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Ballade sur l'océan

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  • Ballade sur l'océan

    Nous avons pourtant traversé,
    Contre vents et marées,
    Le détroit des destinés
    Pour jeter l'ancre sur les îles vierges.

    A l'approche des îles Caïman,
    Au milieu de cet océan,
    Le reptile est un ouragan,
    Ses tourbillons notre sortilège.

    Je me reveille dans une galère
    Où l'âme n'a de propriétaire.
    Seul mon coeur à la dérive
    Nage vers toi en bord de rive.

    Nos reflets s'embrassent avec magie
    Dans l'eau trouble de nos envies,
    Car dans l'eau claire de nos deux vies,
    Une frontière nous l'interdit!
    Dernière modification par moms, 14 juillet 2005, 03h17.
    Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

  • #2
    Vraiment magnifique moms j'ai vraiment aimer ton poème ...
    Un amour impossible c'est vraiment dommage ça!!!

    Merci...bonne continuation

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    • #3
      Nos reflets s'embrassent avec magie
      Dans l'eau trouble de nos envies,
      Car dans l'eau claire de nos deux vies,
      Une frontière nous l'interdit!
      Bravo moms
      Au moins dans tes rêves c'est permi
      Loin des frontières et des interdits
      Page blanche

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      • #4
        Merci à vous pour vous embarquer dans mes voyages...
        Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

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        • #5
          A la dérive?

          Et si les vagues de la raison
          Déchaînait les passions:
          Une aumône de l'esprit
          Pour un coeur affranchit.

          Et si la houle de la sagesse
          Libérait la démence:
          Une aumône du bon sens
          Pour une âme en détresse.

          Seul sur cette embarcation,
          Contemplant l'horizon,
          Je vogue à destination
          Du jardin de la guérison.
          Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

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          • #6
            Bonjour,

            Merci Mom pour ces belles paroles pleines de sagesses et de bon sens.
            Bonne continuation.

            Thirga,

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            • #7
              Le Gour de Tazenat !

              Slt !

              Merci, Moms pour cette agréable ballade !
              Nos amitiés à toutes les villes et villages
              que tu visiteras ! Setif, Jijel et Béjaia...
              Merci, pour cet amour impossible car
              parfois la raison submerge la passion
              et la modère...Sinon, nous serions à l'mage des animaux !
              Nos pulsations doivent être régulées...
              Tu trouveras sûrement ton " ïle de la guérison ! "

              Allez, bonnes vacances ! Et, profite bien du soleil !


              A+

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              • #8
                Bonsoir à tous, bonsoir moms,

                Je tiens simplement à te féliciter pour tes jolis poémes,j'ai beaucoup appréciée le premier.
                Bonne continuation.
                à bientôt

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                • #9
                  Merci à vous!

                  P.S.: ces mots que je vous livrent évoquent simplement une époque qui m'a tellement apporté que la retranscrire en vers dans la rue des petites perles me paraissait nécessaire. J'ai trouvé cette île où il fait bon vivre et j'espère pouvoir vous la décrire bientôt
                  Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

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                  • #10
                    Belle ballade

                    On attend bien la description de cette île de la guérison, et surtout le chemin que tu as pris pour y arriver …
                    J’ai toujours pensé que plus un amour est interdit, plus on s’entête à aller au bout de notre fièvre, et on a du mal à abandonner et oublier ce qui n’a pas pu se faire parce qu’on l’imagine si parfait … même si ça aurait été très loin de la perfection si ça s’était accompli …

                    Salut
                    ‘’Le poète est celui qui inspire, bien plus que celui qui est inspiré’’ Paul Eluard.

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                    • #11
                      Grâce au souffle divin

                      D'un sentiment soudain
                      Naquit ce long chagrin:
                      Ce marin, pris de cessité
                      Au milieu de l'immensité.

                      Un appel au lointain
                      Le guidait avec soin.
                      Cette voix n'était pas loin,
                      Elle était en son sein.

                      Car dans son fort intérieur,
                      Dans les abysses de son coeur,
                      Cet organe de détresse
                      Répond à chaque S.O.S.

                      Sa capacité à remédier,
                      De la futilité à la fatalité,
                      Lui vaut bien ce surnom:
                      L'île de la guérison.
                      Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

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                      • #12
                        La Carte Au Tresor

                        J'ai dirigé mon bâteau
                        Sur les flots de ses mots:
                        Sa poésie m'émerveille,
                        Son évidence n'a de pareille.

                        Sa générosité déborde,
                        Son encre ne peut s'assècher.
                        Sans jamais nous noyer
                        Car son ancre impose la concorde.

                        Sa romance est à chacun
                        Un présent du destin
                        Car du soir au matin
                        Il offre un nouveau refrain.
                        Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

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                        • #13
                          Pour répondre à ton poème initial
                          Ne vas pas à la dérive,
                          Laisses filer ta sirène qui
                          semble être comme un fruit défendu dans cette mer aux eaux troubles
                          et qui soudain peut-être dangereuse par ses tourbillons qui t'engloutiront
                          Déchirant ce poème maritime.

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                          • #14
                            Merci Mancelle,
                            ces vers sont aussi éphémères que nos vies, ils sont simplement le fruit d'une période forte de ma vie durant laquelle j'ai beaucoup appris et la décrire en la partageant avec vous d'une manière anonyme me fait d'autant plus plaisir si cela vous plaît. Certes le poème est déchirant mais ne t'inquiète pas, le matelot recoud toujours ses filets après un long séjour de pêche au large
                            Méditerranéen, terrien et j'ai rien!

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                            • #15
                              Bien inspiré!

                              L´Ocean des inspirations
                              Que tu peux aussi l´appeller !

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