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Tahar Mohamed Al Anouar
Le monde change et nous changeons avec. Cette proclamation de foi du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, donne sa mesure à une diplomatie qui, tout en demeurant adossée à des valeurs sûres, adapte sa stratégie et son action aux réalités du monde d’aujourd’hui. Cela est encore plus évident dans un monde troublé, en proie à des incertitudes sur les plans politique, économique et encore plus sécuritaire. La démonstration est faite à présent qu’un pays ne peut s’en sortir seul pour régler des problèmes qui ont pris une dimension élargie à de vastes horizons, notamment sur le plan sécuritaire.
L’Algérie a pleinement conscience des enjeux, son intégration à des ensembles régionaux, interrégionaux et internationaux répond bien à des préoccupations qui ont pour noms le développement, la préservation de la paix et de la sécurité dans le monde, la défense des principes de liberté et de démocratie. L’Union européenne, à travers la signature de l’accord d’association, a constitué une étape importante dans le sens de l’intégration. Certains ont pu penser que le rapport de forces ne pouvait, en l’état actuel des choses, être favorable à notre pays. Ceux plus réalistes, mettent en avant les gains qu’un tel accord peut susciter, en offrant à l’Algérie la possibilité d’intervenir, à travers ses entreprises notamment, sur des marchés extrêmement porteurs. Ces entreprises doivent faire le bond qualitatif, cependant et les choses évoluent lentement à ce sujet, mais avec une claire perception de ce qui nous attend et de ce qu’il convient de faire pour atteindre les objectifs énoncés. L’association au travers d’un accord avec une organisation de la dimension de l’OTAN, répond, elle, à une problématique aux contours désormais universels, qui est celle de fédérer toutes les énergies pour épargner le monde de la terrible menace que constitue aujourd’hui le terrorisme. La lutte antiterroriste constitue l’ensemble de l’arsenal et des dispositifs que mettent les nations en position d’assurer la défense de l’ensemble. L’Algérie est partie prenante dans ce dispositif. Elle y joue un rôle majeur que reconnaissent les stratèges de l’Alliance et les responsables des pays avec lesquels notre pays entretient d’étroites relations dans des domaines stratégiques et singulièrement sécuritaire.
Le partenariat qui lie Alger à l’Alliance entre dans le cadre, très vaste, de celui qui implique les pays du Bassin méditerranéen. Les stratèges de l’Alliance accordent à l’Algérie un rôle pivot dans la région et ont décidé d’intensifier la coopération avec Alger. Cette coopération s’est élargie au fil des années à de nombreux secteurs, sécuritaire bien sûr, mais aussi formation, manœuvres militaires communes, défense de l’environnement, recherche. Il y a des échanges importants en matière du renseignement, de l’information, du blanchiment d’argent, du crime organisé d’une façon plus générale. Le secrétaire général de l’Alliance, M. Scheffer relevait un jour en évoquant le partenariat Algérie-OTAN, que l’Algérie bien que venue plus tard que les autres pays, dans le partenariat avec l’Alliance, fait preuve d’un très grand dynamisme et s’avère être le pays le plus entreprenant. Ce jugement correspond bien à la volonté manifestée par les autorités politiques de donner au partenariat avec l’Alliance un caractère stratégique, ce qui est aussi le vœu de Bruxelles, maintes fois réaffirmé pour la circonstance.
Il s’agit de relations apaisées, fondées sur un intérêt commun, qui respectent les intérêts des uns et des autres. Notre pays s’est déjà projeté dans l’avenir avec la certitude qu’il ne peut assurer la conduite de ce qu’il entreprend qu’au travers d’un partenariat actif, sensible au respect des intérêts des uns et des autres.
Sous la conduite du Président de la République, la diplomatie de l’Algérie s’est imprégnée d’un réalisme qui l’installe dans son temps et qui préserve dans le même temps son libre arbitre.
L’Algérie a inscrit son action en matière de partenariat dans une perspective de dialogue et de concertation, de consultation aussi.
Elle a toujours affiché une disponibilité très grande chaque fois que son intervention était souhaitée ou requise pour le règlement de litiges ou de conflits ou plus encore pour rechercher ensemble des solutions à des problèmes qui se posent à nos pays.
L’Algérie a souvent été louée pour sa clairvoyance dans la prise de décisions, son esprit constructif. Alger est aujourd’hui un pôle où convergent spécialistes, décideurs à la recherche d’avis autorisés et de jugements qui tirent leur pertinence de l’expérience acquise au contact des rudes épreuves traversées par notre pays.
