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Le gouvernement veut encourager le retour des cadres algériens expatriés

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  • Le gouvernement veut encourager le retour des cadres algériens expatriés

    Le gouvernement veut encourager les compétences algériennes établies à l’étranger à rentrer en Algérie. Dernière annonce en date : selon une nouvelle disposition adoptée mardi par l’exécutif, les cadres émigrés qui décident de retourner en Algérie garderont l’ensemble de leurs acquis professionnels. Explication : les cadres émigrés de retour en Algérie garderont leurs statuts, titres, fonctions et le bénéfice des expériences scientifiques acquises à l'étranger. L’information a été révélée, jeudi 24 avril, par le ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Rachid Haraoubia, lors d’une rencontre avec la presse nationale. Pour la première fois "un texte de loi préserve les acquis de nos cadres émigrés", a souligné M. Haraoubia.

    Selon des statistiques officieuses, plusieurs milliers de cadres algériens ont été contraints à quitter leur pays durant les dix dernières années, dont un grand nombre sont employés en Europe. Parmi eux de nombreux médecin, enseignants, informaticiens…Pour la seule année 2007, plus de 500 médecins ont quitté l’Algérie pour l’Europe et le Canada. Aujourd’hui, ces compétences craignaient qu'à leur retour ils ne soient pas réintégrés dans leur fonction au niveau qu'ils avaient atteint avant leur départ. Depuis l’arrivée au pouvoir du président Bouteflika, en 1999, les gouvernements successifs ont tenté de mettre en place une politique pour encourager le retour des compétences établis à l’étranger. Mais ces politiques ne semblent pas avoir donné les résultats attendus.

    Par sonia lyes


    La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.

  • #2
    Je ne comprend pas cette loi, c'est une honte venant d'un gouvernement:

    Alors on va imaginer: si je comprend bien:
    Je suis cadre, j'abondonne tous à l'etranger, je déménage et je rentre en Algerie et je vais voir le recteur de l'université, pour lui demander de me réintegrer à mon ancien poste disant d'enseignant, et là surprise le poste est déjà occupé puisque il a fallu me remplacer (ce qui est logique et inévitable), puis Mr le recteur va me décorer par une médaille comme quoi je garde comme même autour de mon coup le titre d'enseignant mais au chomage, c'est pas mal.
    Ce que je conseille à ce ministre est de trouver déjà du travail aux jeunes diplomés qui sont au chomage en Algerie avant que ces derniers prennent le même chemin vers l'etranger.
    L'ennemi n'est pas forcément celui contre qui l'on se bat Mais celui qui profite des dégâts

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    • #3
      Aujourd’hui, ces compétences craignaient qu'à leur retour ils ne soient pas réintégrés dans leur fonction au niveau qu'ils avaient atteint avant leur départ.
      c'est faux comme analyse. L’intellectuel a plié bagage a cause du milieu. La masse soit 80 % de femmes illettrées et 80 % d'homme lettré mais sans métier, les 20 % des femmes et des hommes qui ont un savoir faire sont payés pour couvrir les autres. Une administration de 100 fonctionnaire 10 femmes et 10 hommes fonctionnent et couvrent 80 fonctionnent qui ne font rien ou qui n'ont aucune qualification.
      Dans ce système si l'état veut s'engager a faire revenir les élites de l'étranger la masse des 80 sera contre, tout simplement les choses vont devenir apparente ceux qui réellement produisent de la richesse et qui ne bénéficient d'aucun avantage et la majorité avec bousabbaa a la poche arrière qui prennent tous les avantages. Dans l'administration algérienne il n n y a pas de règle économique ou commercial de la gestion il y a de la violence verbale et physique pour avoir les avantages quitte à marcher sur tout le monde.
      je vais poser des conditions de retour et vous allez voir que le ministre ne pourra rien faire.
      pour faire retourner les élites expatriés voici la méthode elle est simple:
      1 donner lui le droit d'avoir un lot de terrain la ou il veut et dans les vingt quatre heures de sa signature.
      2 donner lui un passeport diplomatique pour qu'il ne soit pas malmener dans les aéroports et les ambassades lorsqu'il veut participer a un congrée ou signé des contrats de recherche.
      3 consigner lui un laboratoire et appliquer la réglementation international et universelle dans la gestion et le fonctionnement des labos.

      le salaire est géneralement sous contrat entre l'employeur et l'employé. L'enseignant ou le chercheur demandera son salaire en fonction de ces competances et pas en fonction de son appartenance ou de sa couleur ou de sa region.
      CHICHE MONSIEUR LE MINISTRE

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      • #4
        Bonjour.Il faudrait plutot réformer toute la société pour que les cadres reviennent. Dans la vie, il n'y a pas que le poste de travail qui compte.
        -Les choses sont rarement ce qu'elles semblent être. Mani

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        • #5
          Bonjour.Il faudrait plutot réformer toute la société pour que les cadres reviennent. Dans la vie, il n'y a pas que le poste de travail qui compte.
          exactement tout le monde ne parle que de travail, salaire ... et oublie le cadre de vie.

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          • #6
            Je ne sais vraiment pas si les autorités algériennes sont conscientes de ce qu'elles avancent ?

            J'avoue que j'ai des difficultés à décrypter les actions des pouvoirs publics pour attirer et retenir les talents algériens.

            Les autorités algériennes ont véritablement besoin de mettre en place une stratégie marketing pour attirer les compétences de l'étranger car ce n'est surement pas en proposant de conserver les acquis professionnels des cadres émigrés qu'elles favoriseront le retour au pays des milliers de talents compétents.

