bonjour
Comment peut-on tolérer cela ?
1-------- http://www.veganimal.info/IMG/rm/film_big_stream.rm
2----------La pisciculture est maintenant le secteur mondial de la production animale dont la croissance est la plus rapide.
L’aquaculture concerne aujourd’hui plus de 300 d’espèces et représente plus de 30 % de la production mondiale de poissons. La production de l’aquaculture française est de 270 000 tonnes par an.
Un poisson sur quatre consommé en France provient d’un élevage. Cette proportion atteint pratiquement 100 % pour des espèces comme le saumon ou la truite et 60 à 70 % pour le bar ou la daurade.
La France est le premier producteur mondial de truites d’élevage. La France est également le principal consommateur en Europe de saumon d’élevage, et le deuxième dans le monde, après le Japon.
En 1998, selon le recensement de la salmoniculture française (source Ministère de l’agriculture) :
66 % des sites de production ne traitent pas leurs rejets.
86 % des sites ont utilisé au moins 1 produit de traitement antiseptique (le formol est le plus usité).
58 % des sites ont utilisé au moins 1 antibiotique (la fluméquine est le plus répandue).
Les principaux producteurs de saumons d’élevage sont (source Ofimer) :
Norvège : 450 milliers de tonnes en 2002
Chili : 376
USA : 330
Japon : 232
Russie : 225
Le fait de garder un très grand nombre de poissons concentrés dans un secteur très réduit conduit à une pollution de l’environnement autour de ces élevages. Les déchets de poissons et d’aliments, les produits chimiques utilisés comme désinfectants, les antibiotiques contre les parasites, les stéroïdes pour produire plus de femelles, les médicaments et hormones pour accélérer leur croissance se mélangent à l’eau environnante et tuent l’écosystème des alentours.
Tous ces déchets en décompositions deviennent un mélange de phosphates, sulfure d’hydrogène et méthane responsable de la désoxygénation de l’eau et de la prolifération d’algues toxiques.
Pour chaque tonne de saumon produite, environ 100 kg de composés azotés comme l’ammoniac sont émis. En Ecosse, l’industrie piscicole a produit 7.500 tonnes d’azote durant l’année 2000. En comparaison, cela équivaut à l’évacuation d’une année d’eaux usées non-traitées de 3.2 millions d’humains.
Le saumon d’élevage est aussi responsable de la baisse des populations de saumons sauvages. Son évasion des centres de pisciculture est devenue un fait courant avec des centaines de milliers de saumons s’échappant annuellement des seules fermes écossaises.
La compétition créée par ces "fugitifs", ainsi que de leur transmission de maladies et de parasites aux poissons sauvages, sont responsables du déclin des populations de saumon sauvage dans des secteurs où se trouvent les grands nombres de centres de pisciculture. La situation est maintenant si mauvaise que la proportion d’anciens saumons d’élevage échappés est de 7 pour 1 saumon "authentique" sauvage.
3----------- http://gio.f2o.org/slaughter/
4-----------Rédaction par Virginie Bronzino
Chaque année en France, près de 3 millions d’animaux (cette estimation ne tient pas compte des animaux utilisés pour les expérimentations militaires) sont empoisonnés, soumis à des chocs électriques, aveuglés, ébouillantés, éventrés, condamnés à mourir de faim, soif, froid ou chaud...Dans les laboratoires industriels et universitaires. À l’échelle mondiale, c’est plus de 200 millions d’animaux qui endurent de douloureuses expériences pendant plusieurs semaines, mois et années.
Afin de mieux "anesthésier" l’opinion publique, les pays européens ont créé de prétendues chartes de "bien-être" des animaux de laboratoire, dont seul le vivisecteur contrôle et décide de la pertinence de leur application selon si elles sont compatibles avec l’expérimentation :
En Italie, la législation indique : "La vivisection ne peut être pratiquée que sous anesthésie -sauf -dans les cas ou l’usage de l’anesthésie est incompatible avec le but de l’expérience".
Autre hypocrisie : "Il est interdit de recourir pour d’autres expériences à un animal qui a déjà été soumis à la vivisection - sauf si c’est absolument nécessaire."
En Grande-Bretagne, pourtant dotée de la plus stricte législation pour le "bien-être" des animaux de laboratoire, selon les données publiées par le gouvernement britannique, plus de 80 % des expériences sont effectuées sans anesthésie.
Qui juge de l’usage indispensable ou non de l’anesthésie ou le fait d’utiliser plusieurs fois ou non le même animal ? Le vivisecteur ! Dans tous les pays, France compris, même un membre du gouvernement, dont dépend pourtant la législation sur l’expérimentation n’a pas accès aux laboratoires. Il est interdit de filmer ou photographier des expérimentations.
Les plus farouches abolitionnistes de la vivisection se trouvent souvent être des scientifiques, médecins, chercheurs (peut-être parce qu’ils savent ce qui se passe dans un laboratoire), au nom de la santé humaine, plutôt que certains protecteurs des animaux qui bien souvent répètent l’argumentation des vivisecteurs : "La vivisection est un mal nécessaire."
5---------- Les chats :
Une enquête au sein du CBSC (Carolina Biological Supply Company), le plus gros fournisseur d’animaux des états unis, montra des chats arrivant dans des cages surpeuplées, poussés avec des crochets en métal, avant d’être envoyés dans des chambres à gaz (certains chats continuaient d’accoucher ou de faire du bruit après le gazage, indiquant qu’ils n’étaient pas encore morts)
Comment peut-on tolérer cela ?
