Il y’a de cela un peu plus d’un Mois , j’ai vu un film sur le génocide tutsi du Rwanda , qui a été tourné par quelques survivants de ce carnage . Toutes les scènes étaient des reconstitutions de faits réels . Des faits d’une horreur a vous faire douter de l’intelligence , de la dignité et de l’humanité même de notre race .
Une vraie vision d’apocalypse dont la haine de l’homme envers son prochain a été la bête tant redoutée . Certes si ces massacres étaient l’œuvre d’une bête , j’aurais compris ( non sans peine ) qu’elle agisse de la sorte . Mais de là a constater qu’elle peut surgir de l’éprit même de l’homme , j’en perd mes repères .
Au pays de la reine poussière
Dont le sang a tracé la lisière
Des peuples a l’esprit en jachère
Prennent le temps de jouer a la guerre
Puis , le temps d’une trêve éphémère
Rangent leurs armes en bandoulière
Pour retrouver leur paix de misère
Qui peine a se relever de sa civière
Car au pays de la reine poussière
On ne fait la pais que pour préparer l’enfer
Sur cette terre brûlée et dégarnie
Ou les droits et la dignité sont bannis
Ou la violence fait l’ornière bénie
Ouvrant grandes les portes a l’impuni
A cette lie d’entre les hommes honnis
Lesquels pour un semblant de grandeur ternie
Comme pour garder leur noblesse en vernis
La badigeonnent dans le sang de pauvres ethnies
Et cette gracieuse terre brûlée et dégarnie
Pleur encore la paix que ces monstres lui dénient
Sur cette terre ou la haine est une culture
Qu’irrigue le sang des hommes sans sépultures
Dans la brousse jetés en pâture
Aux charognards de toutes natures
Ainsi abreuvée de sang a la démesure
La haine engendre la bête et perdure
Comme une vision d’apocalypse futur
Qui range le trône de la paix a l’usure
Et sur cette terre ou la haine est une culture
Il n’y a que la bête qui panse les blessures .
A toutes les innocentes victimes des ces massacres que rien ne peut justifier , je dédies ce petit modeste poème . La vie d’un être humain est un fragment précieux du corps de l’humanité et rien ne peut justifier le fait qu’un homme en tue un autre rien que parce qu’il est plus fort que lui , ou qu’il se croit plus homme que lui .
Une vraie vision d’apocalypse dont la haine de l’homme envers son prochain a été la bête tant redoutée . Certes si ces massacres étaient l’œuvre d’une bête , j’aurais compris ( non sans peine ) qu’elle agisse de la sorte . Mais de là a constater qu’elle peut surgir de l’éprit même de l’homme , j’en perd mes repères .
Au pays de la reine poussière
Dont le sang a tracé la lisière
Des peuples a l’esprit en jachère
Prennent le temps de jouer a la guerre
Puis , le temps d’une trêve éphémère
Rangent leurs armes en bandoulière
Pour retrouver leur paix de misère
Qui peine a se relever de sa civière
Car au pays de la reine poussière
On ne fait la pais que pour préparer l’enfer
Sur cette terre brûlée et dégarnie
Ou les droits et la dignité sont bannis
Ou la violence fait l’ornière bénie
Ouvrant grandes les portes a l’impuni
A cette lie d’entre les hommes honnis
Lesquels pour un semblant de grandeur ternie
Comme pour garder leur noblesse en vernis
La badigeonnent dans le sang de pauvres ethnies
Et cette gracieuse terre brûlée et dégarnie
Pleur encore la paix que ces monstres lui dénient
Sur cette terre ou la haine est une culture
Qu’irrigue le sang des hommes sans sépultures
Dans la brousse jetés en pâture
Aux charognards de toutes natures
Ainsi abreuvée de sang a la démesure
La haine engendre la bête et perdure
Comme une vision d’apocalypse futur
Qui range le trône de la paix a l’usure
Et sur cette terre ou la haine est une culture
Il n’y a que la bête qui panse les blessures .
A toutes les innocentes victimes des ces massacres que rien ne peut justifier , je dédies ce petit modeste poème . La vie d’un être humain est un fragment précieux du corps de l’humanité et rien ne peut justifier le fait qu’un homme en tue un autre rien que parce qu’il est plus fort que lui , ou qu’il se croit plus homme que lui .
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