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L'Union europeenne se félicite de l'important processus de démocratisation du MAROC.

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  • L'Union europeenne se félicite de l'important processus de démocratisation du MAROC.

    L'Union europeenne se félicite de l'important processus de démocratisation mené au Maroc


    Bruxelles, 25/04/08- La commission européenne s'est félicitée, dans son dernier rapport annuel sur la politique de développement et d'aide extérieure, de l'importance du processus de démocratisation mené à bien au Maroc ces dernières années.



    Dans ce rapport, la commission a également salué la réforme fiscale ambitieuse entreprise par le gouvernement, mettant en exergue l'excellence des relations de coopération entre le Royaume et l'Union européenne.
    Le rapport affirme que les différents sous-comités techniques mis en place conjointement avec le Maroc au titre de l'accord d'association se sont réunis régulièrement et ont accompli un travail efficace, qui a posé les bases d'un cadre précieux pour le dialogue sectoriel et qui a assuré la cohérence entre les politiques sectorielles et la coopération.
    Ces réunions, ajoute le rapport, ont permis d'accomplir des progrès harmonieux dans tous les volets du plan d'action et de contribuer au renforcement de la confiance mutuelle.
    Le rapport qui rappelle les actions de coopération financées par la commission européenne au Maroc, notamment le programme d'appui à la réforme de la fiscalité, les programmes de coopération dans le domaine de l'environnement et la politique de l'eau, les accords aériens et celui de la coopération au programme de navigation par satellite "Galileo", salue également le progrès accompli par le Royaume dans le cadre du plan d'action afférent à la politique européenne de voisinage.

  • #2
    l'importance du processus de démocratisation mené à bien au Maroc ces dernières années.

    mais le probleme c'est que ce processus n'a pas encore démarrer peut
    etre trop important a mettre en place

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    • #3
      transit,
      des preuves que ca n a pas demarré ?

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      • #4
        Oh que si il a bel et bien demarre... Meme les opposants les plus extremes le reconnaissent...

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        • #5
          si elle démarrer c'est doucement doucement vraiment doucement

          en fait c'est juste une grosse couche de peinture compliments
          le maroc adore ,ça rend le peuple fier de sa dictature

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          • #6
            lol
            toujour les meme qui parle de dictature au Maroc, ou les gens sont mieux lotie que dans d'autre pays du maghreb...

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            • #7
              en fait c'est juste une grosse couche de peinture compliments
              le maroc adore ,ça rend le peuple fier de sa dictature
              En réalité le peuple marocain n a pas attendu la commission européene pour sentir le changement en cours.

              Maintenant vous pouvez crier sur les toits que le maroc est une dictature. Mais désolé de vous l annoncer : entre la commission européene et al mouradia il n y a pas de comparaison question crédibilité!

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              • #8
                Donc La Commission Europeenne Se Trompe??

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                • #9
                  ben il a raison transit

                  tous les pouvoirs entre les mains d'un seul homme, on appelle ça quoi ?
                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                  • #10
                    Le Maroc va mieux, mais il faut le dire


