Te voilà dans le sombre éclat de tes cités
Où toute ombre malsaine devient clarté
Où l'apparat du mensonge est vérité
Voilà ce qu'advient de toi humanité
Noyée dans ta grandeur, ta liberté
Dans tes bourgs aux couleurs du péril
Des voix que l'en entend sans ouie habile
Transcendant le sourd et l'immobile
Venant du fond du gouffre, de l'asile
Proies des âmes égarées bestiale et débiles
Valets du diable, impies vils et serviles
Voix de ceux oubliés de la populace
N’ayant accès aux places ni aux palaces
Criant la bêtise de leur race
Qui se prostitue sans retenue, en masse
Avec l'esprit rétrograde de ces rapaces
Qui se partagent les lambeaux de la cuirasse
Comme ces pleureuses a un sous de la mort
N'hésitant pas a chanter une fois dehors
Montrant leurs dessous avec transports
Montrant cette vieille envie qui les dévore
Pour plus de sous, des sous et encore
Que ne feraient-elles pas de ce corps ?
Quel monde, immonde, profane et fané
Pour un esprit sachant encore discerner
Entre l'esprit et les bas instincts innés
Entre la vie et la servitude bornée
Entre un peuple et une multitude bernée
Entre un monde et un cauchemar de damné
Veuillez messieurs dames me pardonner , pour ce pessimisme s'il vous parait acharné , je n'y peux rien car comme tous les miens condamné , a vivre l'oppression pour encore , un millénaire , un siècle ou des années
Où toute ombre malsaine devient clarté
Où l'apparat du mensonge est vérité
Voilà ce qu'advient de toi humanité
Noyée dans ta grandeur, ta liberté
Dans tes bourgs aux couleurs du péril
Des voix que l'en entend sans ouie habile
Transcendant le sourd et l'immobile
Venant du fond du gouffre, de l'asile
Proies des âmes égarées bestiale et débiles
Valets du diable, impies vils et serviles
Voix de ceux oubliés de la populace
N’ayant accès aux places ni aux palaces
Criant la bêtise de leur race
Qui se prostitue sans retenue, en masse
Avec l'esprit rétrograde de ces rapaces
Qui se partagent les lambeaux de la cuirasse
Comme ces pleureuses a un sous de la mort
N'hésitant pas a chanter une fois dehors
Montrant leurs dessous avec transports
Montrant cette vieille envie qui les dévore
Pour plus de sous, des sous et encore
Que ne feraient-elles pas de ce corps ?
Quel monde, immonde, profane et fané
Pour un esprit sachant encore discerner
Entre l'esprit et les bas instincts innés
Entre la vie et la servitude bornée
Entre un peuple et une multitude bernée
Entre un monde et un cauchemar de damné
Veuillez messieurs dames me pardonner , pour ce pessimisme s'il vous parait acharné , je n'y peux rien car comme tous les miens condamné , a vivre l'oppression pour encore , un millénaire , un siècle ou des années
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