L’examen à Genève de la situation des droits de l’homme en Algérie vire au réquisitoire. Le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies demande à l’Algérie de revoir certaines lois et de s’expliquer sur un certain nombre de pratiques.
Ainsi, la France a demandé à l’Algérie de ratifier la convention de l’ONU sur les disparitions forcées, l’Allemagne et la Suède ont sollicité des mesures pour lutter contre les cas de torture. La délégation mexicaine a, quant à elle, demandé à l’Algérie d’analyser l’impact de la situation d’état d’urgence sur l’exercice des droits fondamentaux.
D’un autre côté, la Belgique a appelé le Gouvernement algérien à amender la loi relative à la pratique des rites religieux des non musulmans. Il a estimé que cette même loi a contribué à « la détérioration » de la liberté des pratiques des rites religieux et croyances en Algérie. Le représentant de la Belgique a regretté ce qu’il a qualifié de « détérioration de la liberté de croyances en Algérie », appelant par la même occasion le Gouvernement à revoir la loi relative à la pratique des rites religieux des non musulmans, datée de 2006.
Pour sa part, le représentant du Vatican a demandé aux autorités algériennes de poursuivre le dialogue avec ce qu’il considère comme des « minorités religieuses », en allusion aux associations chrétiennes réparties dans différentes régions du pays notamment en Kabylie.
Le Matin DZ 17.04.08
Ainsi, la France a demandé à l’Algérie de ratifier la convention de l’ONU sur les disparitions forcées, l’Allemagne et la Suède ont sollicité des mesures pour lutter contre les cas de torture. La délégation mexicaine a, quant à elle, demandé à l’Algérie d’analyser l’impact de la situation d’état d’urgence sur l’exercice des droits fondamentaux.
D’un autre côté, la Belgique a appelé le Gouvernement algérien à amender la loi relative à la pratique des rites religieux des non musulmans. Il a estimé que cette même loi a contribué à « la détérioration » de la liberté des pratiques des rites religieux et croyances en Algérie. Le représentant de la Belgique a regretté ce qu’il a qualifié de « détérioration de la liberté de croyances en Algérie », appelant par la même occasion le Gouvernement à revoir la loi relative à la pratique des rites religieux des non musulmans, datée de 2006.
Pour sa part, le représentant du Vatican a demandé aux autorités algériennes de poursuivre le dialogue avec ce qu’il considère comme des « minorités religieuses », en allusion aux associations chrétiennes réparties dans différentes régions du pays notamment en Kabylie.
Le Matin DZ 17.04.08
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