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L' a m o u r

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  • L' a m o u r

    Une bonne relation, ce n'est pas un jeu que nous jouons ou une fête que nous faisons avec notre moi ( ego trip ). C'est une question d'amour et de deux personnes. Aimer quelqu'un peut nous apporter la plus grande joie que nous connaîtrons dans notre vie, mais ça peut aussi nous blesser plus que nous ne le croirons jamais. Si nous aimons quelqu'un, nous devrions être prêt à faire aussi bien l'expérience du bonheur que du chagrin. C'est la récompense et le risque qu'il faut prendre. À moins d'être d'accord pour en faire l'expérience, nous ne saurons jamais réellement ce que c'est d'aimer et d'être aimé.

    Partager un amour est probablement l'expérience la plus valable et la plus significative qu'une personne puisse vivre. Et il y a une différence entre être en amour avec quelqu'un et aimer quelqu'un. C'est la différence entre un amour volage, fou, de courte durée et un amour tendre, passionné et durable.
    Le premier est facile.
    Le second, celui qui compte vraiment pour nous tous, demande du travail parce qu'il s'agit de garder la relation.

    Aimer quelqu'un exige des efforts. Nous devons être capable de communiquer l'un avec l'autre. Personne ne peut lire la pensée d'une autre personne. Nous présumons toujours que notre partenaire sait ce que nous pensons et sentons.
    Peut-être qu'avec le temps nous pouvons être capable de prédire ou de sentir les pensées de l'un et de l'autre, mais ce n'est jamais parfait et ça prend du temps à développer.

    Avoir la chance d'aimer et d'être aimé de quelqu'un est une bénédiction. Respectez l'autre pour ce qu'il/elle est et non pas pour ce que vous voulez qu'il/elle soit. Personne n'est parfait. C'est l'amour vrai qui ferme le fossé de l'imperfection pour former une douce surface d'acceptation de l'un et de l'autre. L'amour vrai voit et accepte une personne pour ce qu'elle est. C'est aussi l'amour vrai qui permet à une personne de changer pour le mieux.

    Même si le pouvoir de l'amour vrai est indéniable, une relation a aussi besoin d'engagement. De toute façon, qu'est-ce que l'amour sans l'engagement de l'un envers l'autre ? C'est comme les principes et les valeurs. Chacun en a mais ils ne veulent pas dire plus que ce que nous sommes prêt à faire pour les défendre. C'est la même chose pour nos engagements envers nos relations et envers la personne que nous aimons.

    "L'amour, c'est comme un vase antique. C'est dur à trouver, difficile à avoir et si facile à briser"

    Chaque jour, partout... des gens tombent en amour. Mais en fait combien de ces relations ont le sens de l'oubli de soi plutôt que d'être juste des relations qui se sont formées seulement pour avoir le sentiment intense de tomber en amour ? Je connais des centaines d'amis qui disent les mots magiques "Je t'aime"... mais plus ouvent qu'autrement, la vérité, c'est juste ceci -- Je suis en amour avec toi --. Il y a une différence entre être en amour avec quelqu'un et aimer quelqu'un.

    Si une personne dit qu'elle est en amour avec vous, elle veut dire qu'elle vous aime pour qui vous êtes maintenant et elle est tombée en amour avec vous à cause de la personne que vous êtes maintenant. Cette sorte d'amour est temporaire et durera seulement aussi longtemps que le conte de fée durera. Lorsque la bonne fée arrive la nuit pour nous ramener à la réalité, nous voyons le chagrin d'une telle relation.

    Mais si une personne dit qu'elle vous aime, elle veut dire qu'elle vous aime inconditionnellement pour qui vous êtes maintenant, qui vous étiez dans le passé et pour qui vous pouvez être dans le futur.
    Quand une personne dit qu'elle vous aime et qu'elle le pense vraiment, vous devez vous demander si vous aussi vous aimez cette personne ou si vous êtes seulement en amour avec l'idée d'être en amour. C'est très difficile de voir la différence en pensant d'une manière logique.

