initiée par les syndicats autonomes. M. Belkhadem était, hier, à Constantine, en qualité d’invité par la Fondation Ibn-Badis, en compagnie du conseillé du président de la République, Mohamed Boughazi, pour prendre part aux festivités de célébration du 68e anniversaire de la disparition de chef de file du mouvement de la renaissance, Abdelhamid Ben Badis.
En cette journée, consacrée Youm El-Ilm, le Chef du gouvernement a assisté à l’ouverture des travaux du 9e colloque de la fondation. Ce dernier traite, cette année, la thématique de “la société civile et son rôle dans le développement global et la promotion de la citoyenneté”.
Dans son discours, lu par M. Boughazi, le président de la République a insisté sur le fait que la science et la connaissance restent le seul moyen, aujourd’hui, pour faire face aux mutations, souvent douloureuses, socioéconomiques que vit l’humanité. Le Chef du gouvernement s’est rendu, également, à la faculté de médecine où il a assisté à la remise des prix du premier concours national de médecine. Ce dernier est une initiative à travers laquelle les organisateurs cherchent à rendre hommage à l’œuvre du fondateur de l’Association des ulémas qui a su allier identité et modernité.
Pour cette première édition, dix recherches scientifiques ont été sélectionnées par la commission scientifique de la faculté, sur un total de 241 études présentées.
Trois étudiants de Constantine ont remporté les trois premiers prix et ont été honorés par le Chef du gouvernement. Ce dernier, en s’adressant aux étudiants, a rappelé que la science reste la seule arme pour relever les défis de la mondialisation.
Radia Madani (Liberté)
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