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chute libre des prix de la viande de mouton
Jusqu'à 280 DA dans certaines régions.
Dans l'histoire de l'Algérie indépendante, les viandes rouges ont rarement affiché des prix aussi bas. Les dernières semaines, les prix ont sensiblement chuté se mettant réellement à la portée des modestes bourses.
L'agneau revient à 400 dinars dans différentes régions du pays et concurrence ainsi les viandes blanches et le poisson. Dans le quartier de Souika à Constantine, le record est battu avec 280 dinars le kilogramme chez les boucheries agréées. Les bouchers et les maquignons justifient la baisse des prix par la grande disponibilité du bétail cette année, en plus de la saison chaude qui pointe du nez avant l'heure, menaçant les pâturages de sécheresse. Selon eux, la lutte contre les contrebandiers dans ce domaine et la fin des célébrations religieuses fait que l'offre dépasse la demande et cette équation fait casser les prix. Il est clair alors, selon les dires des maquignons, que cette baisse n'est que temporaire, et que les mercuriales reprendront leur escalade à l'approche du mois de Ramadhan.
En attendant, le citoyen ne se prive pas, il devrait profiter davantage de la baisse supplémentaire des prix prévue durant la deuxième quinzaine du mois de mai. Mais si la lutte contre la contrebande du bétail se poursuit, les prix ne devraient pas atteindre le plafond de 1000 dinars, coutumier durant le mois du jeûne. La majorité des algériens se sont habitués à se passer de viande, excepté durant les fêtes religieuses ou quelques occasions particulières, en raison des politiques suivies et qui ont laissé le pays hors du tableau mondial des pays producteurs de viandes.
La Chine est classée première en la matière, elle est suivie des États-Unis, puis le Brésil. Vient ensuite la France avec 7 millions de tonnes annuellement. L'Italie est en 10ème position de ce classement et même l'Égypte se fraye une place avec une production de 1,5 tonnes par an. Le citoyen algérien lui, consomme que 7 kilogrammes de viandes en moyenne, contre 100 kilogrammes pour les citoyens des pays de la rive nord de la méditerranée.
Source : achourouq
Jusqu'à 280 DA dans certaines régions.
Dans l'histoire de l'Algérie indépendante, les viandes rouges ont rarement affiché des prix aussi bas. Les dernières semaines, les prix ont sensiblement chuté se mettant réellement à la portée des modestes bourses.
L'agneau revient à 400 dinars dans différentes régions du pays et concurrence ainsi les viandes blanches et le poisson. Dans le quartier de Souika à Constantine, le record est battu avec 280 dinars le kilogramme chez les boucheries agréées. Les bouchers et les maquignons justifient la baisse des prix par la grande disponibilité du bétail cette année, en plus de la saison chaude qui pointe du nez avant l'heure, menaçant les pâturages de sécheresse. Selon eux, la lutte contre les contrebandiers dans ce domaine et la fin des célébrations religieuses fait que l'offre dépasse la demande et cette équation fait casser les prix. Il est clair alors, selon les dires des maquignons, que cette baisse n'est que temporaire, et que les mercuriales reprendront leur escalade à l'approche du mois de Ramadhan.
En attendant, le citoyen ne se prive pas, il devrait profiter davantage de la baisse supplémentaire des prix prévue durant la deuxième quinzaine du mois de mai. Mais si la lutte contre la contrebande du bétail se poursuit, les prix ne devraient pas atteindre le plafond de 1000 dinars, coutumier durant le mois du jeûne. La majorité des algériens se sont habitués à se passer de viande, excepté durant les fêtes religieuses ou quelques occasions particulières, en raison des politiques suivies et qui ont laissé le pays hors du tableau mondial des pays producteurs de viandes.
La Chine est classée première en la matière, elle est suivie des États-Unis, puis le Brésil. Vient ensuite la France avec 7 millions de tonnes annuellement. L'Italie est en 10ème position de ce classement et même l'Égypte se fraye une place avec une production de 1,5 tonnes par an. Le citoyen algérien lui, consomme que 7 kilogrammes de viandes en moyenne, contre 100 kilogrammes pour les citoyens des pays de la rive nord de la méditerranée.
Source : achourouq
Les prix baissent et c'est tant mieux ça fait plus de viande 
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