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La normalisation entre le Maroc et l’Algérie passe par Tanger

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  • La normalisation entre le Maroc et l’Algérie passe par Tanger

    Selon un ancien SG du FLN La normalisation entre le Maroc et l’Algérie passe par Tanger

    Abdelhamid Mehri, ancien secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), espère que la commémoration du cinquantenaire de la Conférence de Tanger, prévue au Maroc le 27 avril, sera le départ d’un véritable renouveau des relations entre le Maroc et l’Algérie.


    L’appel du Maroc à la réouverture des frontières avec l’Algérie vient de défrayer à nouveau la chronique. Et c’est un dirigeant fondateur du Front de libération nationale (FLN) qui vient de s’exprimer sur le sujet. Abdelhamid Mehri, qui est attendu dimanche dans la ville du détroit, pour participer aux festivités commémoratives du cinquantenaire de la Conférence de Tanger, a saisi cette occasion pour lancer un appel à la normalisation des relations entre les deux piliers du Maghreb, le Maroc et l’Algérie. Dans une interview au quotidien « l’Expression », parue hier mercredi, l’ancien SG du FLN, parti au pouvoir, a d’abord réagi à l’appel du Maroc pour la réouverture des frontières. «L’appel du Maroc (…) s’inscrit dans la bonne direction», a estimé M. Mehri, qui était ministre dans le gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). Il s’agissait du premier gouvernement algérien, dont le chef ne fut autre qu’un symbole de la libération nationale algérienne, Ferhat Abbas. Ce gouvernement a vu le jour le 27 avril 1958 à Tanger, d’où a jailli la première véritable étincelle pour l’indépendance de l’Algérie, avec le soutien du parti de l’Istiqlal et le Néo-Destour tunisien. «J’espère que le cinquantenaire de la Conférence de Tanger donnera le départ d’un véritable renouveau des relations entre le Maroc et l’Algérie», a répondu M.Mehri à la question du quotidien algérien, au sujet de l’appel du Maroc pour la normalisation des relations. «Je ne peux que souhaiter la normalisation des relations entre le Maroc et l’Algérie. Ce souhait est partagé, j’en suis persuadé, par les peuples marocain et algérien. Leur intérêt, bien compris, le commande», a fait valoir M. Mehri. Or, ce n’est pas de cette oreille que l’entend le régime en place à Alger. «La situation de blocage de ce dossier est malsaine», a dénoncé M. Mehri. Malsaine, elle l’est d’autant plus qu’Alger repousse chaque nouvelle offre d’ouverture venant du Maroc, au point d’avoir verrouillé toute possibilité de normalisation. A l’évidence, le verrouillage est à chercher du côté d’Alger, et non auprès des "deux parties", comme M. Mehri l’a affirmé, en disant que «la responsabilité (de cette situation malsaine) en incombe aux deux parties». Qu’à cela ne tienne, M. Mehri, et sans concession aucune, a su porter les mots aux maux. «Je suis persuadé qu’un bon fonctionnement démocratique des institutions des deux pays aurait pu éviter les situations de blocage et régler les problèmes objectifs qui peuvent surgir entre les deux pays», a-t-il estimé, sans toutefois préciser que le « déficit » démocratique se situe plutôt à Alger, et non au Maroc qui a initié des réformes audacieuses saluées par l’ensemble de la communauté internationale. Le vœu de renouveau exprimé par l’ancien dirigeant du FLN ouvre une brèche. Les dirigeants actuels de ce parti, qui sont au pouvoir, sont appelés à lui emboîter le pas pour ouvrir une nouvelle page avec le Maroc. Au nom de la communauté d’histoire, mais aussi et surtout de l’avenir.

  • #2
    «Je suis persuadé qu’un bon fonctionnement démocratique des institutions des deux pays aurait pu éviter les situations de blocage et régler les problèmes objectifs qui peuvent surgir entre les deux pays», a-t-il estimé, sans toutefois préciser que le « déficit » démocratique se situe plutôt à Alger, et non au Maroc qui a initié des réformes audacieuses saluées par l’ensemble de la communauté internationale."

    Rien que ça !!! Bon courage

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    • #3
      >>>d’où a jailli la première véritable étincelle pour l’indépendance de l’Algérie

      L'histoire de l'algérie façonnée dans un tagine ya mhaynek.