Le monde change et nous changeons avec. Cette proclamation de foi du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, donne sa mesure à une diplomatie qui, tout en demeurant adossée à des valeurs sûres, adapte sa stratégie et son action aux réalités du monde d’aujourd’hui. Cela est encore plus évident dans un monde troublé, en proie à des incertitudes sur les plans politique, économique et encore plus sécuritaire. La démonstration est faite à présent qu’un pays ne peut s’en sortir seul pour régler des problèmes qui ont pris une dimension élargie à de vastes horizons, notamment sur le plan sécuritaire.
L’Algérie a pleinement conscience des enjeux, son intégration à des ensembles régionaux, interrégionaux et internationaux répond bien à des préoccupations qui ont pour noms le développement, la préservation de la paix et de la sécurité dans le monde, la défense des principes de liberté et de démocratie. L’Union européenne, à travers la signature de l’accord d’association, a constitué une étape importante dans le sens de l’intégration. Certains ont pu penser que le rapport de forces ne pouvait, en l’état actuel des choses, être favorable à notre pays. Ceux plus réalistes, mettent en avant les gains qu’un tel accord peut susciter, en offrant à l’Algérie la possibilité d’intervenir, à travers ses entreprises notamment, sur des marchés extrêmement porteurs. Ces entreprises doivent faire le bond qualitatif, cependant et les choses évoluent lentement à ce sujet, mais avec une claire perception de ce qui nous attend et de ce qu’il convient de faire pour atteindre les objectifs énoncés. L’association au travers d’un accord avec une organisation de la dimension de l’OTAN, répond, elle, à une problématique aux contours désormais universels, qui est celle de fédérer toutes les énergies pour épargner le monde de la terrible menace que constitue aujourd’hui le terrorisme. La lutte antiterroriste constitue l’ensemble de l’arsenal et des dispositifs que mettent les nations en position d’assurer la défense de l’ensemble. L’Algérie est partie prenante dans ce dispositif. Elle y joue un rôle majeur que reconnaissent les stratèges de l’Alliance et les responsables des pays avec lesquels notre pays entretient d’étroites relations dans des domaines stratégiques et singulièrement sécuritaire.
Le partenariat qui lie Alger à l’Alliance entre dans le cadre, très vaste, de celui qui implique les pays du Bassin méditerranéen. Les stratèges de l’Alliance accordent à l’Algérie un rôle pivot dans la région et ont décidé d’intensifier la coopération avec Alger. Cette coopération s’est élargie au fil des années à de nombreux secteurs, sécuritaire bien sûr, mais aussi formation, manœuvres militaires communes, défense de l’environnement, recherche. Il y a des échanges importants en matière du renseignement, de l’information, du blanchiment d’argent, du crime organisé d’une façon plus générale. Le secrétaire général de l’Alliance, M. Scheffer relevait un jour en évoquant le partenariat Algérie-OTAN, que l’Algérie bien que venue plus tard que les autres pays, dans le partenariat avec l’Alliance, fait preuve d’un très grand dynamisme et s’avère être le pays le plus entreprenant. Ce jugement correspond bien à la volonté manifestée par les autorités politiques de donner au partenariat avec l’Alliance un caractère stratégique, ce qui est aussi le vœu de Bruxelles, maintes fois réaffirmé pour la circonstance.
Il s’agit de relations apaisées, fondées sur un intérêt commun, qui respectent les intérêts des uns et des autres. Notre pays s’est déjà projeté dans l’avenir avec la certitude qu’il ne peut assurer la conduite de ce qu’il entreprend qu’au travers d’un partenariat actif, sensible au respect des intérêts des uns et des autres.
Sous la conduite du Président de la République, la diplomatie de l’Algérie s’est imprégnée d’un réalisme qui l’installe dans son temps et qui préserve dans le même temps son libre arbitre.
L’Algérie a inscrit son action en matière de partenariat dans une perspective de dialogue et de concertation, de consultation aussi.
Elle a toujours affiché une disponibilité très grande chaque fois que son intervention était souhaitée ou requise pour le règlement de litiges ou de conflits ou plus encore pour rechercher ensemble des solutions à des problèmes qui se posent à nos pays.
L’Algérie a souvent été louée pour sa clairvoyance dans la prise de décisions, son esprit constructif. Alger est aujourd’hui un pôle où convergent spécialistes, décideurs à la recherche d’avis autorisés et de jugements qui tirent leur pertinence de l’expérience acquise au contact des rudes épreuves traversées par notre pays.