Le secteur des assurances se développe en Algérie

[nassim]

Le secteur des assurances commence à se développer en Algérie. Après l’installation des compagnies d’assurance étrangères, c’est au tour des compagnies nationales de signer des accords de partenariat avec les banques. Dans ce sens, la Société nationale des assurances (SAA) a procédé hier, à la signature d’une convention Bancassurance avec la Banque de développement local (BDL). L’accord a été signé par Amara Latrous, président-directeur général de la SAA, et Mohamed Bachtarzi, président-directeur général de la BDL, sous l’oeil vigilant de Hadji Baba Ammi, directeur général du Trésor public, ainsi que Kamel Merami, directeur des assurances au ministère des Finances. La Bancassurance est une forme d’intermédiation qui permet aux assureurs d’utiliser les comptoirs des banques pour vendre leurs produits. Selon Amara Latrous, ce partenariat ne concerne pas tous les types d’assurances, en vertu de la loi de février 2006. Ce partenariat avec la BDL concerne «les produits d’assurance de personnes, l’assurance multirisques habitation mais pas l’assurance automobile», affirme-t-il. A ces deux types d’assurance s’ajoute l’assurance agricole que la SAA va signer aujourd’hui avec la Badr. Interrogé sur l’assurance automobile, le patron de la SAA indique que «pour le moment l’assurance automobile n’est pas distribuable par les guichets bancaires. Elle nécessite un volume de gestion plus important et une plus grande mobilisation d’employés».

L’assurance automobile ne représente que 40% du chiffre d’affaires du marché des assurances. Ce type de produit a connu une augmentation de 20% depuis le début de l’année en cours. A travers cet accord, la BDL bénéficiera également d’une rémunération par la SAA qui lui versera une commission sur les encaissements des primes d’assurance, a expliqué M.Benlaribi, chef de division marketing au sein de la SAA, qui a tenu à souligner, à l’occasion, que cette opération n’entraînerait aucune augmentation sur les primes des produits d’assurance vendus. Pour rappel, la Bancassurance a été récemment introduite en Algérie. Avec l’ouverture du marché, les frontières entre ces deux secteurs s’estompent. Un partenariat largement développé de par le monde. Aussi pour faire face à ce déficit, les assurances ont décidé de mettre à profit les comptoirs des banques, estimés à plus de 2500 à travers le pays, soit l’équivalent des agences des différentes compagnies d’assurances. «Les guichets bancaires, selon Benlaribi, seront opérationnels à partir du mois de juillet 2008. La formation se déroule de manière progressive. Elle concernera quelque 250 employés de la BDL». La mise en oeuvre de ce partenariat se fera d’abord à travers neuf agences pilotes pour une période de 15 jours avant de généraliser l’opération à l’ensemble du réseau de la BDL.

source : l'Expression

[racdavid]

Comment peut on voir ce devellopement ? par le nombre d'abonnés ou plutot par les offres proposées sur le marché?????

[Distro]

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Les offres..

[zaki123]

les assurance du point de vue economique sont ils benefiques ou catstriphique pour un environement?
Du point de vue politique qui a droit d'ouvrire et qui n'a pas droit?
Du point de vue theologique les assureurs doivent travailler et toucher leur salaire par la sueure de leur front ou puiser dans nos cotisations comme ils le veulent et quant ils le veulent en acordant aux uns et en refusant aux autres. Ou passe mes cotisations moi qui n'a jamais mis les pieds dans une assurance? Les étrangers vont ils devenir des concurents potentiels dans lequel je pourrais tirer mes cotisations d'un tirroire sans clé vers un autre tiroire? D'apres Adam smith le theoricien economiste americain les assurances pour lui n'est qu'une forme de rackette? Avait il raison ou avait il tort? Y 'a t'il enfin une difference entre les assureurs algeriens et leurs homologues étranger? Ou se situe la difference.