Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La zambie à Tindouf

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La zambie à Tindouf

    L’accréditation de l’ambassadeur sahraoui auprès de la République de Zambie va renforcer les relations d’amitié qui existent entre les deux pays et contribuera à la réalisation de nos objectifs", a souligné le Président de la Zambie, Levy P. Mwanawasa, dans une lettre à son homologue sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a indiqué le communiqué, dont une copie est parvenue à SPS."

    C'est ainsi que le non avènement est relaté par l'appareil de propagande au service de l'algérisario, dans la mesure où la zambie reconnaissait déjà la RASD depuis 1979.
    Ces ambssadeurs vont loger où ? A Alger, Boumerdès ou à Tindouf même ? Combien y aura-t-il de consulats relevant de cette ambassade ! Cet ambassadeur traitera quoi comme dossier ? Quelle sera sa préoccupation quotidienne en plein désert ?

    Décidemment, l'Afrique, notamment anglophone, frise de plus en plus le ridicule et décribilise davantage le Continent Noir. heureusement qu'il y a encore une trentaine de pays qui soutiennent la cause marocaine. La majorité n'a pas perdu les constantes et les valeurs réellement africaines pour s'aventurer dans un projet fallacieux sponsorisé à coup de milliards par l'Algérie officielle dopée par la hausse du prix pétrole.

    Ceci dit, Cette dépêche surréaliste m'a inspiré ce commentaire humouristique parce que toute analyse objective et académiue ne peut pas tirer grand chose que de prêter à sourire !

    ya sa3di ya ferhi ! zambia à Tindouf. Ah si Tintin était encore en vie ! Il aurait fait une BD de succès :-) Il y a de la matière !

    Je vois déjà les personnages :
    - un nain pervers qui se prend pour le Prix Nobel bienfaiteur et ami intime de Tabboun M'beKille, le zoulou zélé
    - Un militaire bedonnant avec ses lunettes et son carnet sur lequel il marque ses marchandises du trabendo à écouler dans le circuit de l'économie informelle
    - Un Africain avec un bidon d'essence sous son boubou et
    - Un marakechi Président des chameaux democratiques, car ne représentant que lui-même et sa bande de mercenaires. Il sera reconnu dans les desssins avec son bouc légendaire et sa myopie protohistorique, reptilienne et politique!
    - une bande de terroristes afghanisés qui sont venus uniquement pour manger le couscous et avoir leur nouvelle feuille de route et les consignes pour leur prochaine mission dans le désert du sahara central.

    Hein ? Avec ca, on ne peut pas faire un super film comique :-)

    J'imagine même un bout de dialogue :
    "Viens ! Viens mon frère zombie, tu reconnais le polisario, et on te donne l'essence pour ta mobylette"
    - d'accord mesiou le presidon ! tu es zentil avec les africains ! ti es un grond Patron toi, je veux aussi le couscous pimenté svp !
    - pas de problim mon frire ! ti veux même les pastèques, on va le faire venir du jardin d'à côté : le marroc.
    - Oui Patron ! mais donne l'arzent d'abord ! apres je peux faire le truc avec la rasd.
    - tu sais que tu es beau avec ton bobo toi
    - ah bon merci Patron, Moi aime toi beaucul parce que tu donnes l'arzent :-)
    - C'est rien ! c'est l'argent du peuple pas à moi. Et come tu sais, si quelqu'un ouvre sa gueule, il aura affaire aux sbires de mon Etat.
    -ah c'est bien ça ! j'aime bien les voyous comme toi ! tu peux compter sur moi pour le soutien de ta combine politique avec le polisario.
    - merci Monsieur le President marabout en chef ! vive la solidarité africaine dans la combine démocratique et l'hypocrisie fraternelle :-)
    - en tout cas, on va faire le gri gri politique à tindouf même.

    Trêve de plaisanterie,
    Zambia n'a même pas trouvé de quoi nourir son peuple et lui procurer les médicaments, notament pour les malades du sida qui fait des ravages, et elle songe à ouvrir une représentation diplomatique à Tindouf.

    ah ok ! j'ai compris ! Tout est payé par la Princesse Algérie avec ces mamelles regorgeant de naphte !

    Wélé wélé ! le sous-développement mental, culturel, et politique dans toute sa splendeur:-)

  • #2
    Ainsi tu ne trouves rien d'autre à reprocher à nos amis zambiens que leur pauvreté. C'est fort !

    Ce n'est vraiment pas un sujet qui prête à rire et laisse moi te dire que j'ai été profondément ébranlé le jour où j'ai vu à la télé des gamins marocains risquant leurs vies pour se rendre clandestinement en espagne : le camion d'abord (ils s'accrochent à l'essieu) pour atteindre le port. Une fois au port, je ne sais par quel moyen (illégal) ils se retrouvent à bord du bateau pour être interceptés par les gardes cotes espagnols, lorsqu'ils ne finissent pas au fond de la méditerrannée. Tu crois qu'ils étaient heureux chez eux ?

