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Les régions militaires de l’Armée nationale populaire ont commencé à former au combat des brigades opérationnelles des douanes. La Direction générale de la sûreté nationale va également former les mêmes brigades aux techniques de lutte contre le trafic d’armes et d’explosifs, ainsi que ses matières de confection en environnement urbain. Quant à la gendarmerie, elle formera des brigades des douanes pour la lutte contre le trafic de drogues en s’aidant de chiens policiers.
La direction générale des douanes a commencé, dans le cadre du plan de modernisation du secteur, à tracer une stratégie de travail commune avec l’armée, le commandement de la gendarmerie et la Direction générale de la sûreté nationale, qui vise à actualiser les capacités des brigades de travail sur le terrain, après les dimensions dangereuses qu’ont pris les crimes de trafic d’armes, d’explosifs et de drogues au niveau des ports et des aéroports. Des réseaux de trafic sont passés à l’exécution d’attaques armées contre les brigades des douanes sur les frontières terrestres.
La stratégie comprend des plans de travail commun sur le terrain pour faire face au crime organisé, à sa tête le terrorisme et le trafic d’armes, d’explosifs et de drogues, et cela sous la direction des commandements des régions militaires de l’Armée nationale populaire, la police des frontières de la DGSN, et les groupes des garde-frontières sous le commandement de la gendarmerie.
Le rôle de l’armée se base, d’après ce qu’a appris El Khabar, sur l’augmentation des capacités de combat des douanes, dans la lutte contre les réseaux de trafic de drogues à travers les frontières terrestres.
Le siège du commandement de la Gendarmerie nationale a accueilli hier une rencontre qui a réuni des représentants des deux appareils pour signer un protocole d’accord dans le domaine de la lutte contre la criminalité transfrontalière.
El Khabar
La direction générale des douanes a commencé, dans le cadre du plan de modernisation du secteur, à tracer une stratégie de travail commune avec l’armée, le commandement de la gendarmerie et la Direction générale de la sûreté nationale, qui vise à actualiser les capacités des brigades de travail sur le terrain, après les dimensions dangereuses qu’ont pris les crimes de trafic d’armes, d’explosifs et de drogues au niveau des ports et des aéroports. Des réseaux de trafic sont passés à l’exécution d’attaques armées contre les brigades des douanes sur les frontières terrestres.
La stratégie comprend des plans de travail commun sur le terrain pour faire face au crime organisé, à sa tête le terrorisme et le trafic d’armes, d’explosifs et de drogues, et cela sous la direction des commandements des régions militaires de l’Armée nationale populaire, la police des frontières de la DGSN, et les groupes des garde-frontières sous le commandement de la gendarmerie.
Le rôle de l’armée se base, d’après ce qu’a appris El Khabar, sur l’augmentation des capacités de combat des douanes, dans la lutte contre les réseaux de trafic de drogues à travers les frontières terrestres.
Le siège du commandement de la Gendarmerie nationale a accueilli hier une rencontre qui a réuni des représentants des deux appareils pour signer un protocole d’accord dans le domaine de la lutte contre la criminalité transfrontalière.
El Khabar