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Le 3e Salon international de l'industrie du plastique et du caoutchouc Expoplast a ouvert ses portes, hier, au Palais des expositions (Alger) avec la participation de 60 exposants nationaux et étrangers. Le salon, qui se déroulera jusqu’au 7 mai, est ouvert à la participation des industriels du secteur du plastique et du caoutchouc, notamment les producteurs de matières premières, les fabricants de machines et équipements, de produits semi-finis et finis et les entreprises de services liés à cette filières, ont indiqué les organisateurs de ce salon dans un point de presse.
Il constitue, ont-ils estimé, un carrefour d’échange et un espace pour les différentes offres de partenariat, mais aussi une occasion de faire connaître les nouvelles technologies dans le secteur de la plasturgie. Ils ont ainsi insisté sur l’importance de “nouer des partenariats” avec les étrangers pour asseoir une industrie de plastique et de caoutchouc capable de répondre aux besoins nationaux tant cette matière fait partie du quotidien des citoyens à travers ses applications multiples (habillement, alimentation, transports, habitat...).
Dans ce sens, ils ont plaidé pour des assises sur l’industrie du plastique en relevant que cette 3e édition constitue un prélude pour “jeter une véritable base” dans ce créneau. Le secteur de la plasturgie présente des “perspectives prometteuses” en Algérie car les matières premières et le savoir-faire algérien dans la transformation du plastique existent, ont-ils soutenu. De son côté, le représentant du ministère de la PME, M. Brahiti, a appelé les entreprises nationales à se lancer dans la production de moules et matrices, conditions indispensables pour la mise en place d’une véritable industrie de plasturgie.
Selon les données fournies par les organisateurs, la consommation des plastiques en Algérie est de l’ordre de 1 million de tonnes/an dont la moitié est transformée localement alors que le reste (produits finis) est importée, notamment d’Asie et d’Europe. Quant à la production nationale, elle est estimée à 250 000 tonnes de plastique par an. Dans son plan de développement en partenariat avec les grands producteurs des matières plastiques, Sonatrach a inscrit des projets de 8 milliards de dollars pour la production des différents types de plastiques, ont-ils précisé.
source : Liberté
Il constitue, ont-ils estimé, un carrefour d’échange et un espace pour les différentes offres de partenariat, mais aussi une occasion de faire connaître les nouvelles technologies dans le secteur de la plasturgie. Ils ont ainsi insisté sur l’importance de “nouer des partenariats” avec les étrangers pour asseoir une industrie de plastique et de caoutchouc capable de répondre aux besoins nationaux tant cette matière fait partie du quotidien des citoyens à travers ses applications multiples (habillement, alimentation, transports, habitat...).
Dans ce sens, ils ont plaidé pour des assises sur l’industrie du plastique en relevant que cette 3e édition constitue un prélude pour “jeter une véritable base” dans ce créneau. Le secteur de la plasturgie présente des “perspectives prometteuses” en Algérie car les matières premières et le savoir-faire algérien dans la transformation du plastique existent, ont-ils soutenu. De son côté, le représentant du ministère de la PME, M. Brahiti, a appelé les entreprises nationales à se lancer dans la production de moules et matrices, conditions indispensables pour la mise en place d’une véritable industrie de plasturgie.
Selon les données fournies par les organisateurs, la consommation des plastiques en Algérie est de l’ordre de 1 million de tonnes/an dont la moitié est transformée localement alors que le reste (produits finis) est importée, notamment d’Asie et d’Europe. Quant à la production nationale, elle est estimée à 250 000 tonnes de plastique par an. Dans son plan de développement en partenariat avec les grands producteurs des matières plastiques, Sonatrach a inscrit des projets de 8 milliards de dollars pour la production des différents types de plastiques, ont-ils précisé.
source : Liberté
Quand on sait que des matières comme le polycarbonate ou certain polyamides vallent ...11 euro le Kg (pour les moins chers) on se demande pourquoi l'algerie a pris tant de retard... je parle meme pas des colorants plastique qui eux vallent autour de 30 euro le Kg (les moins chers encore base de polyéthylène)
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