    Puissiez-vous être béni tout au long de votre voyage à la recherche de l'âme soeur.


    Auteur inconnu

  • #2
    -oh la la cela fait aujourd h'ui un mois que j'ai arreté de fumer..c'est tres dur!!
    -tu trouves ça dur?
    -AH ..OUI
    -pour moi ce n'est pas dur dutout ..d'alleurs j'ai arrété de fumer une dizaine de foix!
    « Puis-je rendre ma vie
    Semblable à une flûte de roseau
    Simple et droite
    Et toute remplie de musique »

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    • #3
      algerianna il vaut mieux éviter de penser le temps passe vite
      " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
      Proverbe Chinois

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      • #4
        Le choix amoureux (Etudes sur l'amour, José Ortega y Gasset )

        On n'en a jamais fini avec l'amour. Après nous être intéressés à sa phénoménologie, sa sociologie et ses dimensions politiques, c'est la question du choix amoureux sur lequel nous allons nous pencher maintenant, sur la particularité de ce qui nous séduit et nous enchaîne à un autre singulier. Ce sera l'occasion, grâce à ce penseur hétérodoxe, de remuer quelques certitudes qu'on croyait bien établies, en premier lieu sur le fait que la liberté en amour ce serait le règne de l'indifférence, de l'éphémère et de l'illusion.

        Pour Jean-Luc Marion le choix de l'amour semblait purement arbitraire, en tout cas hors de son champ d'exploration puisqu'il le prend comme point de départ. On a pu établir qu'il résultait la plupart du temps de signes d'approches mutuelles, d'une boucle de rétroaction positive jusqu'à l'emballement sexuel, mais cela ne dit rien sur ce qui a pu favoriser cette rencontre exceptionnelle. La thèse de Francesco Alberoni est séduisante qui fait d'une surcharge dépressive le signe annonciateur de l'amour, prêt à s'enflammer comme une insurrection pour bouleverser une situation insupportable, reconstituer une nouvelle communauté sur les ruines de l'ancienne. Il ne suffit pourtant pas que deux dépressifs ou révolutionnaires (ou deux exclus) se rencontrent pour tomber amoureux ! La surcharge dépressive favorise sans doute le coup de foudre mais elle ne semble pas absolument nécessaire, encore moins suffisante (ce serait trop beau).

        C'est ici que José Ortega y Gasset rejoint la psychanalyse en faisant du choix amoureux un choix profond (p145) entre des caractères et des valeurs qui se complètent, un véritable choix de vie. On n'est donc plus dans le sentimentalisme, l'intensité de l'affect mais dans le sens qu'il porte même s'il est largement inconscient. Mieux, si l'amour est bien un choix résultant de l'accord profond des individualités, il devient impossible de le réduire à une illusion ou un mensonge complaisant, d'où la réfutation de la théorie de la cristallisation défendue par Stendhal (qui n'a connu que des amours imaginaires). L'auteur refuse tout idéalisme qui nous ferait vivre dans un monde illusoire mais s'il y a une réalité de l'amour, si on ne se trompe pas si souvent dans nos choix amoureux, alors la phase initiale de passion perd sa prépondérance au profit de sa véritable destination qui est la constitution d'un foyer voire la naissance de l'enfant. Ce n'est plus le bouleversement qui compte mais bien la fondation d'une nouvelle institution, hypothèse audacieuse de nos jours d'un amour vrai ("amour en soi, amour pur" 29) et de la réalité de l'amour, de sa durée effective.

        Cela implique d'abord de distinguer l'amour (qui dure) du désir (qui s'éteint dès que satisfait), mais aussi de "l'état amoureux" initial, lui-même ramené à un état maladif, une sorte d'hébétude ou de frénésie, en tout cas une fixation hypnotique de l'attention, un rétrécissement, une "misère mentale" dont la fonction ne serait que de cimenter l'union future en faisant ressortir par contraste la richesse de la vie commune. Le coup de foudre ce serait ce qui permet de réaliser l'engagement du choix amoureux, mais ce qui ne vaut pas en lui-même.

        *à suivre dans le site C´est trés interessant!