      Mehri piégé à son tour, d'une part on lui déroule le tapis et au même moment on lui porte la massue sur la tête, car il ne dit pas ce que veut entendre le makhzen...

      Miroir qui est le plus beau....

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      • #4
        citoyen c'est impossible de changer l'histoir surtous quand ces gens sont toujour en vie.
        le maroc a aide pour l'independence de l'algerie./

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        • #5
          -en livrant les dirigeants de la revolution à l'ennemi colonialiste
          -en escroquant un papier à Ferhat Abbas allah yarhamou
          -en agressant l'Algerie independante à la sortie d'une guerre de liberation
          particulierement meurtriere
          drole de fraternité
          Je compatie mais comme disait le message juste avant toi, on ne change pas l'histoire et vu qu'on ne parle pas de la periode de Cro-magnon, cette histoire la est enregistree a jamais Desole de t'arreter dans l'elan propagandiste.. Enjoy...





          <
          Dernière modification par ayoub7, 25 avril 2008, 00h42.

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          • #6
            Les propos de Ben Bella sont revelateurs a plus d'un titre.

            Have fun!

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            • #7
              Tu parles du meme Ben Bella qui est pour l'autnomie marocaine ? lol

              Have double fun...

              Ben Bella qui, on se souvient, avait mis à feu et à sang la kabylie en 1963 à la tête de l’armée des frontières, découvre enfin les vertus de l’autonomie ! Pas celle de la Kabylie, bien entendu, mais celle du Sahara Occidental. À 90 ans, il vaut mieux tard que jamais et il était surtout temps de devenir sage.
              Seulement voilà : pourquoi ce qui est bon pour le Maroc serait-il mauvais pour l’Algérie ? Ce statut de large autonomie s’appliquerait-il exclusivement pour le Sahara Occidental, ou au contraire pour également les autres régions distinctes de Tamazgha telles que le Rif, la Kabylie, l’Ahagar ...ce qui jetterait les bases de la future Fédération des Régions Autonomes de l’Afrique du Nord. Cela aiderait sûrement à mettre fin aux multiples conflits qui ont miné le développement des pays d’Afrique du Nord (guerre du Rif, guerre Ben Bella-Kabylie, guerre de l’Azawad, etc...).
              Par ailleurs, si l’option autonomiste est viable pour environ 120 000 Sahraouis, elle l’est d’autant plus pour 7 millions de Kabyles.
              Venant de Ben Bella, un des principaux vecteurs de l’arabo-islamisme dans la région, a de quoi surprendre. D’autant plus, qu’en parallèle il se dit ouvert à l’amazighité, lui qui ne jurait que par Nasser et qui était à l’origine de l’ingérence panarabiste en Algérie. Les présidents Ferhat Abbas et Habib Bourguiba se retourneront dans leurs tombes !
              À moins que Ben Bella, au soir de sa vie, ne réalise que ce fut son allégeance à Nasser en 1962 qui avait ouvert la porte au Baâthisme, wahhabisme et salafisme responsables du chaos en Algérie et des conflits régionaux.

              L’Hocine Ukerdis
              ----

              Le Soir (06 mai)
              Actualités : SAHARA OCCIDENTAL
              Ben Bella s’aligne sur Rabat

