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Djillali Mehri

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  • Djillali Mehri

    Djillali Mehri est né le 15 décembre 1937 dans l'oasis d'El-Oued en Algérie. Il est marié et père de six enfants.
    Se développant de plus en plus, il étend son champ d'activité au monde des affaires internationales dès 1965.
    Au delà de ses activité professionnelles, Djillali Mehri, élu Député indépendant pour les circonscriptions de la Wilaya d'El-Oued de 1997 à 2002, agit à travers des actions personnelles.
    En 1982, il crée la fondation « Daouïa »
    Une autre association à but non lucratif, « Promojeunes », société créée en partenariat avec un Groupe italien, conseille et aide les jeunes à créer des micro-entreprises.
    Djillali Mehri a mis ses relations au service de la paix. Ainsi, le 31 août 1989, est conclu dans sa résidence de « Pré-Bois » dans les Yvelines, sous son égide, l'accord de paix mettant fin au conflit armé qui opposa le Tchad et la Libye durant près de vingt années. Il a gagné à cet égard l'estime de plusieurs Chefs d'Etats et gouvernements, dont celle du Président François Mitterrand. Il a été décoré par le Colonel Khadafi et le Président Hissène Habré. La plupart des Chefs d'états africains l'ont remercié et adressé des félicitations.
    En tant qu'investisseur, il crée le GIMMO (Groupe d'Investisseurs du Maghreb et du Moyen-Orient) holding étrangère dont il est le principal actionnaire et fondateur. Il est mandaté par ce groupe pour réaliser des investissements dans le monde entier.
    Djillali Mehri a largement contribué dans le cadre de son activité professionnelle à renforcer les relations économiques entre la France et le Maghreb ; ainsi, dans le cadre de la modernisation et de l'ouverture de l'Algérie, il a usé de son crédit pour favoriser, dans la mesure du possible, des entreprises françaises, notamment dans les domaines de l'industrie, du commerce, du bâtiment et des services.
    Il s'est acquis à travers ces différentes opérations, une excellente réputation.
    En 1985, son groupe, le GIMMO, investit dans le Groupe CHAFFOTEAUX & MAURY alors en difficultés et au bord du dépôt de bilan. Second employeur de Bretagne, CHAFFOTAUX & MAURY possédait sa principale unité de production à Saint Brieux dans les Côtes d'Armor.
    Sous son impulsion, un montant de 300 millions de Francs est réuni pour la reprise et le redémarrage de l'entreprise.
    Ainsi, en évitant le dépôt de bilan de CHAFFOTAUX & MAURY, il a préservé l'image de marque d'une grande entreprise française, la hissant au rang de leader européen dans le domaine de la fabrication des chauffe-eau à gaz et des services.
    'est surtout près de 4.000 emplois qui furent ainsi préservés.
    Djillali Mehri a mis en œuvre durant cette période d'autres projets lui tenant tout particulièrement à cœur :
    Il a travaillé avec l'Office National de l'Immigration sur le problème du retour d'un certain nombre d'immigré dans leur pays d'origine.
    On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

  • #2
    djilali mehri c'est aussi cela:

    Après trois mois d'intenses négociations à Alger et à Paris, le géant français de l'hôtellerie Accor et le groupe Mehri ont signé un protocole d'accord pour la construction d'une chaîne d'hôtels comprenant trente-six établissements répartis sur plusieurs villes algériennes. Aux termes de ce protocole, les deux parties prévoient la mise sur pied, dans les prochains jours, d'une société commune dont le capital sera détenu à hauteur de 40 % par chacun des deux groupes. Les 20 % restants seront cédés à un partenaire dont l'identité n'a pas été encore divulguée. « Nous sommes en pourparlers avec plusieurs institutions financières européennes », nous a affirmé Jean-Luc Motot, directeur général d'Accor pour l'Afrique et le Moyen-Orient, sans fournir d'autres précisions sur le fonds d'investissement intéressé par le projet. L'alliance scellée entre Accor et Mehri, dont les activités en Algérie vont de l'hôtellerie aux télécommunications, en passant par l'agroalimentaire et les boissons gazeuses et alcoolisées, constitue l'un des plus importants partenariats jamais conclus en Algérie dans le domaine du tourisme.
    « Le programme de réalisation des trente-six hôtels s'étalera sur une période de neuf ans. Douze établissements devront être prêts tous les trois ans », nous a indiqué Djilali Mehri, patron du groupe algérien. La première phase de construction concernera six hôtels répartis entre Alger, Oran, Constantine et Annaba. Les travaux pour la réalisation d'un hôtel de type Ibis (2 étoiles) de 264 chambres, situé près de l'aéroport international d'Alger, pourront démarrer dans quelques semaines. « Le permis de construire est déposé, l'appel d'offres lancé et les éventuels investisseurs seront fixés au mois de mars », a déclaré Jean-Luc Motot. Un deuxième établissement, de type Novotel (3 étoiles), sera également réalisé à Alger, non loin de la gare routière, qui dessert les plus importantes villes du pays. D'autres hôtels sont également prévus dans certaines villes du Sud algérien, notamment Biskra, Ghardaïa, Taghit Timimoun et Tamanrasset, des destinations particulièrement prisées des touristes occidentaux pour la beauté de leurs paysages sahariens et de leurs sites archéologiques.
    Implanté dans 140 pays, où il gère 4 000 hôtels et emploie plus de 150 000 personnes, pour un chiffre d'affaires de 7,1 milliards d'euros en 2004, Accor entend consolider sa position en Algérie. Déjà présent à travers la gestion du Mercure et du Sofitel d'Alger, deux établissements plutôt destinés aux hommes d'affaires locaux et étrangers, le groupe hôtelier français veut maintenant se diversifier en visant une clientèle domestique. « Nous voulons des prix qui soient en accord avec le marché local et visons une clientèle d'Algériens résidant en France et en Europe et qui souhaitent séjourner dans leur pays », souligne Jean-Luc Motot.
    Sous-équipé en infrastructures hôtelières, le marché algérien offre de vraies perspectives de croissance, en particulier à celui qui s'y intéressera le premier. Les dirigeants d'Accor ne veulent donc pas laisser le secteur aux seuls hommes d'affaires arabes, dont les projets sont annoncés en grande pompe. Le holding saoudien Sidar compte ainsi investir 294 millions de dollars dans la réalisation de deux complexes touristiques, l'un à Alger, l'autre à Boumerdès, une station balnéaire à l'est de la capitale. De leur côté, Entreprises Al Hamed, groupe émirati de sociétés spécialisées dans le tourisme, les services et le commerce, lorgnent le littoral algérois avec un projet dont l'enveloppe financière avoisine 90 millions de dollars, selon un officiel algérien. Autant dire que la concurrence risque d'être rude autour d'un secteur jusque-là négligé par les opérateurs étrangers.
    Interrogé par J.A.I., Djilali Mehri a indiqué que le coût global du projet Accor-Mehri se situerait autour de 25,5 milliards de dinars (272 millions d'euros). L'ouverture des 36 hôtels devrait déboucher sur la création de 6 000 postes d'emplois directs. « Nous privilégions la formation de la main-d'oeuvre locale, explique Jean-Luc Motot. Ibis doit s'intégrer dans le paysage algérien. Nous avons une base de départ étant donné que la chaîne gère depuis quelques années deux hôtels à Alger. »
    Longtemps boudée pour cause d'insécurité, l'Algérie renoue progressivement avec les investisseurs étrangers. Le secteur du tourisme n'échappe pas aux convoitises des hommes d'affaires. Depuis l'indépendance, en 1962, 92 000 lits seulement, dont 36 000 pour le secteur public, ont été réalisés.
    Le gouvernement algérien ne cache pas son ambition d'attirer quelque 3 millions de touristes d'ici à 2013. Une gageure quand on songe aux multiples entraves bureaucratiques, lesquelles étaient précisément au coeur des négociations entre Accor, Mehri et le ministère du Tourisme. Il s'agissait en premier lieu d'accélérer l'obtention des parcelles de terrain indispensables au lancement des travaux de construction et l'acquisition, dans des délais rapides, de l'agrément délivré par l'Agence nationale de développement et de l'investissement (Andi). Djilali Mehri doit rencontrer, le 15 février, des responsables de cette agence afin d'accélérer les procédures administratives.
    Les dirigeants d'Accor ne cachent pas leur satisfaction d'avoir noué une alliance stratégique avec le groupe du milliardaire algérien. Ancien député sous l'étiquette du parti islamiste MSP (Mouvement de la société pour la paix, ex-Hamas), homme d'affaires avisé autant que lobbyiste discret, Djilali Mehri est à la tête de plusieurs entreprises aussi diverses que prospères qui emploient quelque 5 000 personnes.
    Ses deux plus jolis coups, il les a réussis dans son pays, d'abord en se portant acquéreur de l'exclusivité de la licence Pepsi-Cola en Algérie, ensuite en devenant le premier producteur local de bière sous les labels Tango et Stella Artois. Propriétaire de l'hôtel Royal à Oran, il compte s'implanter aux quatre coins du pays avec le concours d'Accor. « Cela fait vingt-cinq ans que je caresse le rêve de m'associer avec le groupe Accor pour construire des hôtels en Algérie, confie Djilali Mehri. Maintes fois reporté, ce projet va enfin voir le jour. Il faut du temps pour mûrir un projet. Je ne baisse jamais les bras. » Décidément, le milliardaire algérien n'a pas usurpé sa réputation d'homme d'affaires tenace.