    Un peu de décence l'ami !
    Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

    Commentaire


    • #3
      avant de s'acharner de tel façon sur la zambie ,je te consei de revoir la liste des pays africain qui reconnaissent la rasd,et de voir s'il ya encore des pays qui sont avec les theses du grands maroc

      Commentaire


      • #4
        souhil , voir la liste des pays reconnaissant le fantome RASD dans le sujet fermé ' la situation au sahara .........'

        Commentaire


        • #5
          aujourd'hui je vous ramene le recit d Abdelkader qui met l'accent sur les rapports fraternels qui lient les Algériens et les Marocains en dehors des positions officielles belliqueuses du pouvoir algérien.

          Vous savez je me suis longtemps demandé et je me pose encore la question de savoir pourquoi l'Algérie officielle nous voue une telle hostilité et un telle haine....
          Et pourtant dans les relations directes et individuelles c'est la symbiose et l'entente parfaite avec de nombreux frères algériens et je suis bien placé pour le dire puisque ma famille est constituée d'algériens et de marocains. J'aurai bien aimé inviter tous ceux qui veulent altérer cette symbiose , par exemple , à une fête de mariage d'un couple algéro-marocain pour démontrer que sur le plan individuel c'est la communion totale du destin.

          A preuve, je me rappelle qu'à l'occasion d'une épreuve sportive au Japon, des boxeurs algériens et marocains ont
          rencontré un maghrébin qui se faisait aggresser dans un un café par un groupe d'individus ; eh bien d'un seul élan ils se sont portés au secours de leur compatriote mettant en fuite d'une manière magistrale les aggresseurs.
          Ensuite plus récemment vous avez constaté leur pleine solidarité en France face aux provocations des tsiganes......et les exemples sont impossibles à énumérer.

          Je vous assure qu'il y a des algériens qui parlent mieux que nous l'arabe dialectal marocain et je défierais quiconque serait capable de les distinguer de marocains; et ils ne le font pas exprès, c'est leur langage naturel et bien entendu vice-versa....

          ALLAH yahdi l'Algérie officielle afin de ne pas mettre un jour face à face les membres d'une même famille!
          Sincérement est-ce la défense d'un Mohamed Abdelaziz qui n'a aucune histoire commune avec nos frères algériens mérite-t-elle tous ces efforts et tout aban don d'espoir d'entente.
          Pourquoi ne pas se mettre autour d'une table tout en mettant dehors tout étranger à nos préoccupations communes et préparer un plan rigoureux visant le bonheur de nos deux peuples qui sont en fait un seul et même PEUPLE.?
          Est-il vraiment trop tard pour réaliser cet objectif ?

          Commentaire


          • #6
            Je préfère ce discours, je te remercie pour ces sentiments et Allah Yahdi koul el houkkam, et à l'occasion n'oublie pas de prier dieu pour sa majesté. Allah yahdi el Malik.
            Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

            Commentaire


            • #7
              Hippone

              Bonjour fred1969,

              Si tu tenais vraiment à cette amitié entre Algérien et Marocain tu n'aurais pas signalé tes critiques qu'au regard de "l'Algérie officiel" comme tu dis! Avant de donner des leçons aux autres essayes d'ouvrir les yeux sur ce que le "maroc officiel" est entrain de faire ou plutôt ne rien faire pour son peuple. Pauvreté et misère, et pour vous détourner de cela ils sèment de quoi nourrir en vous le nationalisme via cette affaire du sahara. Car ceci est un bon moyen et l'unique moyen même pour vous détourner des problèmes réels du maroc.

              Quand je pense à ces deux villes au nord du Maroc qui sont colonies espagnoles! Je ne m'empêche pas de me dire que le "Maroc officiel" est vraiment indigne. Alors qu'on toute logique ils devraient revendiquer leurs territoires aux espagnoles, au contraire ils affichent une tolérance impressionnante envers l'ancienne puissance coloniale. Ah la la ces "Marocains officiels" se font tous petits devant les espagnoles mais quand il s’agit de pauvre sahraouis sans défonce qui revendiquent leur terre pour vivre en paix, alors là ils les répriment. Ce ne sont pas vos esclaves (je parle au "maroc officiels"), je trouve que c'est une attitude lâche. Vous trouver à dire et à redire sur ceux qui comprennent leur douleur et les soutiennent!

              fred1969, tu développes un racisme envers les zambiens, pourquoi? paceque c'est des pauvres gents? parcequ'ils sont africains? parceque qu'ils ne sont pas puissant? parcequ'ils sont faibles? tu devrais avoir honte de ce que tu as dis! Pourquoi tu n'as pas qualifié les quelques européens qui soutiennent la cause sahraoui de la sorte! Je te dis pourquoi moi, parceque les uns sont des gents à leurs cirer les pompes et les autres sont bon à être les esclaves de la couronne! Non mon ami la lâcheté n'a jamais payé!
              La puissance n'est rien sans maîtrise!

