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    Etats-Unis: Obama large vainqueur en Caroline du Nord, Clinton gagne de justesse l'Indiana
    Il y a 8 heures

    RALEIGH (AFP) — Barack Obama a effectué un grand pas mardi en vue de l'investiture démocrate pour la présidentielle américaine en remportant largement la primaire de Caroline du Nord et en talonnant sa rivale Hillary Clinton dans l'Indiana.

    Le sénateur de l'Illinois a obtenu une victoire sans appel (56% contre 42%) en Caroline du Nord tandis que Mme Clinton a gagné la primaire de l'Indiana avec quelque 22.000 voix d'avance sur son rival (51% contre 49%).

    Les plus récents sondages donnaient une avance de cinq points à Mme Clinton dans l'Indiana et, forte du soutien du gouverneur de Caroline du Nord, la sénatrice de l'Etat de New York avait laissé entendre qu'elle pouvait aussi remporter cet Etat où elle a mené une campagne acharnée.

    Rien n'est encore joué pour l'investiture démocrate mais, selon les premiers commentaires des médias américains, M. Obama a conforté son statut de favori en remportant le dernier grand Etat en jeu. 115 délégués, attribués à la proportionnelle, étaient en jeu en Caroline du Nord. Il y en avait 72 dans l'Indiana et, vu le résultat serré de la primaire, ils devraient se partager entre M. Obama et Mme Clinton.

    Barack Obama a ainsi renforcé son avance sur Hillary Clinton en termes de nombre de délégués, chargés de désigner officiellement un candidat à la convention nationale démocrate fin août à Denver (Colorado, ouest).

    A 05h30 GMT, le site indépendant RealClearPolitics annonçait 1.809 délégués pour M. Obama et 1.665 pour Mme Clinton. Il faut 2.025 délégués pour obtenir l'investiture.

    Il reste seulement six scrutins d'ici le 3 juin dont une primaire prévue mardi en Virginie occidentale (est). Ces consultations à venir ne permettront d'attribuer qu'une poignée de délégués. Mme Clinton est favorite dans trois Etats dont la Virginie occidentale et M. Obama dans trois autres.

    M. Obama a lancé un appel à l'unité du parti devant ses partisans en liesse rassemblés à Raleigh (Caroline du Nord, sud-est).

    "Oui, des deux côtés, certains se sont sentis blessés, oui, chaque camp veut désespérément la victoire de son candidat", a-t-il dit, avant de lancer un appel à l'unité des démocrates "parce que nous sommes tous d'accord (...) qu'on ne peut pas se permettre de donner (au républicain) John McCain la chance de remplir le troisième mandat de la présidence Bush".

    M. Obama a rendu hommage à Mme Clinton, anticipant sa victoire dans l'Indiana. Il s'est félicité de sa propre victoire en Caroline du Nord avec une marge considérable: il aurait remporté 91% du vote noir, mais aussi 36% du vote blanc. Il est crédité d'environ 232.000 voix d'avance sur sa rivale.

    "Ce soir nous sommes revenus sur le devant de la scène. Nous avons brisé les entraves. C'est en avant toute vers la Maison Blanche", a dit Mme Clinton à ses partisans rassemblés à Indianapolis (Indiana).

    La sénatrice de New York a confirmé qu'elle irait jusqu'au bout du processus de sélection du candidat démocrate et assuré qu'elle se battrait pour que soient pris en compte les résultats de Floride et du Michigan, deux Etats qu'elle a remportés, mais dont les résultats ont été invalidés par la direction du parti démocrate.

    Les équipes de Mme Clinton et de M. Obama devraient s'appuyer sur les résultats de mardi pour tenter d'attirer à leur cause près de 270 élus et cadres du parti encore indécis, les "super délégués" habilités de droit à se prononcer sur le choix d'un candidat à Denver.

    Ces jours derniers, la question de la suppression de la taxe fédérale sur l'essence, proposée par Mme Clinton, avait dominé une campagne où l'économie était en tête des préoccupations des électeurs.

    En Indiana, Mme Clinton inspire plus confiance que M. Obama pour gérer l'économie (50% contre 46%), mais c'est l'inverse en Caroline du Nord (52% Obama, 42% Clinton).

  • #2
    et dans l indiana il ya eu surement de la triche
    elle devrait aller surveiller les frequentations de son mari
    et laisser le debat s installer entre obama et l autre senile d alzeimer

    en plus elle a l audace de dire vouloir mettre en piece l opep pauvre becassine
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      oui de toute facon l un comme l autre
      les palestiniens en baveront toujours

      mais avec obama le reve est toujours permis
      je veux dire le reve americain
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        Hillary Clinton perd le soutien d'un vétéran du Parti démocrate
        Reuters

        L'ancien sénateur démocrate George McGovern, un ancien du parti, a renoncé mercredi à soutenir Hillary Clinton pour donner son appui à Barack Obama, estimant que ce dernier apparaissait certain de remporter l'investiture du parti en vue de la présidentielle de novembre.

        McGovern, 85 ans, a dit avoir informé par téléphone l'ancien président Bill Clinton, l'époux d'Hillary, de sa décision surprise, et que ce dernier n'avait pas tenté de lui faire changer d'avis.

        "Il voulait juste que je sache qu'à son avis Hillary a mené une superbe campagne et qu'il lui reviendra de décider quand elle arrêtera. Je ne l'ai pas contredit", a dit McGovern.

        Obama a fait un pas mardi en direction de l'investiture en battant sa rivale en Caroline du Nord. Il n'a perdu que d'une courte marge dans l'Indiana.

        McGovern, un ancien sénateur du Dakota du Sud qui s'était présenté sans succès à l'élection présidentielle en 1972 a déclaré à Reuters par téléphone, à son domicile dans le Dakota du Sud: "Il est temps pour nous de nous unir et de nous préparer pour la campagne de cet automne."

