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Agissant sur renseignements, les forces de l’ordre ont déclenché une vaste opération de ratissage sur les maquis et massifs forestiers de la région. L’opération de recherches a été déclenchée après l’attentat à la bombe artisanale ayant visé une patrouille militaire circulant sur l’axe entre Aït Chafaâ et un village dans la commune d’Azeffoun, ayant causé la mort d’un militaire et des blessures à trois autres. Le ratissage s’est étendu jusqu’à Béni Ksilla, situé à la frontière entre les wilayas de Béjaïa et Tizi Ouzou.
Les terroristes responsables de cet attentat auraient, selon des sources, fuit vers le massif de Bounaâmane. Nos sources, affirment que des hélicoptères sont entrés en action pour survoler les endroits suspects et pilonner les éventuels refuges où pourraient se cacher ces criminels. On apprend que les forces de l’ordre ont détruit des caches qui furent naguère utilisées par les troupes de l’ALN. Le ratissage a débordé sur l’autre versant de la Kabylie maritime, en englobant les maquis, sis entre Ighil Bouchène et Akaoudj, dans la daïra de Ouaguenoune, au nord de Tizi Ouzou.
Durant plus de deux heures, des hélicoptères ont pilonné, jeudi matin, les maquis d’Amalou à l’est de Ouaguenoune. Par ailleurs, et à l’est du chef-lieu de wilaya, les forces de l’ordre ont investi les maquis situés au niveau du lieudit Acif Oucerdoun jusqu’à Achallam, dans la région de Bouzeguène.
Les parachutistes stationnés dans la région d’Ifigha, une commune près d’Azazga, ont participé à cette opération d’envergure. Les forces de l’ordre ont découvert et détruit six casemates et récupéré trois engins explosifs.
Les terroristes, affirment des sources au fait de l’actualité sécuritaire, essayaient, de desserrer l’étau des forces de l’ordre en multipliant les actes criminels.
Cependant, les forces de sécurité ne comptent pas baisser les bras comme en témoignent les différentes éliminations de plusieurs émirs, notamment Abou Al Hatem, de son vrai nom Saâdaoui, éliminé au niveau d’Oued Aïssi, l’émir Fassila éliminé sur le CW 128 et récemment l’émir Choaïeb, émir de la seriat activant à Boghni et éliminé du côté de Mechtras, sans compter les réseaux de soutien démantelés. Ainsi, et malgré ces actes recensés ici et là, la force de frappe des terroristes s’est considérablement amoindrie.
source : l'Expression
Les terroristes responsables de cet attentat auraient, selon des sources, fuit vers le massif de Bounaâmane. Nos sources, affirment que des hélicoptères sont entrés en action pour survoler les endroits suspects et pilonner les éventuels refuges où pourraient se cacher ces criminels. On apprend que les forces de l’ordre ont détruit des caches qui furent naguère utilisées par les troupes de l’ALN. Le ratissage a débordé sur l’autre versant de la Kabylie maritime, en englobant les maquis, sis entre Ighil Bouchène et Akaoudj, dans la daïra de Ouaguenoune, au nord de Tizi Ouzou.
Durant plus de deux heures, des hélicoptères ont pilonné, jeudi matin, les maquis d’Amalou à l’est de Ouaguenoune. Par ailleurs, et à l’est du chef-lieu de wilaya, les forces de l’ordre ont investi les maquis situés au niveau du lieudit Acif Oucerdoun jusqu’à Achallam, dans la région de Bouzeguène.
Les parachutistes stationnés dans la région d’Ifigha, une commune près d’Azazga, ont participé à cette opération d’envergure. Les forces de l’ordre ont découvert et détruit six casemates et récupéré trois engins explosifs.
Les terroristes, affirment des sources au fait de l’actualité sécuritaire, essayaient, de desserrer l’étau des forces de l’ordre en multipliant les actes criminels.
Cependant, les forces de sécurité ne comptent pas baisser les bras comme en témoignent les différentes éliminations de plusieurs émirs, notamment Abou Al Hatem, de son vrai nom Saâdaoui, éliminé au niveau d’Oued Aïssi, l’émir Fassila éliminé sur le CW 128 et récemment l’émir Choaïeb, émir de la seriat activant à Boghni et éliminé du côté de Mechtras, sans compter les réseaux de soutien démantelés. Ainsi, et malgré ces actes recensés ici et là, la force de frappe des terroristes s’est considérablement amoindrie.
source : l'Expression
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