1-------- http://www.veganimal.info/IMG/rm/film_big_stream.rm
2----------La pisciculture est maintenant le secteur mondial de la production animale dont la croissance est la plus rapide.
L’aquaculture concerne aujourd’hui plus de 300 d’espèces et représente plus de 30 % de la production mondiale de poissons. La production de l’aquaculture française est de 270 000 tonnes par an.
Un poisson sur quatre consommé en France provient d’un élevage. Cette proportion atteint pratiquement 100 % pour des espèces comme le saumon ou la truite et 60 à 70 % pour le bar ou la daurade.
La France est le premier producteur mondial de truites d’élevage. La France est également le principal consommateur en Europe de saumon d’élevage, et le deuxième dans le monde, après le Japon.
En 1998, selon le recensement de la salmoniculture française (source Ministère de l’agriculture) :
66 % des sites de production ne traitent pas leurs rejets.
86 % des sites ont utilisé au moins 1 produit de traitement antiseptique (le formol est le plus usité).
58 % des sites ont utilisé au moins 1 antibiotique (la fluméquine est le plus répandue).
Les principaux producteurs de saumons d’élevage sont (source Ofimer) :
Norvège : 450 milliers de tonnes en 2002
Chili : 376
USA : 330
Japon : 232
Russie : 225
Le fait de garder un très grand nombre de poissons concentrés dans un secteur très réduit conduit à une pollution de l’environnement autour de ces élevages. Les déchets de poissons et d’aliments, les produits chimiques utilisés comme désinfectants, les antibiotiques contre les parasites, les stéroïdes pour produire plus de femelles, les médicaments et hormones pour accélérer leur croissance se mélangent à l’eau environnante et tuent l’écosystème des alentours.
Tous ces déchets en décompositions deviennent un mélange de phosphates, sulfure d’hydrogène et méthane responsable de la désoxygénation de l’eau et de la prolifération d’algues toxiques.
Pour chaque tonne de saumon produite, environ 100 kg de composés azotés comme l’ammoniac sont émis. En Ecosse, l’industrie piscicole a produit 7.500 tonnes d’azote durant l’année 2000. En comparaison, cela équivaut à l’évacuation d’une année d’eaux usées non-traitées de 3.2 millions d’humains.
Le saumon d’élevage est aussi responsable de la baisse des populations de saumons sauvages. Son évasion des centres de pisciculture est devenue un fait courant avec des centaines de milliers de saumons s’échappant annuellement des seules fermes écossaises.
La compétition créée par ces "fugitifs", ainsi que de leur transmission de maladies et de parasites aux poissons sauvages, sont responsables du déclin des populations de saumon sauvage dans des secteurs où se trouvent les grands nombres de centres de pisciculture. La situation est maintenant si mauvaise que la proportion d’anciens saumons d’élevage échappés est de 7 pour 1 saumon "authentique" sauvage.
3----------- http://gio.f2o.org/slaughter/
4-----------Rédaction par Virginie Bronzino
Chaque année en France, près de 3 millions d’animaux (cette estimation ne tient pas compte des animaux utilisés pour les expérimentations militaires) sont empoisonnés, soumis à des chocs électriques, aveuglés, ébouillantés, éventrés, condamnés à mourir de faim, soif, froid ou chaud...Dans les laboratoires industriels et universitaires. À l’échelle mondiale, c’est plus de 200 millions d’animaux qui endurent de douloureuses expériences pendant plusieurs semaines, mois et années.
Afin de mieux "anesthésier" l’opinion publique, les pays européens ont créé de prétendues chartes de "bien-être" des animaux de laboratoire, dont seul le vivisecteur contrôle et décide de la pertinence de leur application selon si elles sont compatibles avec l’expérimentation :
En Italie, la législation indique : "La vivisection ne peut être pratiquée que sous anesthésie -sauf -dans les cas ou l’usage de l’anesthésie est incompatible avec le but de l’expérience".
Autre hypocrisie : "Il est interdit de recourir pour d’autres expériences à un animal qui a déjà été soumis à la vivisection - sauf si c’est absolument nécessaire."
En Grande-Bretagne, pourtant dotée de la plus stricte législation pour le "bien-être" des animaux de laboratoire, selon les données publiées par le gouvernement britannique, plus de 80 % des expériences sont effectuées sans anesthésie.
Qui juge de l’usage indispensable ou non de l’anesthésie ou le fait d’utiliser plusieurs fois ou non le même animal ? Le vivisecteur ! Dans tous les pays, France compris, même un membre du gouvernement, dont dépend pourtant la législation sur l’expérimentation n’a pas accès aux laboratoires. Il est interdit de filmer ou photographier des expérimentations.
Les plus farouches abolitionnistes de la vivisection se trouvent souvent être des scientifiques, médecins, chercheurs (peut-être parce qu’ils savent ce qui se passe dans un laboratoire), au nom de la santé humaine, plutôt que certains protecteurs des animaux qui bien souvent répètent l’argumentation des vivisecteurs : "La vivisection est un mal nécessaire."
5---------- Les chats :
Une enquête au sein du CBSC (Carolina Biological Supply Company), le plus gros fournisseur d’animaux des états unis, montra des chats arrivant dans des cages surpeuplées, poussés avec des crochets en métal, avant d’être envoyés dans des chambres à gaz (certains chats continuaient d’accoucher ou de faire du bruit après le gazage, indiquant qu’ils n’étaient pas encore morts)
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