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    • #3
      C'est le frère d'AbdelHamid Mehri ?
      Dernière modification par zwina, 20 avril 2008, 22h13.
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #4
        Bonsoir Zwina, les deux hommes ne sont des frères; Djilali Mehri, l'homme d'affaire, est d'ElOued et Abdelhamid Mehri, le politicien est de Guelma.

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        • #5
          Bledna

          Qu'a t-il fait de 1937 à 1965 ?
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            A vrai dire je n'est pas suivi l'itinéraire de Djilali Mehri de 1937 à 1965. J'ignore son passé.

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            • #7
              les deux hommes ne sont des frères; Djilali Mehri, l'homme d'affaire, est d'ElOued et Abdelhamid Mehri, le politicien est de Guelma.
              exact! En Algerie la lutte armée n est la seule réference pendant cette periode de notre histoire!

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              • #8
                entierement d'accord

                L'Algérie c'est comme la tour de pise, tout le monde croit qu'elle va tomber mais.. ca me rappele un poéme de sidi abderrahman éthaààlibi, le propriétaire de la casba d'alger il dis en arabe
                INA EL DJAZA IRA FI AHWALIHA ADJABOUNE
                WALA YADOUMOU LINNASSI FIHA MAKROUHOU
                MA HALLA BIHA DHEYKOUNE WALA MOUTTASAOUNE
                ILLA YOUSSEROUNE MINA ELLAHI YETLOUHOU
                C'est un beau pays si les corrempus , ne le detruise pas, nous les jeunes nous devons nous battre ,contre ces foutus de *****, qui ne cessent de pourrire la vie des gens honnetes, laissons deriere nous le passé noire , et vivons pour l'avenir , peut etre on pourra s'ensortir

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                • #9
                  Zwina

                  volià un entrepeneur algérien, et tout ce qui t'interesse c'est ce qu'il est le frère de untel ou de ce qu'il a fait entre tel date et tel date!!!

                  ta question peut être est d'ou vient sa fortune? eh ben principalement de Libye et d'import export entre l'agérie et la france.

                  sinon.

                  ses réalisations? il est à l'origine dans les années 80 de la première entreprise qui fait de l'offshore en afrique!! Sitel.

                  http://www.sitel.dz/

                  Aujourd'hui, il est avec accor 300 millions d'euros d"invetissement dans l'hotellerie.

                  Ce qui a déjà été rélaisé recemment? prend une chambre d'hotel ici si tu te vas en algérie.

                  http://www.royalhoteloran.com/

                  Et promene toi avenue loubet tout lui appartient
                  Dernière modification par bledard_for_ever, 21 avril 2008, 20h53.
                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                  Commentaire


                  • #10
                    Bledard

                    Il n'aurait pas en plus un fils celibataire ?
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      Il n'aurait pas en plus un fils celibataire ?
                      je ne sais pas... mais en tous les cas si tu decroches le gros lot t'auras le droit à sa propriéité à el oued semble t il les emirs de golf en perdent leur palais..tes invités viendont chacun en helicoptère.
                      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                      • #12
                        Bledard

                        En plus ils boiront du coca à volonté puisqu'il est aussi le PDG de Pepsi Algérie.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #13
                          non de Tango ou encore Stella si t'es matrice de biere....

                          Alors toujours à marier ?
                          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                          • #14
                            Bledard

                            De Pepsi aussi mais plus de Tango qu'il vient de vendre au groupe Heineken.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #15
                              mmmmmmmmmmmmmmm

                              je vois que tu suis de tres prés les affaires "familliales"
                              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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