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L'union des journalistes Sahraouis denonce le maroc de violé la libérté d'expression.

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  • L'union des journalistes Sahraouis denonce le maroc de violé la libérté d'expression.

    L’Union des journalistes sahraouis dénonce
    Le Maroc viole les libertés d’expression
    [IMG]http://www.lejourd***********/Editions/060508/une/Lejour3.jpg[/IMG]Une lettre ouverte dénonçant «les violations marocaines des libertés et des droits socioéconomiques et politiques du peuple sahraoui», a été adressée avant-hier, par l’Union des journalistes et écrivains sahraouis (UJES) à la communauté internationale, ainsi qu’aux organisations de défense des droits de l’homme.
    Diffusé à partir de Londres, à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le message de l’UJES rappelle, a cité l’ASP, aux «Nations unies et le Conseil de sécurité en particulier que le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance est un droit inaliénable et que seul le peuple sahraoui a l’autorité d’exercer ce droit qu’il fera donc valoir par tous les moyens légaux et rejettera toutes les tentatives visant à le met-tre en péril sous quelque prétexte que ce soit». D’un côté, la let-tre ouverte ajoute que «la liberté d’expression et l’ensemble des libertés politiques sont violées quotidiennement depuis plus de 33 ans par l’Etat marocain dans les régions occupées du Sahara occidental, en l’absence d’une quelconque condamnation de la part des organes de l’ONU». Par la même occasion, les journalistes et les intellectuels sahraouis ont tenu à signaler à travers leur lettre ouverte, «les nombreuses souffrances et obstacles», dont ils sont victimes «en raison des contraintes de l’occupation et de l’exil qui les empêchent de mener à bien leurs missions d’information». Cela en accusant le régime colonial marocain «d’œuvrer depuis son invasion du territoire du Sahara occidental en 1975, à la liquidation des jeunes compétences et des intellectuels sahraouis victimes de menaces et de restrictions, outre l’enlèvement de dizaines d’intellectuels et de militants ayant subi toutes formes de tortures et de disparitions forcées, en violation flagrante des libertés, droits et législations internationales». Ils ajouteront encore, que les forces d’occupation ont imposé depuis le début, «un black-out médiatique abject dans la région, empêchant l’accès du citoyen sahraoui à l’information à travers les médias audiovisuels». Cela en «en parasitant la radio de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) qui demeure jusqu’à ce jour interdite dans les villes sahraouies occupées ou en interdisant l’édition de journaux ou de revues sahraouis opposés à l’occupation marocaine, voire en interdisant aux intellectuels sahraouis d’éditer leurs ouvrages par tous les moyens, ce qui explique la faiblesse de la production intellectuelle en dépit du nombre important d’auteurs, de poètes et de penseurs au Sahara occidental». La lettre de l’UJES, met aussi à nu, le fait que «les journalistes sahraouis dans les régions occupées qui ont réussi à se procurer des emplois souffrent de multiples formes de restriction et de menaces et plus souvent de l’emprisonnement et de la torture». L’Union précise par ailleurs que dans les camps des réfugiés sahraouis, «des dizaines de journalistes sahraouis travaillent dans des conditions difficiles, du fait du manque de ressources, des conditions climatiques hostiles et autres difficultés d’exercice de la profession et le besoin pressant à la formation et aux moyens matériels nécessaires au développement de l’information nationale sahraouie».
    Par Habiba

  • #2
    en tout cas ,l'union des journaliste doit dénoncer le massacre de la langue francaise avec des titres mal orthographiés
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      Le jourd'***********

      Sans commentaire!

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