              Commentaire


              • #8
                et la combine démocratique melangée à l'hypocrisie fraternelle continue :-)

                La campagne de désinformation menée par le Polisario contre le Maroc, les tentatives successives de certaines délégations de politiques espagnols pro-Polisario de se rendre à Laâyoune ou la dernière visite officielle du chef des séparatistes à Madrid font partie d’une stratégie globale élaborée par les services algériens pour "augmenter la pression sur le Maroc".
                Ces actions et plusieurs autres figurent dans un document auquel Aujourd’hui Le Maroc a pu accéder et qui a été distribué aux responsables polisariens des différents comités de soutien au Polisario opérant en Espagne. Classé confidentiel, ce document est une sorte de feuille de route qui indique aux représentants des séparatistes de Tindouf en Espagne les différentes actions à entreprendre durant la période comprise entre juillet et décembre 2005.
                En fait, le document ne fait que rectifier la stratégie déjà élaborée par les services algériens pour l’année en cours afin de l’adapter aux récents développements concernant l’affaire du Sahara marocain.
                "La lutte qui a eu lieu durant les quarante derniers jours dans les territoires occupés exige que nous mobilisions les organisations solidaires du peuple sahraoui dans tous les domaines afin de réussir une meilleure efficacité et une meilleure coordination de nos actions" dit le préambule du document avant d’ajouter que "cette tâche sera prioritaire vu la gravité de la situation".
                Il est clair donc que ce qui se passe en Espagne ou ce qui s’est passé à Laâyoune récemment n’est pas le fruit d’une réaction spontanée mais plutôt d’une stratégie globale établie par les services algériens et dictée aux polisariens.
                Le document est divisé en deux parties. La première est consacrée aux raisons ayant poussé à la révision de la stratégie pour le deuxième semestre de l’année et la deuxième définit les grandes lignes de l’action que doivent entreprendre les polisariens en Espagne durant la même période.
                Neuf points résument ce que le Polisario considère comme "la nouvelle donne dans l’affaire du Sahara". Il commence d’abord par prétendre que les provinces sahariennes connaissent "pour la première fois en trente ans", une "situation explosive". Appelant ses agents à exploiter médiatiquement les récents événements qui ont eu lieu à Laâyoune et au campus universitaire de Rabat, le document algérien leur rappelle qu’"il y a un saut qualitatif dans les revendications" des habitants de la région. Insistant sur la nécessité de promouvoir auprès de l’opinion publique espagnole l’idée selon laquelle il existe une sorte d’"Intifada" dans les provinces marocaines du sud, la feuille de route polisario-algérienne appelle à faire croire qu’il existe dans les provinces du sud "un état de siège depuis mai 2005" et que "la population sahraouie fait l’objet d’une répression brutale" de la part de "milliers de policiers et de soldats" marocains.
                Toujours dans le cadre de l’évaluation de ce que le document considère comme "la nouvelle conjoncture", tout un paragraphe est réservé à "l’impact médiatique" chez l’opinion publique espagnole. "Il y a lieu de souligner l’impact médiatique chez l’opinion publique en Espagne", rappelle le document avant de rajouter : "durant ces quarante jours, le sujet du Sahara était présent dans tous les médias régionaux et nationaux…et l’impact sur la sensibilité de l’opinion publique se multiplie surtout grâce à la brutalité des images".
                Dans le cinquième point concernant "l’évaluation de la situation", le document se livre à une lecture de ce qu’il estime être la stratégie du Maroc avant de procéder à la définition des actions à entreprendre dans le cadre de la nouvelle approche.
                Ces actions qui sont présentées sous forme de directives sont résumées en quatorze points. "Devant cette situation qui représente un saut qualitatif de grande gravité, il est nécessaire de reconsidérer nos actions prévues pour 2005 et accorder la priorité maximale à un ensemble d’objectifs et d’activités", explique le document algéro-polisarien. "Pour ce faire, nous allons promouvoir les initiatives suivantes entre juillet et décembre 2005", ajoutent les rédacteurs du document.
                De quelles initiatives s’agit-il ?
                D’abord, la nouvelle stratégie du Polisario appelle à "élaborer et diffuser un grand dossier incluant des informations et des images des événements (de Laâyoune)". Ce rapport devrait être largement diffusé. Selon les directives polisariennes, il devrait être envoyé au "gouvernement espagnol, la Maison royale d’Espagne, les groupes parlementaires, la presse, les organisations, les institutions, les personnalités, les collectifs…etc". Mais, le document met l’accent sur la nécessité d’y inclure des photos et des DVD.
                Le deuxième point de la stratégie consiste à "envoyer d’une manière permanente des délégations et des observateurs" dans les provinces du Sud. "Des petits groupes entre 6 et 10 personnes, des représentants d’institutions de la société civile, des droits de l’Homme et des médias", précise le document avant de souligner qu’il faut que ce soit à raison "d’une délégation par semaine". Les rédacteurs de la stratégie demandent à leurs agents en Espagne de leur faire parvenir " d’urgence un calendrier" desdites visites.
                Troisièmement, le document met l’accent sur la nécessité d’"impulser et d’entretenir une campagne médiatique" ciblant l’opinion publique espagnole.
                "Manifestations publiques, rassemblements devant les consulats du Maroc de petits groupes, présence médiatique permanente", précise le document polisarien. Et l’on remarque que le Polisario appelle ses agents à organiser des rassemblements de "petits groupes" devant les représentations diplomatiques à l’étranger. L’objectif étant de donner toujours l’image d’un "petit peuple martyr" devant l’opinion publique internationale. Dans le même cadre, le Polisario appelle ses représentants en Espagne à profiter de la présence dans ce pays des enfants des séquestrés à Tindouf que la direction des séparatistes envoie chaque année passer les vacances d’été en terre espagnole pour des objectifs médiatiques. « Durant l’été, le programme "Vacances en paix" (c’est ainsi que le Polisario appelle l’opération d’envoi d’enfants des séquestrés en Espagne) est un prétexte pour dénoncer la situation", souligne le document polisarien avant de rappeler que, pour ce faire, il faut utiliser tous les moyens possibles allant de la distribution de tracts aux messages SMS.
                Le quatrième point de la stratégie polisario-algérienne consiste à essayer d’obtenir le maximum de déclarations institutionnelles en faveur de la thèse séparatiste.
                S’agissant du cinquième point, il est réservé à la visite à Laâyoune d’une délégation parlementaire espagnole que les gouvernements marocain et espagnol ont convenu d’organiser dans le cadre de la concertation. Le document précise la stratégie à adopter vis-à-vis de cette visite. "Cette visite ne doit pas freiner le reste des délégations ; il faut éviter la manipulation par le Maroc ; dénoncer le contexte dans lequel elle est organisée ; négocier les conditions de liberté de mouvement de la délégation ; dénoncer l’incarcération des militants sahraouis et de l’état de siège imposé ; et, en cas de retard dans l’organisation de la visite, envisager la possibilité de promouvoir une visite de députés et de sénateurs à caractère non-officiel vu la gravité de la situation", indique la feuille de route polisarienne.

