Réputé pour sa nullité absolue, l’ancien ministre marocain des Affaires étrangères tente de faire un coming-back sur la scène politique du Golfe persique….
Alors que tout le monde croyait que l’ex-ministre des Affaires étrangères, Mohamed Benaïssa, avait sombré dans l’oubli, l’animal a subitement refait surface à la mi-avril. A Doha, au Qatar, à l’occasion du Forum international sur la démocratie, le développement et le libre commerce.
Si la majorité des pays arabes ont boycotté ces festivités en raison de la présence de la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, le royaume enchanté du Maroc a refusé de manger de ce pain. Le royaume de Mohammed VI était représenté par l’ambassadeur itinérant de Sa Majesté, Hassan Abouyoub. Et surprise ! Ce dernier s’est retrouvé nez-à-nez avec Mohamed Benaïssa, venu pérorer à Doha, à titre strictement personnel. Tiens donc, il faudrait avoir l’esprit bien mal tourné pour imaginer que l’ancien ministre ait tenté de faire croire qu’il représentait le royaume enchanté de Mohammed VI… Toujours est-il que face à la vacuité de ses propos à Doha, Rabat a cru bon faire savoir officiellement que le père Benaïssa ne représentait que lui-même et certainement pas le Maroc. Il faut dire qu’au vu de l’incompétence dont ce dernier a fait preuve lorsqu’il était aux manettes de la diplomatie marocaine (Lire ou relire dans Bakchich : Quand Benaïssa tire au flanc en Arabie Saoudite), il était plus prudent de remettre les pendules à l’heure.
C’est la seconde fois en un mois que Mohamed Benaïssa fait parler de lui. Début avril, il s’est débrouillé pour se faire décerner le prix Cheikh Zayed de « la personnalité culturelle de l’année », une distinction créée en 2006 par les Emirats Arabes Unis. Le prétexte invoqué cette fois était l’activisme débordant dont fait preuve Mohamed Benaïssa en tant que maire de la petite ville d’Asilah et l’un des fondateurs du Festival d’Asilah. On se pince pour y croire et personne n’est d’ailleurs dupe au royaume enchanté du Maroc où même la plupart des médias se sont empressés d’ignorer les gesticulations de l’animal.
bakchich
Alors que tout le monde croyait que l’ex-ministre des Affaires étrangères, Mohamed Benaïssa, avait sombré dans l’oubli, l’animal a subitement refait surface à la mi-avril. A Doha, au Qatar, à l’occasion du Forum international sur la démocratie, le développement et le libre commerce.
Si la majorité des pays arabes ont boycotté ces festivités en raison de la présence de la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, le royaume enchanté du Maroc a refusé de manger de ce pain. Le royaume de Mohammed VI était représenté par l’ambassadeur itinérant de Sa Majesté, Hassan Abouyoub. Et surprise ! Ce dernier s’est retrouvé nez-à-nez avec Mohamed Benaïssa, venu pérorer à Doha, à titre strictement personnel. Tiens donc, il faudrait avoir l’esprit bien mal tourné pour imaginer que l’ancien ministre ait tenté de faire croire qu’il représentait le royaume enchanté de Mohammed VI… Toujours est-il que face à la vacuité de ses propos à Doha, Rabat a cru bon faire savoir officiellement que le père Benaïssa ne représentait que lui-même et certainement pas le Maroc. Il faut dire qu’au vu de l’incompétence dont ce dernier a fait preuve lorsqu’il était aux manettes de la diplomatie marocaine (Lire ou relire dans Bakchich : Quand Benaïssa tire au flanc en Arabie Saoudite), il était plus prudent de remettre les pendules à l’heure.
C’est la seconde fois en un mois que Mohamed Benaïssa fait parler de lui. Début avril, il s’est débrouillé pour se faire décerner le prix Cheikh Zayed de « la personnalité culturelle de l’année », une distinction créée en 2006 par les Emirats Arabes Unis. Le prétexte invoqué cette fois était l’activisme débordant dont fait preuve Mohamed Benaïssa en tant que maire de la petite ville d’Asilah et l’un des fondateurs du Festival d’Asilah. On se pince pour y croire et personne n’est d’ailleurs dupe au royaume enchanté du Maroc où même la plupart des médias se sont empressés d’ignorer les gesticulations de l’animal.
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