              A partir de Marrakech, Ahmed Ben Bella va à contre-courant de la position algérienne vis-à-vis de la question du Sahara occidental. Devant un parterre de journalistes marocains, il a affirmé qu’il était favorable à « une solution politique de la question du Sahara, fondée sur l’octroi d’une autonomie élargie sous souveraineté marocaine ». Au moment où l’Algérie officielle réaffirmait que le conflit du Sahara occidental ne pouvait être considéré que comme une question de décolonisation, l’ancien président de la République défendait des thèses totalement antinomiques de celles défendues par Bouteflika. Pire encore, il n’a pas hésité à prédire qu’une solution était envisageable sous le mandat de ce dernier. « J’ai déjà défendu ce projet il y a plus de dix ans en Espagne. Il est actuellement possible de régler cette affaire sous le mandat du président Abdelaziz Bouteflika, et ce, en dépit de ce qui caractérise les relations entre les deux pays de temps en temps du fait, notamment, de l’ingérence de certaines parties. » Aux journalistes qui l’interrogeaient au sujet des frontières algéro-marocaines qui demeurent fermées, Ben Bella a répondu que cet état de fait est aujourd’hui considéré comme « une histoire ancienne et anachronique » ajoutant : « Je rejette la division qui constitue une situation anormale imposée par le colonisateur. L’union est actuellement la voie la plus appropriée pour sortir de l’impasse. Nous savons que l’Europe qui a, elle-même, consacré une longue période de son histoire à consolider les frontières entre ses pays, a fini par y renoncer et s’unifier. Notre union en tant que Maghrébins ne doit pas être perçue comme le prix d’une guerre contre les autres ou une déclaration de haine à leur égard, mais doit se faire pour la réalisation de notre propre développement et la garantie de l’avenir de l’humanité ». Ben Bella ne dira cependant pas comment les deux pays peuvent transcender leurs différends. Dans un contexte marqué par des crises ponctuelles entre les deux pays, Ben Bella a évoqué la question de l’armement. Il s’est prononcé « contre la course à l’armement dans la région du Maghreb arabe et contre l’augmentation des budgets alloués au renforcement de l’arsenal militaire et des armées, laquelle se fait au détriment du développement socioéconomique et culturel des peuples de la région. De telles initiatives ne peuvent qu’instaurer un climat de méfiance entre frères maghrébins. » Que propose-t-il en contrepartie ? « Un processus de réconciliation en tant que voie unique pour faire sortir les peuples maghrébins de la situation actuelle qu’impose l’ordre mondial prévalant et un rejet catégorique de l’extrémisme sous ses différentes formes, réaffirmant son attachement à un islam tolérant et respectueux de la vie ». La question de la culture n’a pas été en reste. Ben Bella dira qu’il est « nécessaire de gérer cette question de manière rationnelle et sage. Les peuples de la région du Maghreb arabe ne peuvent abandonner l’amazighité. Nous sommes tous des Amazighs et on doit accepter cette situation tant qu’elle ne s’oppose pas à l’arabité et aux valeurs sacrées de l’Islam ». Autant de thèses développées à partir du sol marocain et largement reprises par les médias marocains qui trouvent en la personne de Ben Bella un allié inespéré...
              N. I.
              Dernière modification par ayoub7, 25 avril 2008, 00h49.

              Commentaire


              • #8
                A travers les manchettes que vos rotatives dispatchent sans retenue,peut etre il est un fervent adepte de cette hypothetique autonomie factice a sens unique,mais en realite.............Rien n'est moins sure!

                Voir l'interview manipule de khaled nezzar,slimane Benaissa(entre autres).:22:
                Dernière modification par Azna, 25 avril 2008, 00h54.

                Commentaire


                • #9
                  Ya weddi ach men normalisation !

                  ces gens là n aspirent pas confiance . ils nient l aide du maroc, veulent perdurer le problemes du sahara pour les raisons que l on sait , et surtout ne font que parler de principes , ce qui cachent beaucoup de plans.
                  si on ouvre les frontires ; les fruoits et legums deserteront nos etales et les prix vont exploser
                  d ou une destabilisation sociale, alors gardons les choses comme elles sont.

                  Nous gagnerons rien avec ces gens, il faut voir vers le nord et le sud, a
                  l ouest il y a l ocean !
                  Dernière modification par upup, 25 avril 2008, 00h58.

                  Commentaire


                  • #10
                    Azna, Le Soir est un journal... algerien...

                    Pour Nezzar, tu n'as pas compris mon ami, il roule pour le Makhzen, comme Van Walsum, comme les US, comme la France et l'Espagne, comme tous les pays arabes et musulmans, comme les sahraouis au Maroc et comme tout ce qui respire sur cette terre...

                    Commentaire


                    • #11
                      bon? parce que l'interview de khalid nezzar était manipulé?

                      pourquoi ben bella n'a pas démenti?

                      Commentaire


                      • #12
                        Ayoub,

                        Loin de moi cette idee........................Preuve a l'appui.


