M. Saïd Saadi, président du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie, RCD, a rencontré, hier, les militants et sympathisants de son parti à la maison de la culture de Bejaia. Il a sévèrement critiqué l’actuelle situation politique et sociale.
Il s’est interrogé sur les raisons qui poussent le président de la République à aspirer à un troisième mandat alors que son bilan n’a été marqué que par l’augmentation du nombre de Haragas, qui ont préféré se noyer en mer plutôt que de faire face à la torture du pouvoir. M. Saïd Saadi a appelé aux principes et aux valeurs d’Avril 1980, qu’il a considérés comme une base de la démocratie.
Le président du RCD a affirmé que la situation politique en Algérie est plus dégradée qu’elle ne l’était à l’ère du parti unique. Alors que 11 pays de l’Afrique noire ont adopté le régime démocratique, le pouvoir algérien bafoue les libertés et mène une stratégie de marginalisation des Amazighs. Il a affirmé qu’il est impossible de bâtir un Etat fort tout en niant l’Histoire.
M. Saïd Saadi a également parlé de la révision de la constitution et l’ouverture du nombre de mandats présidentiels.
A ce propos, il a indiqué que le nombre de mandats doit être limité selon les règles de la démocratie. Il s’est interrogé sur les raisons d’aspirer à un troisième mandat en s’adressant au président de la République : « les jeunes Haragas préfèrent se jeter en mer au lieu d’affronter le mépris du pouvoir, bilan de votre travail ».
El Khabar
Il s’est interrogé sur les raisons qui poussent le président de la République à aspirer à un troisième mandat alors que son bilan n’a été marqué que par l’augmentation du nombre de Haragas, qui ont préféré se noyer en mer plutôt que de faire face à la torture du pouvoir. M. Saïd Saadi a appelé aux principes et aux valeurs d’Avril 1980, qu’il a considérés comme une base de la démocratie.
Le président du RCD a affirmé que la situation politique en Algérie est plus dégradée qu’elle ne l’était à l’ère du parti unique. Alors que 11 pays de l’Afrique noire ont adopté le régime démocratique, le pouvoir algérien bafoue les libertés et mène une stratégie de marginalisation des Amazighs. Il a affirmé qu’il est impossible de bâtir un Etat fort tout en niant l’Histoire.
M. Saïd Saadi a également parlé de la révision de la constitution et l’ouverture du nombre de mandats présidentiels.
A ce propos, il a indiqué que le nombre de mandats doit être limité selon les règles de la démocratie. Il s’est interrogé sur les raisons d’aspirer à un troisième mandat en s’adressant au président de la République : « les jeunes Haragas préfèrent se jeter en mer au lieu d’affronter le mépris du pouvoir, bilan de votre travail ».
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