Alors que son impopularité touchait des records que meme jacques chirac n'a jamais connu, hier sarkozy fidèle à lui même s'est adressé aux français, avec son verbe et sa poigne...petit résumé de son allocution.
=====>
Tout en reconnaissant la « déception » des Français et ses propres « erreurs », un an après son élection, Nicolas Sarkozy a affiché, hier soir, sa volonté de tenir le cap de la réforme. Voici les principaux points évoqués hier soir par Nicolas Sarkozy.
Attentes des Français. « Qu’il y ait de la déception, qu’il y ait des attentes, qu’il y ait des problèmes, qu’il y ait des difficultés, non seulement je le sais, je l’entends mais je m’y étais préparé ». « Depuis 20-25 ans, la France était endormie. Le monde change, le monde a changé et la France, quels que soient les efforts méritoires des gouvernements de gauche comme de droite, ne s’est pas adaptée au même rythme que les autres ».
Réformes. « Sans doute je n’ai pas assez expliqué, sans doute moi-même j’ai fait des erreurs ».
Prix. « Les prix ont davantage augmenté en France » que dans la plupart des autres pays d’Europe. « Pas seulement à cause de la hausse des matières premières » mais « parce qu’il n’y a pas assez de concurrence ». Un texte sera présenté en juin « qui va permettre la négociabilité entre les founisseurs et les grandes surfaces ».
François Fillon.
« C’est un bon Premier ministre et on travaille main dans la main ». « Je n’ai pas fait cette émission pour annoncer que j’allais en changer ».
Sans-papiers. « Il n’y aura pas de régularisation globale parce que la régularisation globale conduit à la catastrophe ». « Il y a 22 % de chômeurs chez les immigrés réguliers ».
Vote des étrangers. Nicolas Sarkozy s’est dit favorable « à titre intellectuel » au vote des étrangers non européens aux élections locales « sur la base de la réciprocité », mais avoue n’avoir « pas de majorité pour faire passer » cette mesure.
Postes d’enseignants. « Je maintiens les réformes qui permettront les réductions de postes ».
Tibet. « J’ai été choqué par ce qui s’est passé au Tibet et je l’ai dit au président chinois ».
Afghanistan. « Nous sommes en Afghanistan aux côtés des Afghans ». « Si on laisse tomber l’Afghanistan, le Pakistan tombera comme un château de cartes ».
=====>
Tout en reconnaissant la « déception » des Français et ses propres « erreurs », un an après son élection, Nicolas Sarkozy a affiché, hier soir, sa volonté de tenir le cap de la réforme. Voici les principaux points évoqués hier soir par Nicolas Sarkozy.
Attentes des Français. « Qu’il y ait de la déception, qu’il y ait des attentes, qu’il y ait des problèmes, qu’il y ait des difficultés, non seulement je le sais, je l’entends mais je m’y étais préparé ». « Depuis 20-25 ans, la France était endormie. Le monde change, le monde a changé et la France, quels que soient les efforts méritoires des gouvernements de gauche comme de droite, ne s’est pas adaptée au même rythme que les autres ».
Réformes. « Sans doute je n’ai pas assez expliqué, sans doute moi-même j’ai fait des erreurs ».
Prix. « Les prix ont davantage augmenté en France » que dans la plupart des autres pays d’Europe. « Pas seulement à cause de la hausse des matières premières » mais « parce qu’il n’y a pas assez de concurrence ». Un texte sera présenté en juin « qui va permettre la négociabilité entre les founisseurs et les grandes surfaces ».
François Fillon.
« C’est un bon Premier ministre et on travaille main dans la main ». « Je n’ai pas fait cette émission pour annoncer que j’allais en changer ».
Sans-papiers. « Il n’y aura pas de régularisation globale parce que la régularisation globale conduit à la catastrophe ». « Il y a 22 % de chômeurs chez les immigrés réguliers ».
Vote des étrangers. Nicolas Sarkozy s’est dit favorable « à titre intellectuel » au vote des étrangers non européens aux élections locales « sur la base de la réciprocité », mais avoue n’avoir « pas de majorité pour faire passer » cette mesure.
Postes d’enseignants. « Je maintiens les réformes qui permettront les réductions de postes ».
Tibet. « J’ai été choqué par ce qui s’est passé au Tibet et je l’ai dit au président chinois ».
Afghanistan. « Nous sommes en Afghanistan aux côtés des Afghans ». « Si on laisse tomber l’Afghanistan, le Pakistan tombera comme un château de cartes ».
Commentaire