        Obama n'ayant plus besoin que de 200 délégués pour sortir gagnant du processus des primaires, "les chiffres semblent de son côté".

        "Barack Obama a mené une campagne très efficace. C'est un homme d'une compétence et d'un talent inhabituels. Franchement je ne le connaissais pas quand j'ai apporté mon soutien à Hillary, en octobre dernier", a-t-il dit.

        Thomas Ferraro, version française Natacha Crnjanski

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        • #5
          L'investiture à portée de main pour Obama
          La Tribune

          Barack Obama se rapproche de l'investiture du Parti démocrate. Sa victoire écrasante en Caroline du Nord et sa courte défaite dans l'Indiana ont encore affaibli Hillary Clinton et son camp accentue la pression sur les super-délégués pour qu'ils tranchent en sa faveur ce duel farouche et historique pour la Maison Blanche.

          "Ce soir nous sommes à moins de 200 délégués de l'investiture du parti démocrate pour la candidature à la présidence des Etats-Unis", a lancé mardi soir le jeune sénateur de l'Illinois, qui à 46 ans, veut devenir le premier président noir de l'histoire du pays. Il s'est même offert un jour de congé après ses résultats qui "dégagent le chemin vers la Maison Blanche".

          Mardi soir, Barack Obama a remporté au moins 94 délégués dans les deux Etats combinés et Hillary Clinton au moins 75, 18 délégués devant encore être répartis entre les deux candidats. Au total, Barack Obama compte 1.840,5 délégués contre 1.684 pour Hillary Clinton. Il faut 2.025 délégués pour être sûrs d'emporter l'investiture lors de la convention nationale du parti en août.

          Mais sachant qu'il ne reste plus que 217 délégués en jeu dans les six dernières primaires, il est mathématiquement quasiment impossible que l'un ou l'autre candidat remporte le nombre de délégués requis pour être sûr de gagner. Aucun ne pourra se passer du soutien des "super-délégués", ces dignitaires du parti qui peuvent voter pour le candidat de leur choix.

          Fort de ses nouveaux bons résultats, le camp Obama multiplie les appels du pieds en direction des quelque 270 super-délégués qui n'ont pas encore fait connaître leur choix. "On sent que le parti est impatient de régler cela et passer à autre chose", estimait David Axelrod, principal stratège de la campagne d'Obama. "Il ne fait pas de doute que la ligne d'arrivée est en vue."

          "Il est temps maintenant que les super-délégués commencent à clore cette procédure et annoncent leur préférence", a insisté le gouverneur de l'Arizona Janet Napolitano, lors d'une conférence de presse téléphonique organisée par la campagne d'Obama. Barack Obama a déjà empoché le soutien de quatre super-délégués supplémentaires mercredi.

          Hillary Clinton, qui semble avoir laissé passer sa dernière chance de l'emporter, refuse pourtant d'abandonner. Elle a redit mercredi à Shepherdstown, en Virginie occidentale, l'Etat de la prochaine primaire, qu'elle resterait en lice jusqu'à ce qu'un candidat soit choisi.

          L'ex-Première dame a néanmoins subi un coup dur symbolique mercredi, avec le revirement de l'ancien sénateur George McGovern, candidat à la présidence en 1972 et ami proche du couple Clinton, qui a appelé Hillary à se retirer de la course. La semaine dernière déjà, Joe Andrew, un super-délégué, avait changé de camp pour soutenir Obama.

          L'épouse de Bill Clinton a aussi dû lancer un nouvel appel aux dons à ses partisans, avant de prêter elle-même une nouvelle fois de l'argent à sa campagne, pour un total de 6,4 millions (4,12 millions d'euros) au cours du mois écoulé. Elle avait déjà prêté cinq millions de dollars au début de l'année.

          Face aux prouesses financières de Barack Obama, Hillary Clinton manque d'argent. Sa victoire en Pennsylvanie le 22 avril dernier lui avait permis de récolter 10 millions de dollars de dons sur Internet (6,44 millions d'euros). Mais cela ne suffit manifestement pas et sa campagne de récolte de fonds ne réussit pas à suivre les dépenses.

          Les démocrates pourraient ne pas sortir indemnes de cette longue et souvent âpre bataille pour l'investiture. La campagne a renforcé les divisions au sein du parti, selon les sondages réalisés à la sortie des urnes dans l'Indiana et la Caroline du Nord. Une grosse majorité des partisans de chaque candidat dit qu'elle ne sera pas satisfaite si c'est l'autre qui remporte l'investiture. Et un tiers des partisans de la sénatrice de New York dans ces deux Etats vont jusqu'à annoncer qu'ils voteraient pour le candidat républicain John McCain en novembre si c'est Obama qui porte les couleurs du parti de l'âne. AP

          sb/v/tl

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          • #6
            Et un tiers des partisans de la sénatrice de New York dans ces deux Etats vont jusqu'à annoncer qu'ils voteraient pour le candidat républicain John McCain en novembre si c'est Obama qui porte les couleurs du parti de l'âne
            Je ne comprend pas ces democrates !!! aller jusqu'à changer de camps et voter McCain si c'est Obama qui l'emporte!!! Why ??? Pathetique !

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            • #7
              Je ne comprend pas ces democrates !!! aller jusqu'à changer de camps et voter McCain si c'est Obama qui l'emporte!!! Why ??? Pathetique !
              Je crois que c'est dans l'intérêt d'Obama car ça les discrédite aux yeux de l'électorat démocrate.
              Ainsi va le monde

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              • #8
                le lobby juif est hostile a obama.il aura du mal a s'imposer face a mac cain s'il bat clinton

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