                Commentaire


                • #9
                  Au sixième point, le Polisario appelle à la mobilisation auprès des forums et des organisations de défense des droits de l’Homme. Dans le même cadre, il appelle dans le septième point à faire pression sur l’ONU et l’Union européenne "pour obtenir des déclarations sur la situation".
                  Huitièmement, il est appelé à faire pression sur le gouvernement espagnol pour "qu’il abandonne ses positions permissives avec le Maroc". Pour ce faire, il est appelé à "envoyer des lettres au président du gouvernement espagnol, entreprendre des initiatives au Congrès et au Sénat, et être présents lors des débats du Congrès en septembre".
                  Au neuvième rang des priorités polisariennes, figure l’organisation de visites aux provinces du Sud de délégations représentants des secteurs spécifiques dont "des médecins pour soigner les blessés…et des juristes pour assister aux procès...".
                  Dixièmement, le Polisario appelle ses agents installés en Espagne à œuvrer "pour une présence permanente des médias" dans les provinces du Sud. Le document recommande, dans le onzième point, de mener une campagne pour la libération de ce qu’il appelle "les militants dans les territoires" et cite notamment "Aminatou Haidar".
                  Dans ce même point, le document appelle à utiliser la campagne de désinformation qu’il mène pour faire croire à l’existence d’un état de siège dans les provinces du Sud afin de lancer une collecte de fonds au profit du Polisario. "Une campagne de solidarité économique pour soutenir la lutte, soigner les blessés et faire face aux besoins matériels", précise la feuille de route polisarienne.
                  Au douzième point, on découvre que la rencontre qui vient d’avoir lieu à Madrid entre l’ex-président du gouvernement espagnol, José Maria Aznar, et le chef des séparatistes fait partie de la stratégie secrète du Polisario. En plus, on y découvre que le Polisario envisage d’organiser, en novembre 2005, une conférence internationale à Madrid. Aznar a-t-il été manipulé par le Polisario ou participe-t-il au complot contre le Maroc ? La deuxième option paraît la plus plausible.
                  Au treizième point, on découvre que le Polisario compte entreprendre des initiatives anti-marocaines à l’occasion du sommet maroco-espagnol qui devrait avoir lieu en septembre 2005.
                  Enfin, le Polisario rappelle à ses agents qu’ils doivent se mobiliser pour faire réussir ses participations aux différentes rencontres internationales durant les six mois prochains. En conclusion du document, ses rédacteurs insistent auprès de leurs agents sur la nécessité "d’améliorer la coordination et la capacité de réplique aux développements de la situation". Ainsi, la stratégie secrète du Polisario révèle que les Polisariens ne sont que des agents à la solde de l’Algérie, un Etat manipulateur qui les utilise pour nuire au Maroc et déstabiliser la région.