                        Actualité (Jeudi 30 Septembre 2004)

                        Les réponses du général Nezzar
                        Interrogé par RFI sur la dernière présidentielle, les harkis, boudiaf et le sahara occidental

                        Par : RFI


                        L’ancien membre du Haut comité d’État (HCE) et ministre de la Défense, qui se trouve actuellement en France pour la sortie de son dernier livre Journal de guerre, a accordé un entretien à Radio France internationale, diffusé mardi et mercredi. Nous reproduisons l’essentiel des questions abordées.

                        RFI : Khaled Nezzar, comme vous le savez, votre nom est souvent associé à la violente répression des années 1990 contre les islamistes. Ce livre est-il une façon de montrer qu’il y a un autre général Nezzar ?
                        Khaled Nezzar : Absolument pas. En 1992, j’ai été confronté au phénomène de l’islamisme. Le président Chadli a démissionné, l’armée a réagi, sans quoi le pays allait sombrer. Le seul moyen était d’arrêter ce processus de la mort.

                        C’est vous, en tant que ministre de la Défense, qui aviez arrêté le processus électoral. Douze ans après, vous auriez refait la même chose après tout le sang versé, on parle de 200 000 morts ?
                        Ce chiffre est inexact, il faut descendre d’un tiers. Mais cela fait quand même beaucoup de morts. Aujourd’hui dans la même situation ? J’aurais fait la même chose, sans aucun état d’âme parce que sans cela, ça aurait été la régression totale du pays.

                        Six mois plus tard, le président (du HCE) Mohamed Boudiaf est assassiné. Qui en a été l’auteur : un islamiste infiltré dans l’armée ou les faucons de votre armée ?
                        Je ne sais pas qui on pourrait appeler “faucons” mais alors, il n’y aurait pas plus faucon que moi (rires)…

                        Donc vous assumez le rôle de “faucon” que vous avez tenu en 1992 ?
                        Non, pas le rôle de “faucon”, mon rôle de militaire responsable.

                        Qui a assassiné Boudiaf ?
                        Un militaire qui est toujours en prison.

                        Manipulé par qui ?
                        Jusqu’à présent, il ne parle pas. Pour moi, à 99%, il a été manipulé par les islamistes. Tôt ou tard, il parlera.

                        Pourquoi n’avez-vous pas pris le pouvoir après la mort de Boudiaf ?
                        Parce que justement, il a été tué par un militaire. Cela aurait pu vouloir dire : “Les militaires l’ont tué pour prendre le pouvoir”. J’aurais pratiquement légitimé cette idée. C’est pourquoi, on a laissé Ali Kafi prendre la tête du HCE et jouer pleinement son rôle, au même titre que les quatre autres membres.

                        Vous avez démarré votre carrière militaire en France, à l’École de guerre, avant de déserter, en 1958, sous le grade de sous-lieutenant. Pourquoi ?
                        Ce n’était pas à l’École de guerre mais à l’École des “officiers de base”, j’en suis sorti aspirant en partant pour rejoindre mes frères. Je suis issu d’une famille de révolutionnaires et de maquisards, je n’avais d’autre choix que de rejoindre mes frères. Je ne pouvais pas les combattre (…). Entre ma génération et celle qui a déclenché la Révolution, il ne se pose pas une question de légitimité comme vous dites. Cela ne va pas au-delà de la jalousie. Nous étions venus de l’armée française comme d’autres sont venus des écoles du Moyen-Orient, mais ceux qui nous ont confié des responsabilités étaient des maquisards.

                        À la fin de la Guerre d’Algérie, il y a eu un épisode terrible : le massacre de dizaines de milliers de harkis par l’armée algérienne. Jusqu’à aujourd’hui, vous ne regrettez pas ce sang versé ?
                        On a dit qu’on avait tué 150 000 harkis alors que le total des effectifs était de 70 000 ! Bon. Moi, en tant que témoin, je peux dire qu’il a eu certains dépassements…

                        Mais le président Bouteflika, lors d’une récente visite en France, a tenu des propos très durs à l’encontre des harkis, n’est-il pas temps de tourner la page ?

                        Il n’y a pas d’autres choix. Cinquante ans après, il y a des vérités à dire, tant du côté algérien que du côté français, disons-les et tirons un trait.