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        • #5
          Patisserie, bonjour
          Tu parviens à cesser de penser , toi?
          J'avoue que c'est chose impossible pour moi....
          Mais toi, tu dois avoir une recette. Allez partage-voir héhéhé

          Sinon, l'auteur de cette définition est un coincé pour ne pas dire davantage. L'amour, effort, l'amour sérieux, l'amour grave, Dieu m'en préserve!
          D'ailleurs, à chaque fois qu'on essaie de définir ce sentiment, on s'en éloigne. Le mieux est de le vivre et de ne pas perdre son temps à se le rationnaliser.

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          • #6
            algerianna ce'st intéressant de nous envoyer des références mais toi qu'est-ce que tu penses de ce que tu cites??
            " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
            Proverbe Chinois

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            • #7
              il faut lire "tawk el hamama fi oulfati wa alaf" d'ibn hazm
              « Puis-je rendre ma vie
              Semblable à une flûte de roseau
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              • #8
                @tamerlan

                Je l´ai ecouté en Audio !!!! j´aimerai bien le lire!!!
                Dernière modification par ALGERIANA, 11 juillet 2005, 18h06.

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                • #9
                  salut bachi je n'ai aucune recette mais trop penser c'est une perte de temps il faut essayer
                  je suis pour la stop à je réflechis et je me penche sur il faut agir
                  salut tamerlan et algerianna j'existe??
                  " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
                  Proverbe Chinois

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                  • #10
                    Zlabiya: ...ce'st intéressant de nous envoyer des références mais toi qu'est-ce que tu penses de ce que tu cites??

                    Attends, je vais sur google te trouver une réponse. Pour une fois, je vais me mettre à faire le perroquet,,,Et puis non, je sais pas faire.

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                    • #11
                      @zlabya
                      je te lis toujours avec aytant de plaisir....
                      voila un extrai de tawq el hamaam d'ibn hazm
                      Le secret replié

                      La dissimulation du langage est un des traits de l’amour. L’amant, quand on l’interroge, nie et se compose une apparence sereine. A le voir, il est réservé et détaché. Mais ce qu’il dédaigne est seulement enfoui dans son secret ; la peine d’amour brûle comme braise sous ses côtes. Elle éclate au jour dans ses gestes et le regard, elle y rampe comme flamme sur le charbon, comme l’eau sur l’argile. Il est possible qu’au début de l’affaire, un observateur d’une sensibilité un peu frustre y soit floué ; plus tard, quand la souveraineté de l’amour est bien établie, c’est impossible.

                      Ce qui pousse souvent l’amant à la dissimulation, c’est qu’il veut se garder de porter en public la marque de l’amour, dont il croit qu’elle qualifie les esprits vains. Il la fuit et se débat. C’est une erreur. Un Musulman doit s’abstenir de ce que Dieu Tout-Puissant a interdit, et qui relève de ses propres choix, dont on lui demandera compte le jour de la Résurrection. Quant a trouver beau ce qui l’est, quant a succomber à l’amour, c’est une loi de la nature. La religion ne le prescrit ni le défend, s’il est vrai que les âmes sont dans la main de Celui qui les anime. Leur seul devoir est de savoir et de considérer où se trouve la frontière entre le vide de l’erreur et la cible de la vérité, et de se nouer de certitude au vrai. L’amour appartient à la Création ; les hommes, eux, ne sont maîtres que de leurs corps et de leurs gestes, parce qu’ils ont appris à les régler.

                      J’écris :

                      Ils ignorent l’amour, me blâment de t’aimer ;

                      Mais injure ou silence, tout cela m’est égal ;

                      « Tu abandonnes, me dit on, toute réserve,

                      Toi, savant dans la Loi, et toujours en prière ! »

                      Je leur réponds : Vraiment, tous ces mots sonnent faux.

                      Un homme tel que moi bannit les doubles faces.

                      Quand Muhammad a t’il interdit la passion ?

                      Est-elle clairement défendue dans le Livre ?

