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12.000,00 DA pour les universitaires diplômés

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  • 12.000,00 DA pour les universitaires diplômés

    Emploi de jeunes
    12 000 DA pour les universitaires diplômés
    Une contribution mensuelle de l’Etat de 12 000 DA sera versée aux employeurs ayant recruté des universitaires diplômés dans le cadre des mesures incitatives au recrutement, a annoncé hier le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh.

    « Cette contribution s’inscrit dans le cadre des principales dispositions du décret exécutif relatif au dispositif d’aide à l’insertion professionnelle », a précisé le ministre lors des travaux d’un regroupement régional de la Caisse nationale d’assurance-chômage (CNAC). Outre les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, ces mesures incitatives de recrutement concernent également les jeunes sortant de l’enseignement secondaire de l’éducation nationale et les jeunes sans formation ni qualification, a ajouté M. Louh, selon l’APS qui a rapporté l’information. Ces mesures, a-t-il dit, visent à favoriser l’insertion professionnelle des jeunes primodemandeurs d’emploi et à encourager toutes autres formes d’action et de mesures tendant à promouvoir l’emploi des jeunes. Ainsi, « la contribution de l’Etat avec l’employeur au salaire de l’universitaire diplômé dans le cadre de ces mesures incitatives est d’une durée de trois ans après son recrutement, d’un montant de 12 000 DA par mois durant la 1re année et de 10 000 DA la 2e année », a-t-il précisé. L’Etat versera 8000 DA par mois, à titre de contribution pour les employeurs ayant recruté des jeunes sortant de l’enseignement secondaire de l’éducation nationale, dans le cadre de ces mesures incitatives de recrutement. S’agissant des jeunes sans formation ni qualification, l’Etat versera une bourse mensuelle de 4000 DA lorsqu’ils sont placés en stage de formation auprès de maîtres artisans. Dans le même contexte, le ministre a indiqué que trois types de contrat ont été élaborés dans le cadre des mécanismes d’insertion au profit de ces trois catégories de jeunes. Il s’agit du contrat d’insertion des diplômés (CID) pour les universitaires diplômés, le contrat d’insertion professionnelle (CIP) pour les jeunes sortant de l’enseignement secondaire de l’éducation nationale et le contrat formation-emploi (CFE) pour les jeunes sans formation ni qualification. En matière de politique d’emploi et de lutte contre le chômage, il est à rappeler que le conseil interministériel présidé le 19 avril par M. Belkhadem a examiné un projet de décret exécutif modifiant et complétant le décret exécutif fixant les conditions et les modalités de mise à disposition des locaux à usage professionnel et artisanal au profit des chômeurs promoteurs. L’idée sous-jacente à cet amendement est d’orienter l’utilisation de ces locaux pour créer des pépinières de nouvelles entreprises au profit des jeunes porteurs de projets créateurs d’emploi et de richesse et de préserver ce patrimoine contre d’éventuelles spéculations.
    @El-Watan
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    Je trouve que c'est une bonne démarche, mais hélas! est ce que les algériens sont prêts pour ça?:
    Il faudrait que l'état fasse attention aux emplois fictifs et employées fantômes et aussi aux employeurs malhônnetes. J'éspére inchallah que ça va comme même aider beaucoup de jeunes.
    L'ennemi n'est pas forcément celui contre qui l'on se bat Mais celui qui profite des dégâts

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