                  Commentaire


                  • #10
                    tiens nous avons encore affaire à la fourberie!

                    ce que vous venez peut être de lire viens d'un journal marocain des plus anti-Algérien, il atteint souvent des sommets dans l'art du mensonge et de l'insulte nous concernant.
                    pourquoi ne pas citer sa source et faire croire que cela viens de toi fred 1969 en ne mettant pas de guillemets.... ?


                    http://www.aujourdhui.ma/couverture-details37631.html
                    Dernière modification par algérino.jersey, 13 juillet 2005, 17h23.

                    Commentaire


                    • #11
                      La torture pratique "humaine" inhumaine et indigne

                      Je vois que des milliers ou dizaines de milliers de marocains ont été torturés gravement....Qd je pense aux pauvres sahraouis....

                      PARTIE I


                      Société : Vivre après la torture

                      Le centre d'accueil installé
                      à Casablanca, rue Khadija
                      Bent Khoualid
                      Ils sont des milliers à souffrir de séquelles psychologiques et physiques, héritées de la torture. Un centre d'accueil et d'orientation tente, avec ses maigres moyens humains et financiers, de leur venir en aide. Par Laetitia Grotti


                      "Je ne dors plus. Vous savez ce que ça veut dire. Je ne dors plus la nuit, je marche sans cesse…pour fuir mes cauchemars". Mohamed Ikbal n'a eu ni jeunesse ni vie. Ou plutôt, celles qu'il a vécues lui ont laissé pour seuls souvenirs les horreurs de la torture. Une torture répétée des milliers d'heures, sous toutes
                      ses formes, au cours des multiples arrestations dont il fut victime depuis 1962 jusqu'à la fin des années 70. À 63 ans, il est continuellement hanté par ces mêmes images qui lui reviennent. "Je suis en permanence sur le qui-vive, me demandant quand est-ce qu'ils vont venir me chercher. À un moment, je me suis cru fou. Ma femme vit le même calvaire".
                      Ce permanent UNFPéiste de la première heure a connu quatre arrestations. À chaque fois, le parcours fut à peu près le même. Plusieurs mois de tortures quotidiennes à Derb Moulay Cherif ou à Dar Benhamou (point fixe 2) avant d'être transféré dans une cellule, à Kénitra ou à Marrakech. À chaque fois, ces mois, voire ces années de détention, se sont soldés par un non-lieu au procès. Innocent. Oui, mais voilà. Entre temps, celui que la justice a toujours blanchi des accusations portées contre lui, a dû affronter et surmonter le sadisme de ses tortionnaires : la falaqa, l'électricité sur toutes les extrémités du corps, doigts, pieds et parties génitales, les électrochocs, la permanence des coups… Il a dû, de prison, affronter et surmonter la mort de son père, causée par le désespoir de ne pas savoir où était ce fils chéri, officiellement "disparu". Affronter et surmonter, encore, les quatre fausses couches de sa femme, causées par des complications de grossesses que l'on comprend aisément. Mais les conséquences de la torture ne s'arrêtent pas avec la fin de la torture. Les meurtrissures du corps et de l'esprit restent indélébiles. D'autant que tout est fait pour que ce souvenir perdure. Prisonnier politique (PP), innocenté ou pas, signifie que l'on vit avec sa famille sous la pression constante des différents services, quand ce ne sont pas des menaces directes ou des tentatives d'assassinats. Pressions auxquelles s'ajoutent l'impossibilité d'une réinsertion sociale. Quelle entreprise aurait voulu d'un PP pour salarié ? Mais, quand bien même aurait-il eu la chance de tomber sur quelqu'un prêt à courir ce risque, aurait-il seulement pu travailler ? Mohamed Ikbal connaît aujourd'hui les plus grandes difficultés à se déplacer. Souvenirs des séances de falaqa. D'autres séances analogues sont à l'origine de l'aggravation de son diabète, de l'apparition de problèmes cardiaques et d'une hypertension. Il a perdu plusieurs degrés d'acuité visuelle et il est aujourd'hui sujet à des pertes fréquentes de mémoire. Séquelles physiques, morales auxquelles s'ajoutent l'absence de réinsertion sociale, tel est le triste bilan des victimes de la torture.
                      Combien sont-ils à avoir vécu des affres similaires à celles de Mohamed Ikbal ? 1000 ? 10.000 ? Pour le Forum Vérité et Justice, ils seraient environ 50.000. Encore parle-t-on des "victimes primaires", celles qui ont éprouvé la torture dans leur chair. Mais une victime est rarement orpheline. Elle a généralement une famille, des parents, un conjoint, des frères et sœurs… Ils sont ce que les médecins appellent les "victimes secondaires". S'ils n'ont pas eu à connaître "la bouteille" ou encore "l'hélicoptère", ils n'en n'ont pas moins subi d'autres formes de violences : la disparition d'un proche, son enfermement, le harcèlement policier, le rejet des voisins… Ces victimes seraient 10 fois plus nombreuses que les premières. De quoi donner le vertige à plus d'une âme sensible ! Mais pas à l'État, pourtant principal responsable de ces exactions. Alors, pour pallier l'urgence et apporter un début de réconfort à ces personnes, 8 médecins se sont mobilisés et ont créé, en 2001, un centre d'écoute et d'orientation, qui leur est entièrement dédié. "Avant la création de ce centre, des médecins bénévoles s'occupaient de la prise en charge médicale de ces victimes, mais ils agissaient clandestinement", témoigne le Dr Abdelkrim Manouzi, membre fondateur du centre. "Quand les 'miraculés' de Tazmamart et de Kelaat M'Gouna ont été relâchés en 1991, une petite équipe s'en est occupée. Mais, ils présentaient des séquelles très lourdes, des maladies chroniques graves et des problèmes sociaux énormes". À partir de cette date, la politique officielle en matière de droits humains commence à changer. Le pays connut d'abord une amnistie générale en 1994 avec la libération de 424 détenus. Deux ans plus tard, c'est au tour de l'OMDH d'organiser un séminaire sur "la santé et les droits de l'homme". Outre les grandes ONG internationales (Amnesty et l'IRCT - conseil international de réhabilitation des victimes de la torture) et marocaines, y participent pour la première fois d'anciennes victimes des années de plomb.
                      Dernière modification par chicanos, 13 juillet 2005, 17h56.

