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Ce sont les ports qui tirent l'économie d'un pays, les Géorgiens l'on bien compris, en plus de vrais ex-communistes.
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La Géorgie a signé mardi un accord avec un fonds d'investissement des Emirats arabes unis pour la construction d'une zone de libre-échange sur la côte géorgienne, destinée à devenir le "Dubaï de la mer Noire".
Plus de 200 millions de dollars (126 millions d'euros) seront investis dans la modernisation et l'agrandissement du port de Poti, en vertu de cet accord vanté par le président géorgien comme le futur "miracle économique géorgien".
"Ma vision est de transformer la Géorgie en un Dubaï ou un Singapour régional. Ce nouveau port et sa zone industrielle de libre-échange deviendront un miracle économique géorgien", a déclaré ce chef d'Etat libéral et pro-occidental dans des propos retransmis à la télévision.
Cet accord prévoit la vente par l'Etat de 51% des parts du port de Poti et de 400 hectares de terrains au fond d'investissement Ras al-Khaimah (RAK), qui sera chargé de développer cette zone de libre-échange, où les entreprises seront exemptées d'impôts.
Ce projet est important pour la Géorgie, ex-république soviétique du Caucase du Sud qui cherche à développer une économie défaillante depuis la chute de l'URSS et à s'ouvrir vers d'autres marchés que son traditionnel partenaire russe, avec lequel elle entretient des relations difficiles.
AFP
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La Géorgie a signé mardi un accord avec un fonds d'investissement des Emirats arabes unis pour la construction d'une zone de libre-échange sur la côte géorgienne, destinée à devenir le "Dubaï de la mer Noire".
Plus de 200 millions de dollars (126 millions d'euros) seront investis dans la modernisation et l'agrandissement du port de Poti, en vertu de cet accord vanté par le président géorgien comme le futur "miracle économique géorgien".
"Ma vision est de transformer la Géorgie en un Dubaï ou un Singapour régional. Ce nouveau port et sa zone industrielle de libre-échange deviendront un miracle économique géorgien", a déclaré ce chef d'Etat libéral et pro-occidental dans des propos retransmis à la télévision.
Cet accord prévoit la vente par l'Etat de 51% des parts du port de Poti et de 400 hectares de terrains au fond d'investissement Ras al-Khaimah (RAK), qui sera chargé de développer cette zone de libre-échange, où les entreprises seront exemptées d'impôts.
Ce projet est important pour la Géorgie, ex-république soviétique du Caucase du Sud qui cherche à développer une économie défaillante depuis la chute de l'URSS et à s'ouvrir vers d'autres marchés que son traditionnel partenaire russe, avec lequel elle entretient des relations difficiles.
AFP