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D'après une étude menée par Transparency International (TI), une organisation non gouvernementale, sur 42 grandes entreprises, et rapportée lundi par le Financial Times, la transparence n'est pas encore devenue une pratique habituelle chez les pétroliers
Alors que le prix du pétrole flambe, quasiment rien n'est fait contre la corruption et la mauvaise gestion étatique des richesses en pétrole.
Pour TI, c'est l'absence de transparence sur les revenus des compagnies pétrolières et gazières qui ont conduit à la mauvaise connaissance du niveau des ressources mondiales.
Selon cette étude, seul Royal Dutch/Shell figure en bonne position, tandis qu'ExxonMobil est en bas de classement.
Jonas Moberg, membre de l'Extractive Industries Transparency Initiative, a ajouté que c'était «malheureux» que la plupart des compagnies étudiées dans ce rapport ait refusé de coopérer à son élaboration. Ce qui montre qu'il ya bien un problème au niveau de la transparence, déplore Moberg.
Dans un souci de transparence internationale, la Banque Mondiale a lancé un programme de mise à disposition des informations fournies par les gouvernements et les compagnies pétrolières, principalement pour aider les pays en développement à négocier plus efficacement avec les pétroliers.
Par Le figaro
Alors que le prix du pétrole flambe, quasiment rien n'est fait contre la corruption et la mauvaise gestion étatique des richesses en pétrole.
Pour TI, c'est l'absence de transparence sur les revenus des compagnies pétrolières et gazières qui ont conduit à la mauvaise connaissance du niveau des ressources mondiales.
Selon cette étude, seul Royal Dutch/Shell figure en bonne position, tandis qu'ExxonMobil est en bas de classement.
Jonas Moberg, membre de l'Extractive Industries Transparency Initiative, a ajouté que c'était «malheureux» que la plupart des compagnies étudiées dans ce rapport ait refusé de coopérer à son élaboration. Ce qui montre qu'il ya bien un problème au niveau de la transparence, déplore Moberg.
Dans un souci de transparence internationale, la Banque Mondiale a lancé un programme de mise à disposition des informations fournies par les gouvernements et les compagnies pétrolières, principalement pour aider les pays en développement à négocier plus efficacement avec les pétroliers.
Par Le figaro