                      Commentaire


                      • #12
                        Condamnons la torture où qu'elle se passe...

                        PARTIE II :

                        Et chacun de mesurer la nécessité de leur venir en aide. Mais il reste difficile d'évoquer ces questions. L'époque n'est pas encore à la levée des tabous et aux sujets forts. "Imaginez que même pour trouver un local, ça été une véritable galère. Personne ne voulait louer à des médecins pour soigner des victimes de la torture. Des opposants politiques, des séditieux, c'était courir trop de risques, raconte le Dr Manouzi. En fait, c'est Zakya Daoud qui nous loue le sien". Et ce, depuis janvier 2001, date d'ouverture du "centre d'accueil et d'orientation des victimes de la torture", grâce à des financements européens dégotés par l'IRCT, via une fondation suisse, OAK. "Depuis cette date, nous avons accueilli près de 600 personnes et procédé à près de 2000 consultations", raconte le Dr Manouzi. Au centre, le Dr Marzouk, permanent à mi-temps, reçoit indifféremment les victimes "connues", c'est-à-dire adressées par le FVJ, que celles qui ne le sont pas (auquel cas, les médecins remplissent une fiche signalétique et en cas de doute, demandent au FVJ de mener une "enquête sur ses antécédents carcéraux"). Dans la petite pièce où il ausculte, il procède aux premiers examens généralistes. "Si la personne vient me voir pour un problème de médecine générale, je la traite sur place et je lui donne les médicaments. Tous bénéficient d'un bilan radiologique. En revanche, si les séquelles nécessitent de voir un spécialiste, j'oriente le patient vers l'hôpital ou des cabinets 'amis'. En termes de séquelles physiques, ces victimes souffrent de rhumatismes, de douleurs d'articulation suite aux heures de suspension subies, de paralysie, de perforation des tympans (la fameuse 'claque'), du sphincter, d'hémorroïdes, de rétention d'urine - même ce besoin naturel est devenu une souffrance pour eux à cause des heures de punition imposées où ils devaient se retenir", explique le Dr Omar Jbiha, du centre. Il y a également beaucoup de cas d'insuffisances respiratoires et pulmonaires. Des tuberculoses. Des séquelles qui exigent des soins et pour lesquels la majorité n'a pas le début du commencement d'un sou. Puisqu'ils sont, pour la plupart, sans revenu. "Pour les cas d'hospitalisations, nous leur facilitons l'entrée à l'hôpital. Ils bénéficient d'une recommandation à faire valoir au directeur de l'hôpital, qui, seul, peut décider de la gratuité des soins", explique le Dr Manouzi. Mais, cela est possible en vertu d'un accord informel passé avec le ministère de l'Intérieur. Quand il y a deux ans, ce dernier a lancé des discussions avec le comité de suivi associatif (AMDH, OMDH et FVJ), la commission médicale en faisait partie. Et elle avait transmis ses doléances ainsi que la liste des 100 cas médicaux les plus urgents qui leur avait été demandée. À l'époque, le tout puissant wali de Casablanca, Driss Benhima, avait déclaré :"Les victimes ont le droit d'être soignées par l'État. Nous allons donner des instructions pour qu'elles soient soignées gratuitement dans les hôpitaux". Malheureusement, confiné dans un cadre informel, cet accord connaît des résultats plus que décevants sur le terrain (cf. encadré). D'autant que l'enveloppe d'environ 400.000 DH qu'avait pu dégager certaines wilayas pour l'achat des médicaments par le centre, s'est tarie. Et que depuis un mois, il n'y a plus d'argent dans les caisses. Et presque plus de médicaments dans les pharmacies. "Ce qui crée de nouvelles angoisses à nos patients. Nous avons, par exemple, un polydialysé qui peut mourir, faute de soins. Quand il a appris la nouvelle, il a été pris de panique. Nous sommes allés voir le wali, qui, dans ce cas précis, a répondu à l'urgence", raconte le Dr Jbiha. "Mais cela reste de la charité, s'insurge M. Nadrani. Il y a des centaines de gens dans le besoin et dans l'urgence".