                    La crise économique mondiale caractérisée par la flambée sans précédent du prix du baril de pétrole (115 $) et l’envolée des prix des denrées alimentaires de première nécessité affecte désormais l’ensemble des pays, y compris ceux du nord qui dominent le monde (USA, UE, Canada…). Le spectre «de la révolte du pain» menace la plupart des pays du sud où l’inflation galopante touche de plein fouet les couches les plus démunies et les premières «émeutes de la faim» se sont même déclarées an Haïti, en Egypte et au Sénégal. Le pire est encore à venir dans la mesure où l’on risque d’être confronté, non pas au seul renchérissement du coût de la vie, mais également à la pénurie d’aliments de base tels que le blé ou le riz. C’est dire que la situation est très tendue et risque de dégénérer dans plusieurs coins du monde et notamment en Afrique.
                    Chez nous, la question de la défense du pouvoir d’achat des populations à revenu modeste et de la maîtrise du coût de la vie est au centre des préoccupations de pratiquement l’ensemble des acteurs politiques, économiques, sociaux et de la société civile qui mènent chacun dans son domaine l’action nécessaire pour faire face à la situation. Le gouvernement, il faut le souligner, est en première ligne dans ce combat et, fort d’un héritage substantiel laissé par ses prédécesseurs (A. Youssoufi et D. Jettou) se donne les moyens pour juguler la crise et permettre au pays de dépasser, dans les conditions les meilleures, ses effets néfastes. S’il a les capacités de le faire, c’est avant tout que la gestion des affaires publiques, depuis 1998, a permis au Maroc de couper avec la gabegie qui régnait auparavant et ouvert la voie de la rigueur, de la transparence et du contrôle. Celle-ci s’est traduite par le renforcement des ressources de l’Etat suite au développement économique reflété par un taux de croissance honorable. Certes, tout n’est pas au beau fixe.
                    Le Maroc, aurait pu et pourrait mieux faire. Mais force est de reconnaître que notre pays est en meilleure posture pour affronter les défis de la crise. Le dialogue social, entamé depuis quelques semaines, nous fixera d’ici quelques jours sur les mesures que prendront ses animateurs pour préserver le pouvoir d’achat des couches laborieuses, voire de l’améliorer. Le Maroc démontre ainsi qu’il s’en sort pas mal comparé à d’autres qui sont dans une véritable tourmente.
                    Est-ce le fruit du hasard ? Certainement pas !
                    C’est avant tout le résultat des choix qui ont été faits depuis que les partis du mouvement national participent directement à la gestion des affaires du pays, à la tête et au sein des gouvernements successifs. Tout observateur honnête de la vie nationale se doit de reconnaître les réalités, à savoir que la politique suivie depuis la mise en œuvre du gouvernement d’alternance consensuelle fait qu’aujourd’hui, nous avons pu dépasser les méfaits des politiques menées depuis les années 60 et qui ont culminé en 1983 avec la mise en œuvre de la politique d’ajustement structurel (PAS) de triste mémoire. Alors, imaginons un instant le Maroc sans le virage de 1998. Imaginons un Maroc dirigé par un gouvernement à la manière des années 80 et 90. Imagions un Maroc qui aurait continué sur sa lancée de ces années où les détournements étaient la règle (CIH, CNSS, CA, BCP…) Où en serions-nous aujourd’hui ? Je laisserai le soin de répondre à tous ceux qui, sans aucun scrupule, se permettent de dire que le Maroc n’est pas gouverné, que la situation sociale ne fait que se dégrader, que l’avenir du pays est sombre, que le pays n’est pas en mesure de faire face à la crise. Et toutes les litanies de milieux nihilistes et obscurantistes qui ne sont pas innocentes, mais qui veulent instrumentaliser l’inquiétude légitime des populations pour semer les doutes dans les esprits. Je vise notamment les pontes du PJD qui n’ont rien de concret à proposer sur les plans politique et économique pour faire avancer le pays, si ce n’est d’attenter aux libertés des citoyennes et des citoyens sous prétexte de morale et d’appeler à l’institutionnalisation de la zakat pour asservir les individus à travers l’assistance par l’aumône.
                    Alors oui ! Disons-le sans hésitation. Le Maroc est mieux gouverné depuis une dizaine d’années. L’espoir y renaît et les perspectives sont encourageantes dès lors que l’on maintienne le cap des réformes engagées et que l’on accélère leur mise en œuvre. Il appartient aux forces démocratiques et de progrès qui constituent l’ossature du gouvernement de donner l’impulsion nécessaire dans ce sens, tout en associant le pays à l’effort de clarification et d’analyse de la situation pour battre en brèche tous ceux qui tiennent à nier les progrès accomplis et les horizons ouverts. Pour commencer, le premier ministre, qui conduit l’action du gouvernement doit, comme cela se fait dans les démocraties, venir à la télévision communiquer avec le pays et lui présenter l’état des lieux, histoire de rétablir la réalité des faits et de rassurer le citoyen en cette période d’incertitude, et de lui redonner confiance.
                    Devant les jacassements des pêcheurs en eau trouble, la voix de la raison doit se faire entendre.

                    Par Ahmed ZAKI

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                    • #11
                      Le Maroc est loin d'être une démocratie mais d'énormes progrès ont été accomplis, c'est incontestable.

                      Je pense que tous les marocains le sentent.
                      Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

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                      • #12
                        Bledar

                        Ont As Pas Dit Que Le Maroc Etait Devenue Une Democratie Par Magie....

                        Ont Dit Qu'il Y'a Vraiment Une Opposition Au Gouvernement Qu'il Y'a Des Vrai Parti Politique Qui Font Leurs Travail Qu'il Y'a Une Vrai Liberte Qu'ont Peux Critiquer Le Gouvernement Et Meme Le Roi , Ont Peu Parler De Tous Ou Presque Qu'il Y'a Des Ong Des Associations Des Droit De L'hommes Qui Font Un Travail Extraodinaire Et Main Dans La Main De L'etat Et Pas Justement Contre L'etat .

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                        • #13
                          Le rapport qui rappelle les actions de coopération financées par la commission européenne au Maroc, notamment le programme d'appui à la réforme de la fiscalité, les programmes de coopération dans le domaine de l'environnement et la politique de l'eau, les accords aériens et celui de la coopération au programme de navigation par satellite "Galileo"
                          c'est en somme un rapport fourre-tout! de la fiscalité au GPS.
                          Le processus démocratique n'est pas mis en exergue, tout juste le minimum pour faire croire à des progrés. Dans ce cas même le zimbabwé peut prétendre à un tel rapport.

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                          • #14
                            Il faut vraiment être idiot et sot pour croire à un maroc démocratique.Tout le monde le sait.Les marocains en premier qui savent les conséquence d'une simple critique de l'homme aux 4,5 milliards de dollars alors que le peuple crêve.
                            Même la semaine dernière la polixce du makhzen a empêché une simple manif contre la vie chère.Etc....
                            Les bureaucrates de bruxelles doivent bouger leur U pour voir et juger.

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                            • #15
                              Moi je voudrais jetter un coup d'oeil sur le lien de l'article pour constater de visu,ces droits de l'homme au rabais mis en exergue et chahutes de vive voix.

                              Meme si je preconise que c'est une source marocaine(ou assimilee) qui s'auto-flagelle dans le sens du poil et dissemine ses propres verites en guise de paliatif.

                              Les avancees marocaines dans ce domaine il faut les chuchotes aux milliers de prisonniers d'opinions(entre islamistes,activistes amazighs et autres sahraouis supplicies) qui vegetent dans des conditions "moyen ageuses" et goutent a toutes sortent de friandises dispenses gratuitement par leurs geoliers criminels.

                              Les actions parlent mieux que les palabres et force est de constater que la pauvre "Fatma Boutabaa" en a eu toute la demonstration......a coups de bastonades sur le crane.


                              Dernière modification par Azna, 25 avril 2008, 23h45.

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