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Le pétrole dépasse 123 dollars le baril à New York et 122 à Londres

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  • Le pétrole dépasse 123 dollars le baril à New York et 122 à Londres

    Le pétrole dépasse 123 dollars le baril à New York et 122 à Londres


    Le baril de pétrole brut a dépassé pour la première fois les 123 dollars mercredi vers 17H10 GMT à New York, en dépit d'une forte reconstitution des stocks pétroliers aux Etats-Unis, premier consommateur mondial d'énergie.

    Imprimez Réagissez Classez Le baril de pétrole brut a dépassé pour la première fois les 123 dollars mercredi vers 17H10 GMT à New York, en dépit d'une forte reconstitution des stocks pétroliers aux Etats-Unis, premier consommateur mondial d'énergie.

    Le baril de pétrole Brent a dépassé pour la première fois les 122 dollars mercredi vers 17H20 GMT à Londres, en dépit d'une forte reconstitution des stocks pétroliers aux Etats-Unis, premier consommateur mondial d'énergie.

    Le baril de pétrole restait en hausse après un double record mercredi, de 122,81 dollars à New York et 121,47 dollars à Londres, malgré la hausse des réserves américaines d'or noir, les craintes persistantes sur l'offre incitant les fonds spéculatifs à acheter davantage.

    Vers 16H00 GMT, le Brent de la mer du Nord pour livraison en juin s'échangeait à 120,71 dollars, en hausse de 38 cents par rapport à la clôture de mardi soir sur l'InterContinentalExchange de Londres (ICE).

    A la même heure, le "light sweet crude" pour livraison en juin s'échangeait à 121,88 dollars, en hausse de 4 cents, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

    Depuis vendredi dernier, chaque jour apporte sa moisson de records pétroliers, la séance de mercredi n'ayant pas fait exception.

    "Nous avons encore des problèmes au Nigeria, l'Iran défie le monde avec son programme d'enrichissement nucléaire, et la demande reste très forte en provenance de l'Inde et la Chine", ajoute-t-il, citant un accord de fourniture de pétrole signé la veille entre la Chine et le Venezuela.

    Les craintes entourant l'offre au Nigeria restaient le principal facteur de soutien des cours.

    "Bien qu'Exxon Mobil ait retrouvé ses niveaux de production normaux au Nigeria (800.000 barils par jour), ce qui a un peu diminué les craintes sur l'offre, on a appris par ailleurs aujourd'hui (mercredi) que 164.000 barils par jour de la production de Shell manquaient toujours à l'appel dans ce même pays", relevaient ainsi les analystes de la banque Barclays Capital.

    "La poursuite des violences au Nigeria paraît inévitable, étant donné le manque de médiation entre les rebelles et le gouvernement", ajoutaient-ils.

    Ce contexte très haussier a appâté de nouveaux fonds d'investissement vers le marché du pétrole, selon des courtiers.

    "Au cours des derniers jours, on a pu observer une augmentation des positions spéculatives", observe ainsi Robert Montefusco, courtier chez Sucden.

    Les tensions géopolitiques liées à l'Iran, deuxième producteur au sein de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) et le quatrième exportateur mondial de brut, contribuent elles aussi à soutenir les prix. Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a déclaré dimanche que l'Iran poursuivrait son programme nucléaire malgré les menaces des grandes puissances.

    "On aurait pourtant pu croire que les prix allaient redescendre après les chiffres relativement baissiers des réserves américaines", s'est néanmoins étonné Robert Montefusco, de Sucden.

    Les réserves pétrolières américaines se sont de fait fortement reconstituées la semaine dernière, selon des chiffres annoncés mercredi le département américain à l'Energie (DoE): les stocks de brut ont augmenté de 5,7 millions de barils, lors de la semaine achevée le 2 mai, alors que les analystes tablaient sur une hausse bien moindre, de 1,63 million de barils.

    Les réserves d'essence ont elles aussi augmenté plus que les attentes, de 800.000 barils (contre 100.000 barils attendus). Seules les réserves de produits distillés (gazole et fioul de chauffage) ont accusé un recul inattendu: -100.000 barils, alors qu'elles étaient annoncées en hausse de 1,1 million de barils.



    rahmani
    tu veux jouer ou pas
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Solas! tu savais que le petrole algérien c'est le prix du brent+2 dollars ?
    ?

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    • #3
      je suis dans le metier mon cher
      et il faut qu on leve l ambiguite
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        Alors Solas, On est toujours sur la courbe que tu as annoncé il y a trois mois ??

        Commentaire


        • #5
          j ai mise pour le 15 mai a 125

          JE SUIS DANS LE COUP

          faut miser pour150 POURB SEPTEMBRE avec dieu ou sans dieu

          la courbe ne ment pas
          guerre ou pas guerre avec l iran

          ya plus depetrole

          mais vous avez le droit de dormir

          mais plus serieusement ma mise c 100$ au 31/12/08

          et c pas les ayoub and coneuneus qui me doneront des lecons d economie
          jawzia jette ton argent et te pose pas de question

          ca fait deux ans que je parie sur la hausse du petrole
          et quand tu sais que c une matiere perrissable
          no worry go ahead
          Dernière modification par nacer-eddine06, 08 mai 2008, 01h06.
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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