                        À ces séquelles les plus visibles, s'ajoutent les séquelles psychologiques. Plus profondes. Peut-être plus meurtrières. Pour cet ancien détenu de Kelaat M'gouna et d'Agdz, "il faut comprendre qu'on arrête un être humain qui a des valeurs, des principes, des idéaux et qu'on essaie de tout lui prendre. De faire de lui un animal. Il perd d'abord son nom pour devenir un numéro. Ensuite, on le place dans des conditions voulues de saleté extrême. Puis, la torture mentale et physique". Hamid Zaroura, qui est passé par Dar Mokri, a subi trois simulacres d'exécution. À chaque fois, il était attaché au poteau. Ses tortionnaires lui bandaient les yeux, prononçaient la sentence de mort et lui tiraient dessus… avec des balles à blanc. Il perdit la tête à la troisième simulation. Il survit aujourd'hui sous traitement. À côté de ces tragédies individuelles, tous évoquent leurs cauchemars, leur angoisse permanente. L'absence de confiance dans les autres. Certains se méfient d'eux-mêmes. Pour le psychiatre du centre, le Dr Battas, "on parle aujourd'hui de stress post-traumatiques. Mais, d'autres types de victimes les connaissent comme celles du tremblement de terre d'Al Hoceima.
                        Dernière modification par chicanos, 13 juillet 2005, 17h51.

                        Commentaire


                        • #13
                          Condamnons la torture et les tortionnaires quels qu'ils soient.....

                          PARTIE III :


                          Ce qui fait en quelque sorte leur particularité, c'est qu'ils ont subi une violence intentionnelle. Cette volonté du tortionnaire de faire mal perturbe, car elle est extérieure. C'est comme si la victime subissait une effraction". Le type de psychose qui sera ensuite développée dépend pour beaucoup de la personnalité de départ, de sa vulnérabilité. "Ceux qui ont un 'moi' fort peuvent résister. Mais combien se retrouvent fragmentés, déchiquetés par l'humiliation ?", s'interroge faussement le Dr Battas. D'autant que la majorité d'entre ces victimes ont encore du mal à franchir le seuil d'un cabinet psychiatrique. Aux réticences culturelles (psy = fou) s'ajoutent l'extrême difficulté d'en parler, de verbaliser l'indescriptible. La plupart des médecins du centre l'affirment, "ils ont beaucoup de mal à parler de la torture. Cela les oblige à se replonger dans ce vécu, à revivre l'humiliation, les souffrances. La nature même de ce qu'ils ont enduré, l'incompréhension qui en découle, sont autant d'obstacles à surmonter". Le Dr Manouzi complète : "Certains ont développé, pendant la détention ou après leur libération, des schizophrénies. S'opère alors une dissociation de la personne, en proie aux délires de persécution, qui va avoir des comportements bizarres. Nous rencontrons également beaucoup de dépressifs, sujets au repli sur soi, aux troubles de l'humeur, qui s'auto-accusent, qui ont du mal à lier les idées entre elles car ils souffrent de défaut de concentration". Les troubles du sommeil engendrent, quant à eux, de la nervosité, de l'irritabilité, de la susceptibilité. Tout cela joue sur l'entourage qui a, seul, la charge de ces traumatismes. Si l'existence du centre était et demeure une nécessité, cela ne saurait constituer une condition suffisante pour venir en aide à toutes ces victimes. L'État doit aujourd'hui assumer leur suivi sanitaire et médical et proposer des solutions pour leur réinsertion sociale. À tout le moins, leur proposer des conditions financières de vie dignes. Il semble que ce soit la voie choisie par l'Instance équité et réconciliation. Mais quoi qu'il en soit, pas avant un an, date de la fin de ses travaux. Qu'en sera-t-il entre temps ?

