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Considérée comme berceau de la race équine, la wilaya de Tiaret s’apprête à accueillir le traditionnel Salon du cheval du 4 au 6 juin prochain, avec cette fois-ci une dimension tout à fait particulière du fait de la variété du programme, du nombre des participants ou encore des objectifs escomptés.
La première réunion de préparation tenue jeudi dernier sous la présidence du wali de Tiaret, en présence du secrétaire général de la Fédération algérienne des sports équestres et de l’ensemble des intervenants, a été consacrée à un débat ouvert où plusieurs propositions liées à l’organisation ont été enregistrées.
En préambule, le chef de l’exécutif de la wilaya a insisté sur l’importance que revêt l’événement dans la mesure où il permet sans conteste à la capitale des Rostémides de mettre en valeur ses potentialités culturelles, civilisationnelles et touristiques, mais aussi de démontrer son attachement impérissable au cheval perçu comme une fierté de tous les instants pour les Tiaretis. «On est tenu de réunir toutes les conditions pour faire de ce salon un événement grandiose meilleur que les précédents», a déclaré le wali de Tiaret avant d’ajouter : «L’on fera en sorte que ce salon soit institutionnalisé pour être retenu parmi les fêtes annuelles.» Le même orateur avait particulièrement insisté sur la mobilisation mais surtout la contribution financière des uns et des autres tant que le montant jusque-là dégagé n’est pas en mesure de couvrir tous les frais.
Sachant que plus de 1200 participants, dont une trentaine d’étrangers représentant dix pays, seront présents à ce salon, selon une fiche technique présentée par le représentant de la Fédération des sports équestres, le programme de cette manifestation – placée sous le haut patronage du président de la République – porte sur une panoplie d’activités à l’image de l’équitation moderne et traditionnelle (fantasia), vente de chevaux, expo-vente de sellerie et autres métiers liés au cheval, déclamation de qassida sur le cheval, spectacles artistiques, concours international d’endurance, des épreuves de saut d’obstacles, exhibition de voltige, des courses hippiques, concours modèle et allure, parade équestre, séminaire vétérinaire, conférence sur l’historique du cheval, concours de maréchalerie, ainsi que des randonnées équestres permettant entre autres de lancer l’écotourisme, à travers les différentes zones rurales notamment.
Aussi, parmi les mesures prises lors de cette séance de travail, l’on citera le lancement des travaux de réhabilitation au niveau de lieux devant abriter les festivités comme le village équestre Khaled Ibn El- Walid, le centre Emir Abdelkader, le haras Chaouchaoua et leur équipement en khaïmas et autres moyens jugés nécessaires ainsi que la réservation de la place Mohamed Boudiaf aux expositions.
A noter enfin qu’à l’issue de cette première réunion, le chef de la daïra de Tiaret a procédé à l’installation de pas moins de dix commissions présidées chacune par un membre de l’exécutif de la wilaya en attendant les prochaines rencontres d’évaluation de cette première étape de préparation. Nous y reviendrons.
Par Le Soir
La première réunion de préparation tenue jeudi dernier sous la présidence du wali de Tiaret, en présence du secrétaire général de la Fédération algérienne des sports équestres et de l’ensemble des intervenants, a été consacrée à un débat ouvert où plusieurs propositions liées à l’organisation ont été enregistrées.
En préambule, le chef de l’exécutif de la wilaya a insisté sur l’importance que revêt l’événement dans la mesure où il permet sans conteste à la capitale des Rostémides de mettre en valeur ses potentialités culturelles, civilisationnelles et touristiques, mais aussi de démontrer son attachement impérissable au cheval perçu comme une fierté de tous les instants pour les Tiaretis. «On est tenu de réunir toutes les conditions pour faire de ce salon un événement grandiose meilleur que les précédents», a déclaré le wali de Tiaret avant d’ajouter : «L’on fera en sorte que ce salon soit institutionnalisé pour être retenu parmi les fêtes annuelles.» Le même orateur avait particulièrement insisté sur la mobilisation mais surtout la contribution financière des uns et des autres tant que le montant jusque-là dégagé n’est pas en mesure de couvrir tous les frais.
Sachant que plus de 1200 participants, dont une trentaine d’étrangers représentant dix pays, seront présents à ce salon, selon une fiche technique présentée par le représentant de la Fédération des sports équestres, le programme de cette manifestation – placée sous le haut patronage du président de la République – porte sur une panoplie d’activités à l’image de l’équitation moderne et traditionnelle (fantasia), vente de chevaux, expo-vente de sellerie et autres métiers liés au cheval, déclamation de qassida sur le cheval, spectacles artistiques, concours international d’endurance, des épreuves de saut d’obstacles, exhibition de voltige, des courses hippiques, concours modèle et allure, parade équestre, séminaire vétérinaire, conférence sur l’historique du cheval, concours de maréchalerie, ainsi que des randonnées équestres permettant entre autres de lancer l’écotourisme, à travers les différentes zones rurales notamment.
Aussi, parmi les mesures prises lors de cette séance de travail, l’on citera le lancement des travaux de réhabilitation au niveau de lieux devant abriter les festivités comme le village équestre Khaled Ibn El- Walid, le centre Emir Abdelkader, le haras Chaouchaoua et leur équipement en khaïmas et autres moyens jugés nécessaires ainsi que la réservation de la place Mohamed Boudiaf aux expositions.
A noter enfin qu’à l’issue de cette première réunion, le chef de la daïra de Tiaret a procédé à l’installation de pas moins de dix commissions présidées chacune par un membre de l’exécutif de la wilaya en attendant les prochaines rencontres d’évaluation de cette première étape de préparation. Nous y reviendrons.
Par Le Soir
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