                        En 1999, vous aviez traité Bouteflika de “canasson”. Pensez-vous que la génération Boumediene dont il fait partie doit passer la main ?
                        Il serait peut-être temps de s’y préparer. Bouteflika, qui était proche de Boumediene à une époque, sait comment ce dernier a passé le relais, dans des conditions difficiles et à quelqu’un qui n’en avait pas la capacité.

                        Après le limogeage du général Mohamed Lamari, n’a-t-il pas des pouvoirs que jamais un président algérien n’a eu depuis Boumediene ?
                        Lamari n’a pas été limogé, il est parti de son plein gré. Pour la suite, il faut attendre pour juger.

                        Au moment où le conflit du Sahara durcit les relations entre l’Algérie et le Maroc, voyez-vous l’esquisse d’une solution ?
                        Ni indépendance du Sahara ni intégration au Maroc. Mais, une voie qui puisse arranger tous les pays du Maghreb et permettre la constitution de l’espace maghrébin.

                        Une autonomie ?
                        Cela dépend de quelle autonomie. Peut-être appartient-il aux sages de la région de la trouver. Cela dit, quand le Maroc change complètement de points de vue, nous instaure un visa pour le supprimer sans avertir les Algériens, la confiance en prend un coup. Or, il faut la restaurer pour régler nos différends, notamment à la frontière.
                        Nous avons deux millions d’Algériens qui vont dépenser quatre milliards de dollars au Maroc et aucun Marocain ne vient chez nous. Le Maghreb ne peut se construire dans un sens unique. Et, je suis d’accord, il n’y aura pas d’UMA sans le règlement de la question du Sahara.

                        On peut imaginer cette autonomie sous souveraineté marocaine ?
                        Je ne crois pas à cette solution.

                        Sous quelle souveraineté alors ?
                        Celle des pays maghrébins par exemple.

                        RFI
                        Comme tu peux le constater,le Nezzar national est loin
                        de cautionner vos appetits gargantuesques sur le sahara occidental.

                        Commentaire


                        • #13
                          regarde bien a la question sur l'autonomie.

                          il dit clairement "independance non integration complete non"

                          Commentaire


                          • #14
                            Van walsum,
                            Je pense qu'il ne roule pour personne il suffit de prendre ses propos en totalite en dehors du prisme subjectif deformant,erige par la MAP et ses petits copains:

                            Je le quote:
                            Sans pressions exercees sur le maroc,l'independance du sahara occidental est irealisable.

                            Pas d'equivoque la dessus.

                            Quand aux Usa,son soutient oscille au gre des alliances du moment et de ses interets imperieux.
                            (Meme si il faut preciser que la corruption(30 millions de dollars)et les obediences sionistes de certains a eu une part preponderante sur le denouement du processus.

                            La france???
                            Elle soutient sa derniere colonie en Afrique....Somme toute logique.

                            Sans ommettre d'ajouter biensur,le support indefectible de la Russie,de la Chine et de la Grande Bretagne(pour ne citer que les membres permanents du conseil de securite) a la cause defendue par l'Algerie.

                            Resultats des courses:
                            Votre cause supra-nationale patauge dans le cambouie,depuis 32 ans et aucun pays au monde ne reconnait la souverainete du maroc sur le sahara.

                            Continuez de la sorte,vous etes sur le bon chemin.
                            Dernière modification par Azna, 25 avril 2008, 01h27.

                            Commentaire


                            • #15
                              Ah ben tiens, Nezzar va encore plus loin, c'est mon idee aussi, donner aux Sahraouis le Sahara, de Laayoune au Hoggar a la Tunisie et jusqu'en Lybie, on commence quand? lol

                              En gros, que ce soit la premiere ou la 2eme interview, Nezzar veut tout saut l'interet du pauvre peuple opprime sahraoui, y a salam, quand le lapsus sort le plus innocement du monde, ca donne des moments "Priceless" comme celui ou on annonce sans rougir le partage du sahara entre le Maroc et l'Algerie ou une autonomie maghrebine sur le sahara mais que du cote marocain... Je me marre

                              Dommage que l'ONU pense qu'elle ne doit etre que cote marocain sous souverainete marocaine.

                              Commentaire

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