                          Commentaire


                          • #14
                            Vous etes peut etre les moins concernes par ce conflit, et vous etes les seuls qui puissent nous montrer la voie de la reconciliation, mais vous vous preferer tourner ces vieux couteaux dans la plaie.

                            C'est quoi cette jeunesse qui veut vivre comme leurs ancetres qui se battaient deja a coup de batons.

                            IL faut avancer des idees qui peuvent nous conduire vers une paix juste.

                            1-Que veulent les habitants de ce territoire?
                            2-Doit-on eviter cette question? dites pourquoi
                            3-L'ONU peut t-elle se desengager du dossier?
                            4-Une independance du sahara occidental est t-elle envisageable sans destabilisation du maroc?
                            5-Quelle valeur ont les prisonniers de guerre des deux camps apres 20 ans de cessez le feu?
                            6-Le maroc est-il pret a partager a nouveau le territoire?

                            Commentaire


                            • #15
                              La je te rejoints pour dire qu'il faut essayer de trouver des solutions et arrèter vos aneries en reprenant les dires des journaux officiels cela rends vos commantaires peu cridible et cela vous ridiculise.
                              -a quoi aspirent nos peuples: à plus de justice ( en finir la hogra) de liberté,profiter de NOS richesses.Nos pays on la plus belle des ressources et ils(nos dirigents) la méprisent à des fins personnels.Le problème est bien sur d-ordre politique et surtout économique,nous rentrons de plein pied dans la mondialisation sans aucune arme pour nous défendre,il est claire que méme unie nous aurons du mal face à l'Europe aux USA est aux pays émergent qui sont entreint de faire peur à tout le monde comme la Chine ou l'Inde;alors tous seul?De nos jours nous avons besoins d'investissements lourds de grandes sociètes pour décoler.Pourquoi ces socètés boudes nos pays,simplement par manque de confiance (instabilités,peu de facilités, corruptions etc....).Le Maroc aurait pu bénéficier de tel investssement s'il avait pu organiser la coupe du monde 2010 parceque c'est un gros événement qui attire forcément les convoitise;encore aurait t'il fallu qu'il y mette du sien.L'Algérie grace aux hydrocarbures à plus d'atout pour attirer ces investissement mais n'y arrivr pas.Donc d'abord re donner confiance.
                              -La question qui divise le Maroc et l'Algérie c'est le sahara ,cette question ne doit pas étre éviter.La grosse différence c'est que pour les marocains c'est une question national (j'en suis convaincu) pour les algériens pas du tout.
                              -L-ONU a montré ses limites dans ce dossier parcequ'il est devenu complexe.Méme l'autodétermination est presque impossible,toute les partis ne sont pas d'accord sur la liste des votes;Je pense que les deux partis ont des arguments à faire valoir.En tant qu'Algérien de troisieme génération vivant à l'étranger je ne comprendrais pas que je n'ai pas le droit de participé à une décision national c'est ce droit que refuse le Polisario et l'Algérie à beaucoup de sahraouis qui ont émigré au Maroc durant la colonisation espagnol.Maintenant il est claire que les marocains avec se principe vont gonfler la liste des votants en faisant inscrire des sahraouis qui ne le sont pas (les magouille sont facile).Aussi on ne connait pas exactement les sahraouis vivant à Tindouf .La liste de 74 000 établi par l'Espagne n'est plus d'actualité cela fait plus de 30 ans (évolution démographique oblige).
                              -La solution a mon sens le polisario dépose les armes retourne au sahara occidental le Maroc reconnait ce mouvement comme force politique INDEPENDENTISTE (au meme titre que d'autre force politique pro ou anti marociane)dans le cadre d'une autonomie sous souveraineté marocaine.Après une certaine durée un référundum sera organisé superviser par l'ONU.En cas de victoire du polisario indépendance sinon le polisario devra ce contenté d'une vie politique sous souveraineté marocaine pour tjrs.Aussi rien ne prouve que le polisario représent tout les sahraouis.
                              Dans cette histoire tout le monde a commis des erreure le Maroc,le polisario et l'Algérie.
                              Les prisonnier marocains c'est une honte d'abord pour le Maroc qui les a toujours renié ensuite pour ceux qui les détiennent le polisario et l'Algérie puisqu'il sont à Tindouf.
                              L'Algérie se relève doucement de 10 ans de terreur la pense FLniste est toujours pesante, au Maroc des changements commencent mais c'est encore le grand flou,parceque l'esprit makhzen persiste;
                              Que dieu face que nos deux peuples avencent main dans la main incallah.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X