Des volutes de fumées musquées
Aux effluves des fleurs du pécher
Le parfum des vagues ocres
L’empreinte humée du l’aire provincial
Et des roches nacres
Ne reste que le baume
De ta belle toison
Entre le creux des paumes
De l’aspect velouté des tapis Perse
Le ton rêche des paillasses
L’étoffe duvetée des mentaux en fourrure
Et la suavité des soieries
Mes doigts ne retiennent
Que la crasse de ta peau
Autant de visages se sont défilés
Des sourires affilés
Et l’unique rire des mioches
Tout portrait et trait effacé
Seul.. ton mignon faciès
Du silence des corps ensevelis
Le babil des berceaux
L’appel des minarets
Et le salut des clochers
Ne revient charmé mon l’ouie
Que le son de ta voix
Parfum de nuit
Aux effluves des fleurs du pécher
Le parfum des vagues ocres
L’empreinte humée du l’aire provincial
Et des roches nacres
Ne reste que le baume
De ta belle toison
Entre le creux des paumes
De l’aspect velouté des tapis Perse
Le ton rêche des paillasses
L’étoffe duvetée des mentaux en fourrure
Et la suavité des soieries
Mes doigts ne retiennent
Que la crasse de ta peau
Autant de visages se sont défilés
Des sourires affilés
Et l’unique rire des mioches
Tout portrait et trait effacé
Seul.. ton mignon faciès
Du silence des corps ensevelis
Le babil des berceaux
L’appel des minarets
Et le salut des clochers
Ne revient charmé mon l’ouie
Que le son de ta voix
Parfum de nuit
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