                      Si je ne commets pas l’interdit qui fait craindre

                      Un visage confus au jour du Jugement,

                      Je n’ai cure des mots qui blâment mon amour,

                      Quels qu’ils soient, sur ma vie, ouverts ou chuchotés.

                      Un homme n’est lié vraiment que par ses choix ;

                      Va t’on le critiquer pour tous les mots qu’il tait ?

                      Histoire : Quelqu’un que je connaît a subi cette épreuve. L’extase logeait sous ses côtes, il en brûlait à force de nier. L’affaire grossit, et chacun la connut à son
                      enveloppe, qu’on se surprît curieux de savoir ou pas. Mais lui rabrouait qui en parlait tout haut, et lui en faisait honte. Ceux de ses amis qui voulaient entre dans ses grâces feignaient de tenir pour véridiques ses dénégations, et pour des menteurs ceux qui doutaient clairement. Sa joie en était profonde. Je me souviens qu’un jour, il était en compagnie d’un autre qui s’ouvrait à lui de ce sujet qu’il renfermait. Lui se dérobait avec la plus grande conviction. Mais voilà que vient a passer près d’eux la personne dont on soupçonnait qu’il lui était attaché. Son regard ne fut pas plus tôt tombé sur son aimé qu’il en resta stupide. Quelque chose se brisa dans son maintien premier ; il pâlit, la belle ordonnance du discours fit place aux paroles décousues. Son interlocuteur s’interrompit ; ce secret, dont ils parlaient, venait de remonter à la surface. On lui dit : « Quelle mouche t’a donc piqué ?

                      - Celle que vous pensez. M’excuse qui pourra, me blâme qui voudra. »

                      J’en dis :

                      Il vit parce que la mort a eu pitié de lui,

                      A le voir tellement misérable et souffrant.

                      Et encore :

                      Les pleurs de l’amant son versés

                      Et le secret d’amour déchiré.

                      Quand l’aimé paraît, le cœur n’est

                      Qu’un oiseau qatâ pris au piège.

                      O mes amis, dites le moi

                      - Il faut échanger ses pensée –

                      Jusqu'à quand cacherai je en moi

                      Ce dont je ne puis me défaire ?

                      On voit cela seulement quand deux natures s’opposent, celle de la dissimulation et celle de l’amour, et que la première prétend l’emporter. Celui qui abrite leur combat hésite entre deux feux dévorants. La dissimulation est quelquefois liée chez l’amant au souci d’épargner l’aimé. C’est la preuve de fidélité et de générosité.

                      J’écris :

                      Tout le monde le sait, que j’aime follement.

                      Je suis triste, meurtri, mais qui en est la cause ?

                      Quand ils voient de leur yeux mon état, ils sont sûrs,

                      Quand ils veulent chercher le pourquoi, ils s’égarent.

                      On croirait une page aux lettres bien tracées

                      Mais dont l’explication, si l’on cherche, est obscure ;

                      Ou la chanson, dans la forêt, d’une colombe

                      Qui module sa voie de rameau en rameau :

                      Notre oreille se plaît à son gémissement,

                      Mais le sens est obscur, et la langue étrangère.

                      Ils me disent : « Par Dieu, nomme la donc celle

                      Dont l’amour a chassé de toi le doux sommeil ! »

                      Jamais ! Avant de le connaître, ils en perdront

                      L’intelligence, et se perdront dans les querelles,

                      A jamais ballottés par les incertitudes,

                      De doutes convaincants en convictions douteuses.


                      Sur la dissimulation du secret, j’écris aussi :

                      Pour mon secret, j’ai en moi un lieu où n’entre

                      Nul vivant. Il n’y a donc doute sur sa mort :

                      Je suis tombeau. Mais le secret vit de sa mort,

                      Comme la joie, chez l’affligé d’amour, du trouble.

                      La dissimulation vise aussi parfois à se prémunir soi-même des dangers de la révélation du secret illustre de faveur redoutables.

