grace à Penthésilée, j'ai appris que 2, 2 millions de personnes occupaient un emploi public
en Algerie pour un total de pres de 8 millions de salaries
source : http://64.233.167.104/search?q=cache...i+publique+alg %C3
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2,2 su 8 millions ....c'est encore correct et vu les rentrées financieres grace à l'envolée
du gaz et du petrole , y a de la marge pour peut être faire un plan emploi public special limitation - prevention du phenomene Harraga
Ya une marge pour augmenter encore l'emploi public par le biais de contrats courts
4 ou 5 ans dans des secteurs ( securité, securité routiere, propreté urbaine)incluant
formation qualifiante pas forcement en rapport ( electricité batiments, controleur hygiene restauration hotel , maçon tres qualifié, specialiste traitements des eaux , aide soignante, infirmiere , adductions d'eaux..etc etc ). Les années 90 , années noires ont entrainé aussi
une forte descolarisation. Beaucoup de jeunes ne se sont formés à rien.( je l'ai vu )....et 10 ans sont passés.
les paies distribuées seront en grande partie recyclées dans l'economie de toutes façons
A titre d'exemple, le Danemark a un niveau d'emploi public et para public bien superieur à
l'Algerie .
Mon avis est peut être biaisé mais vu les problemes...... est ce que finalement l'Algerie ne
doit pas augmenter l'emploi public en attendant que plus de jeunes adultes soient formés
et que l'entreprise privé offre plus d'emplois
de tous les types ( commerciaux, comptables etc etc)??
( par exemple on dit qu'il y une inemployabilité de jeunes dans le gros BTP car ils sont pas formés..on devient pas electricien en bâtiment , plombier chauffagiste ou bon maçon en claquant des doigts )
Et vous qu'en pensez vous ?
http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=80086
en Algerie pour un total de pres de 8 millions de salaries
Le secteur public ne doit compter en effet guère plus que 2,2 millions de travailleurs au maximum (3 ),contre 5,8 dans le secteur privé.
En déduisant environ 1,6 millions de travailleurs dans l’agriculture(4), il resterait
4,2 millions de travailleurs dans le secteur privé non agricole.
Sur ces 4,2 millions un maximum de 1,6 millions serait assuré, statuts de salarié et
d’employeur ou d’indépendant confondus(5).
On aurait ainsi environ 2,6 millions de travailleurs hors agriculture non assurés.
Ce chiffre correspond à ce qu’on définit habituellement comme l’emploi informel.
Comparativement à 1996, où l’emploi informel pouvait être évalué à 1,8 millions de
personnes, il y a donc une augmentation relativement importante (800.000).
Mais simultanément, le secteur informel au sens cette fois ci d’entreprises non enregistrées n’aurait pas beaucoup augmenté. Il faut tenir compte en effet du fait que le secteur
privé formel sous déclare le nombre de ses employés.
Les différentes enquêtes menées à ce sujet, y compris celles de l’inspection du travail,
donnent un taux moyen de sous déclaration de 50% environ.
3 1,6 millions dans l’administration et 0,6 million dans les entreprises publiques.
4 Estimation de l’ONS pour 2004, généralement non couverts par la sécurité sociale
5 En supposant que les 2,2 millions de personnes travaillant dans le secteur public
sont assurées.
En déduisant environ 1,6 millions de travailleurs dans l’agriculture(4), il resterait
4,2 millions de travailleurs dans le secteur privé non agricole.
Sur ces 4,2 millions un maximum de 1,6 millions serait assuré, statuts de salarié et
d’employeur ou d’indépendant confondus(5).
On aurait ainsi environ 2,6 millions de travailleurs hors agriculture non assurés.
Ce chiffre correspond à ce qu’on définit habituellement comme l’emploi informel.
Comparativement à 1996, où l’emploi informel pouvait être évalué à 1,8 millions de
personnes, il y a donc une augmentation relativement importante (800.000).
Mais simultanément, le secteur informel au sens cette fois ci d’entreprises non enregistrées n’aurait pas beaucoup augmenté. Il faut tenir compte en effet du fait que le secteur
privé formel sous déclare le nombre de ses employés.
Les différentes enquêtes menées à ce sujet, y compris celles de l’inspection du travail,
donnent un taux moyen de sous déclaration de 50% environ.
3 1,6 millions dans l’administration et 0,6 million dans les entreprises publiques.
4 Estimation de l’ONS pour 2004, généralement non couverts par la sécurité sociale
5 En supposant que les 2,2 millions de personnes travaillant dans le secteur public
sont assurées.
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2,2 su 8 millions ....c'est encore correct et vu les rentrées financieres grace à l'envolée
du gaz et du petrole , y a de la marge pour peut être faire un plan emploi public special limitation - prevention du phenomene Harraga
Ya une marge pour augmenter encore l'emploi public par le biais de contrats courts
4 ou 5 ans dans des secteurs ( securité, securité routiere, propreté urbaine)incluant
formation qualifiante pas forcement en rapport ( electricité batiments, controleur hygiene restauration hotel , maçon tres qualifié, specialiste traitements des eaux , aide soignante, infirmiere , adductions d'eaux..etc etc ). Les années 90 , années noires ont entrainé aussi
une forte descolarisation. Beaucoup de jeunes ne se sont formés à rien.( je l'ai vu )....et 10 ans sont passés.
les paies distribuées seront en grande partie recyclées dans l'economie de toutes façons
A titre d'exemple, le Danemark a un niveau d'emploi public et para public bien superieur à
l'Algerie .
Mon avis est peut être biaisé mais vu les problemes...... est ce que finalement l'Algerie ne
doit pas augmenter l'emploi public en attendant que plus de jeunes adultes soient formés
et que l'entreprise privé offre plus d'emplois
de tous les types ( commerciaux, comptables etc etc)??
( par exemple on dit qu'il y une inemployabilité de jeunes dans le gros BTP car ils sont pas formés..on devient pas electricien en bâtiment , plombier chauffagiste ou bon maçon en claquant des doigts )
Et vous qu'en pensez vous ?
http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=80086
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