            Comme cité plus haut, le cadre de vie, le cadre de travail et les conditions de rémunération sont souvent mis en avant par les talents ayant fui l'Algérie. voilà quelques pistes de réflexion pour bâtir une stratégie de fidélisation de nos compétences


            Réveillez-vous, autorités algériennes, et inspiez vous des politiques de nos voisins pour retenir leurs cadres, voire pour attirer d'autres talents ...hélas d'Algérie.

            Vous serez surpris des éléments incitatifs mis en avant (avantages et cadre de vie) pour les retenir et les fidéliser.

            Peut être que je me trompe mais j'ai comme l'impression qu'il y a un fort décalage entre la perception des pouvoirs publics et la réalité du marché.

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            • #7
              1 donner lui le droit d'avoir un lot de terrain la ou il veut et dans les vingt quatre heures de sa signature.
              2 donner lui un passeport diplomatique pour qu'il ne soit pas malmener dans les aéroports et les ambassades lorsqu'il veut participer a un congrée ou signé des contrats de recherche.
              3 consigner lui un laboratoire et appliquer la réglementation international et universelle dans la gestion et le fonctionnement des labos.
              C'est quand même pas le retour de Jesus. Faut pas exagérer !!!

              D'ailleurs, s'il faille cibler les plus compétents, la solution passera par des mécanismes favorisant leur mobilité et donc leur implication dans des projets communs. Ceux qui seront tentés par ce le cadre incitatif préconisé par le gouvernement sont ceux dont la situation est précaire ou ceux à qui l'aventure émigratoire n'a pas sourit. Par malchanche ou par défaut de compétences.

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              • #8
                Mauvaise reflection,

                Le retour se pose a 2 questions :

                COMBIEN PAYERONS T'ILS LES CADRES ? si Mr Harroubia annance un salaire de 28 K a 30 000 euro/ ans pour un ingenieur. Tt le monde se dira qu'on est sur le bon chemin.

                Moi perso, il me faut au moins 35 000 euro/ans, pour commencer a songer a une possibilite de retour au pays, sans ca, je reste chez FranceTelecom sorry... Mais c'est ca la realite.

                Je m'en fout des lots de terrains ni d'un logements, ou un mouton comme a leurs habitudes, qu'ils donnent un salaire a la hauteurs des etudes faites.



                Quel est la place de nos cadres dans les institutions ?

                Pour revenir et rester planquer derriere un bureau Non merci.
                Dernière modification par racdavid, 25 avril 2008, 17h36.

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                • #9
                  Je crois que c'est un initiative vaine...

                  Perso, si on me permettait tout juste d'y aller collaborer de temps à autre, je le ferais bénévolement.
                  A condition que ce soit vraiment utile...

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                  • #10
                    Je comprendrai peut être cette initiative pour les universitaires mais l’état ne peut pas inciter les compétences algériennes à venir travailler dans le secteur public. Même avec des salaires conséquents, il n y a pas le cadre de travail adéquat.

                    Les compétences algériennes viendront en Algérie lorsqu’il y aura pleines d’opportunités intéressantes dans des groupes étrangers implantés en Algérie. Là où le cadre de travail est motivant et l’organisation est aux normes internationales. Dans le secteur des télécoms (Djezzy, Wataniya, Ericsson …), il y a eu le retour de pas mal d’ingénieurs informatiques et télécoms qui étaient au Canada et en France.

                    C’est la loi de l’offre et la demande. Plus, il y aura d’investissements étrangers dans notre pays, plus il y aura de cadres algériens incités par le retour.
                    Dernière modification par shadok, 25 avril 2008, 18h18.
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                    • #11
                      Moi perso, il me faut au moins 35 000 euro/ans, pour commencer a songer a une possibilite de retour au pays, sans ca, je reste chez FranceTelecom sorry... Mais c'est ca la realite.
                      L'état te paiera le même salaire que les autres Algériens.
                      Il n'y a aucune raison qu'il te paie un seul kopec de plus que tes collègues.
                      Ce n'est pas parce que tu as quitté qu'on doive te payer plus que les autres.
                      D'ailleurs, si l'état faisait cette bétise, il encouragerait ceux qui restent à quitter...

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                      • #12
                        ..., je reste chez FranceTelecom sorry... Mais c'est ca la realite.

                        ... qu'ils donnent un salaire a la hauteurs des etudes faites.
                        Etudes payées par le pays d'accueil?


                        La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.

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                        • #13
                          Moi perso, il me faut au moins 35 000 euro/ans, pour commencer a songer a une possibilite de retour au pays, sans ca, je reste chez FranceTelecom sorry... Mais c'est ca la realite
                          dis donc racdavid en tant que cadre t'es tres tres tres mal payé chez FT, il t'exploite la
                          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                          • #14
                            bledard, j'ai baissé mes tarifs, .... J'ai fait un geste pour l'algerie


                            tu es d'accord que a ce salaire, c'est deja moyen pour un cadre ?


                            Non serieux, il faut un cadre bien clair, l'argent sera un detail. Ca manque de volenté et de politique.

                            Deja faut que tt les diplome soit equivalent, car la procedure prend bcp de temps et je connais bcp que juste de pensé faire la queue, ca tombe ds l'eau.


                            PS:
                            Bledard mon premier salaire en algerie ete 15000 DA= 150 euro/mois a SIEMENS il y a 5 ans..... Tu vois la difference mon ami.

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                            • #15
                              Racdavid, 35.000 euros apres combien d'années de boite chez france telecoms ?

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