Le président de l'Organisation des pays exportateurs du pétrole (OPEP) Chakib Khalil n'a pas écarté un baril à 200 dollars si la monnaie américaine poursuit sa chute, dans une déclaration publié lundi par le quotidien El Moudjahid. Interrogé sur la possibilité d'un baril à 200 dollars, M. Khelil n'a pas écarté cette éventualité, en expliquant qu'elle est liée à la baisse du dollar.
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"Le prix du baril est désormais indexé à la hausse ou à la baisse du dollar", a-t-il dit. "Une baisse de 1% du dollar, provoque une hausse de 4 dollars par baril", -t-il dit. En sens inverse, "dans le cas d'une hausse de 10% du dollar, il y a fort à parier que le prix du baril chutera de 40 dollars", a-t-il souligné. Le prix du baril flirte actuellement autour de 120 dollars.
En termes de fondamentaux, les stocks sont élevés, la demande est en baisse et l'offre est satisfaisante. Normalement, sans problèmes géopolitiques et la baisse du dollar, les prix du pétrole ne seraient pas à leur niveau actuel", a affirmé le ministre. "Les prix du pétrole sont élevés du fait de la récession aux Etats-Unis et la crise économique touchant plusieurs pays, qui influe sur la valeur du dollar", a-t-il souligné. "Si la situation américaine arrivait à se stabiliser d'ici la fin de l'année, cela aiderait à les cours à se stabiliser", a-t-il dit.
"Je ne pense pas qu'un augmentation de la production aiderait les prix à baisser puisqu'il y a un équilibre entre l'offre et la demande, que les stocks d'essence aux Etats-Unis enregistrent un excèdent et qu'ils sont à leur plus haut niveau depuis cinq ans", a-t-il ajouté". M. Khelil a réitéré son refus de convoquer une réunion extraordinaire de l'OPEP. "Les objectifs de l'OPEP, a-t-il dit, ne sont pas baisser ou augmenter les prix du pétrole, mais de répondre aux besoins du marché ".
AFP
=== MODERATION ===
Lisez la FAQ pour apprendre à rédiger correctement les titres et les messages de vos sujets de discussions, SVP : http://www.algerie-dz.com/forums/faq...edaction_topic
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"Le prix du baril est désormais indexé à la hausse ou à la baisse du dollar", a-t-il dit. "Une baisse de 1% du dollar, provoque une hausse de 4 dollars par baril", -t-il dit. En sens inverse, "dans le cas d'une hausse de 10% du dollar, il y a fort à parier que le prix du baril chutera de 40 dollars", a-t-il souligné. Le prix du baril flirte actuellement autour de 120 dollars.
En termes de fondamentaux, les stocks sont élevés, la demande est en baisse et l'offre est satisfaisante. Normalement, sans problèmes géopolitiques et la baisse du dollar, les prix du pétrole ne seraient pas à leur niveau actuel", a affirmé le ministre. "Les prix du pétrole sont élevés du fait de la récession aux Etats-Unis et la crise économique touchant plusieurs pays, qui influe sur la valeur du dollar", a-t-il souligné. "Si la situation américaine arrivait à se stabiliser d'ici la fin de l'année, cela aiderait à les cours à se stabiliser", a-t-il dit.
"Je ne pense pas qu'un augmentation de la production aiderait les prix à baisser puisqu'il y a un équilibre entre l'offre et la demande, que les stocks d'essence aux Etats-Unis enregistrent un excèdent et qu'ils sont à leur plus haut niveau depuis cinq ans", a-t-il ajouté". M. Khelil a réitéré son refus de convoquer une réunion extraordinaire de l'OPEP. "Les objectifs de l'OPEP, a-t-il dit, ne sont pas baisser ou augmenter les prix du pétrole, mais de répondre aux besoins du marché ".
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