Cette visite dans trois pays clés de la région intervient après le sommet arabe de Damas. Il faut rappeler que juste après, le Président de la République s’est rendu en visite officielle en Egypte.
Cette intense activité diplomatique démontre que le monde arabe est en train de bouger. L’assainissement des rangs arabes a provoqué positivement les ondes de choc. La question palestinienne progresse et la restitution du plateau du Golan a son propriétaire légitime la Syrie revient au premier plan de l’actualité. Il y a des forces en profondeur, mues par une nouvelle dynamique, qui sont en train de façonner, peut être, le destin de la région. Une région, il faut le souligner qui reste la plus sensible et la plus explosive de la planète. Mais une région qui a besoin de la paix pour mettre à profit son formidable potentiel de développement. Cette paix, tant recherchée, ne peut être atteinte qu’en levant les verrous de la question palestinienne et de l’occupation du Golan. Ce sera un premier pas mais il est nécessaire sans être suffisant. En effet, Israël détient un arsenal d’armes de destruction massive qui est dirigé contre le le monde arabe. Il faudrait bien qu’un jour ou l’autre ce problème soit posé car la paix n’est pas synonyme d’une épée de Damoclès.
C’est dans cette conjoncture politique et diplomatique particulièrement fertile que le Président de la République a visité 4 pays, la Syrie, l’Egypte, le Koweït, Qatar, en l’espace seulement de quelques semaines. Ainsi, l’Algérie renoue avec les principes de sa politique arabe qui constitue un axe central de sa politique étrangère. Sa diplomatie est en train de s’activer pour qu’elle puisse apporter sa contribution, son expérience et son aura à la réussite des objectifs que s’est assigné le monde arabe. C’est là, aussi, sa volonté invariable de soutenir toutes les causes justes du monde arabe qui doit faire sa mue pour relever les défis de la mondialisation.
L’un des moyens pour y arriver est de renforcer la coopération entre tous les pays arabes sur la base du respect, des intérêts mutuels et de la non-ingérence. D’où, évidemment le renoncement aux égoïsmes nationaux. L’Algérie a mis en pratique ces principes et le caractère bilatéral est très présent dans les visites qu’a effectuées le Président de la République. Des accords ont été signés pour donner une impulsion à la coopération bilatérale.
Avec ces visites et la relance de la politique arabe, l’Algérie conforte son rôle et sa place sur l’échiquier international. Elle assume de plus en plus, ses missions d’acteur majeur de l’hémisphère Sud.
Cette intense activité diplomatique démontre que le monde arabe est en train de bouger. L’assainissement des rangs arabes a provoqué positivement les ondes de choc. La question palestinienne progresse et la restitution du plateau du Golan a son propriétaire légitime la Syrie revient au premier plan de l’actualité. Il y a des forces en profondeur, mues par une nouvelle dynamique, qui sont en train de façonner, peut être, le destin de la région. Une région, il faut le souligner qui reste la plus sensible et la plus explosive de la planète. Mais une région qui a besoin de la paix pour mettre à profit son formidable potentiel de développement. Cette paix, tant recherchée, ne peut être atteinte qu’en levant les verrous de la question palestinienne et de l’occupation du Golan. Ce sera un premier pas mais il est nécessaire sans être suffisant. En effet, Israël détient un arsenal d’armes de destruction massive qui est dirigé contre le le monde arabe. Il faudrait bien qu’un jour ou l’autre ce problème soit posé car la paix n’est pas synonyme d’une épée de Damoclès.
C’est dans cette conjoncture politique et diplomatique particulièrement fertile que le Président de la République a visité 4 pays, la Syrie, l’Egypte, le Koweït, Qatar, en l’espace seulement de quelques semaines. Ainsi, l’Algérie renoue avec les principes de sa politique arabe qui constitue un axe central de sa politique étrangère. Sa diplomatie est en train de s’activer pour qu’elle puisse apporter sa contribution, son expérience et son aura à la réussite des objectifs que s’est assigné le monde arabe. C’est là, aussi, sa volonté invariable de soutenir toutes les causes justes du monde arabe qui doit faire sa mue pour relever les défis de la mondialisation.
L’un des moyens pour y arriver est de renforcer la coopération entre tous les pays arabes sur la base du respect, des intérêts mutuels et de la non-ingérence. D’où, évidemment le renoncement aux égoïsmes nationaux. L’Algérie a mis en pratique ces principes et le caractère bilatéral est très présent dans les visites qu’a effectuées le Président de la République. Des accords ont été signés pour donner une impulsion à la coopération bilatérale.
Avec ces visites et la relance de la politique arabe, l’Algérie conforte son rôle et sa place sur l’échiquier international. Elle assume de plus en plus, ses missions d’acteur majeur de l’hémisphère Sud.
L’Algérie renoue avec les principes de sa politique arabe qui constitue un axe central de sa politique étrangère. Sa diplomatie est en train de s’activer pour qu’elle puisse apporter sa contribution, son expérience et son aura à la réussite des objectifs que s’est assignés le Monde arabe. C’est là, aussi, sa volonté invariable de soutenir toutes les causes justes du Monde arabe qui doit faire sa mue pour relever les défis de la mondialisation.
el moudjahid
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