                      Histoire : Un poète de Cordoue fit quelques vers galants sur Subh, la mère du Calife Hisham II al-Mu’ayyad – Dieu ait son âme. Une jeune
                      esclave qu’on avait introduite auprès d’Al Mansur ibn Abî ‘Âmir pour qu’il l’achetât, les lui chanta. Il l’a fit exécuter.


                      Histoire : C’est pour les même raisons que fut exécuté Ahmad ibn Mughith, et que la lignée des Mughith fut extirpée. On scella la sentence qui les excluait du service des princes, tous, à jamais, et qui
                      entraîna leur dépérissement et leur extinction. Il n’en reste plus que des fugitifs et des errants, tout cela pour quelques vers d’amour sur une princesse de sang. Et il y a beaucoup d’autres exemples.

                      On dit qu’Hassan ibn Hani s’était pris d’amour pour Muhammad ibn Harun (Abu Nawas), surnommé Ibn Zubayda (fils de Haroun Al Rachid), qui le sentit à quelque détail, et lui reprocha durement les long regards qu’il lui portait. De l’aveu d’Hassan, dit-on, il ne risquait à attarder son regard que lorsque l’ivresse avait submergé Muhammad.

                      La dissimulation peut aussi viser à ne pas faire fuir l’aimé, en lui laissant tout ignorer. Quelqu’un que je connais séjournait à sa guise chez son aimé, et s’asseyait à ses côtés. Mais s’il avait laissé paraître le moindre fil de sa passion, il s’en serait éloigné de la distance des Pléiades dont les étoiles culminent là-haut. C’est alors une forme de politique. Celui dont je parle avait gagné une familiarité qui survolait les bornes et passait toute limite, jusqu’à ce qu’il montrât qu’il était épris. Dès lors, il ne toucha plus qu’a l’insipide qui assaisonne un amour hautain et capricieux. La confiance lui fut retirée avec le royaume du cœur de l’aimé. La familiarité s’en fut, surgirent les artifices et les reproches. C’était un frère, il devint un esclave ; c’était un inséparable, il se retrouva prisonnier. S’il en avait laissé voir davantage, si les parents de l’aimée en avaient su quelque chose, il l’aurait revu que dans ses rêves. Peu ou prou, il ne lui serait rien resté, que la souffrance.

                      Mais il arrive aussi que la dissimulation vienne de la pudeur qui gouverne les hommes, ou de la répugnance et de l’éloignement que l’amant prête à l’aimé. Qui a l’âme fière cachera sa passion pour décevoir l’attente de ses ennemis, et pour leur faire voir, à eux comme à l’aimé, l’insignifiance de tout cela.
                      « Puis-je rendre ma vie
                      Semblable à une flûte de roseau
                      Simple et droite
                      Et toute remplie de musique »

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                      • #12
                        @zlabiya

                        Salam,

                        Ca m´interesse de lire et partager ce que je lis sur plusieurs sujet et ca ne veux pas dire qussi que je suis ce que je lis.

                        Quoi que mon avis concernant le sujet amour, c´est un sentiment qui reside notre coeur, notre esprit et l´etre qu´on aime ne peut quitter notre memoire.

                        Autrement concernant le choix des amours, je prefere toujours celui qui peut etre le bon pére à mes enfants......et celui á qui je peux faire ma confiance totale! Autrement je ne peux rêver, plus que ca!

                        Commentaire


                        • #13
                          moi ej dirai qu'il n'y a pas de défintion pour l'amour il faut le vivre et même en le vivant on n'a pas les termes pour l'expliquer
                          pour moi c'est un mystère
                          " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
                          Proverbe Chinois

                          Commentaire


                          • #14
                            @zlabya
                            est ce une malediction? UNE BENEDICTION? UNE MALADIE? AS T ON LE CHOIX??
                            comment vis tu cela?
                            « Puis-je rendre ma vie
                            Semblable à une flûte de roseau
                            Simple et droite
                            Et toute remplie de musique »

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                            • #15
                              tamerlan je dirai une bénédiction (quant on le vit) et malédiction (quant on le connait pas) mais pas une maladie la maladie est la souffrance causée par l'amour
                              " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
                              Proverbe Chinois

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