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Des écoles d’excellence pour les Bacheliers de 2009

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  • Des écoles d’excellence pour les Bacheliers de 2009

    Publication d’un cahier des charges pour la création des Universités privées dans deux semaines

    Le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a révélé la prochaine publication des textes de loi fixant les modalités de gestion des « écoles d’excellence », qui commenceront à accueillir les Bacheliers dès l’année prochaine.

    Le ministre de l’Enseignement Supérieur a animé hier une conférence de presse, en marge de la publication des statuts des enseignants du secteur. Il a affirmé que son ministère a eu des structures lui permettant de lancer des classes préparatoires pour les Bacheliers, préparés aux niveaux des grandes écoles, où ils auront des enseignants pouvant assurer une formation de qualité pour cette élite scientifique.

    Dans sa longue présentation des réformes appliquées actuellement dans le secteur de l’Enseignement Supérieur, il a expliqué que l’Université algérienne est appelée aujourd’hui à être en harmonie avec les transformations internationales. Il a ajouté que l’Algérie est le seul pays qui travaille toujours avec l’ancien système de l’enseignement, en parallèle avec le système LMD. On est passé de l’ancien au nouveau système d’enseignement pour les avantages de ce dernier, notamment en termes de Technologies de Communications. Le ministre a, par ailleurs, affirmé que les étudiants qui ont échoué dans l’ancien système ne seront pas admis dans le nouveau.

    M. Hraoubia a démenti l’existence d’une initiative visant à privatiser les universités. Il a juste affirmé que le ministère a mis en place un cahier des charges, qui sera publié, dans 15 jours, dans le journal officiel, et qui fixera les modalités de création des établissements d’enseignement supérieur appartenant au secteur privé. Toutes ces mesures visent, ajoute Hraoubia, à se rapprocher de plus en plus des normes internationales.

    El Khabar


  • #2
    Il a affirmé que son ministère a eu des structures lui permettant de lancer des classes préparatoires pour les Bacheliers, préparés aux niveaux des grandes écoles, où ils auront des enseignants pouvant assurer une formation de qualité pour cette élite scientifique.
    Ce genre d'école existe (l'ENPEI), mais le seul problème c'est qu'il n'y a pas bcp de choix pour le deuxième cycle. On n'a pas beaucoup d'école d'ingénieurs à part l'ENP, l'EMP, l'INILEC, Télecom Oran je vois pas qu'est ce qu'ils peuvent faire après ces écoles préparatoires, c'est tout un système à changer et à mon avis s'ils veulent vraiment introduire le système préparatoire en Algérie, ils doivent commencer par construire des écoles d'ingénieurs vu qu'ils veulent supprimer l'ancien système de l'université ...............
    ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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    • #3
      des écoles d'excellence c'est bien mais il faut qu'ELLES soient publiques et le concours d'entrée nationale et anonyme.

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      • #4
        l'ENPEI l'est
        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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        • #5
          M. Hraoubia a démenti l’existence d’une initiative visant à privatiser les universités. Il a juste affirmé que le ministère a mis en place un cahier des charges, qui sera publié, dans 15 jours, dans le journal officiel, et qui fixera les modalités de création des établissements d’enseignement supérieur appartenant au secteur privé. Toutes ces mesures visent, ajoute Hraoubia, à se rapprocher de plus en plus des normes internationales.
          Au cas ou un investiseur se décide de se lancer dans cette aventure, n'hésitez pas à me faire signe.

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          • #6
            on une ENPEISTE ici ,alors lamia ta fais ton prépa a coté de cher moi

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            • #7
              En tunisie et au Maroc, ceux qui font prépa peuvent passer le concours français pour intégrer les grandes écoles françaises. Ceux qui intégrent des écoles locales ont la possibilité de faire un double diplôme dans une école française. Bref; pour moi, la clé de la réussite est l'ouverture à l'international car c'est comme ça que l'algérie pourra répondre aux demandes de compètences des entreprises.

              Il y a une dizaine d'année, un programme expérimental de classes prépa a été lancé en Algérie et on avait promis aux étudiants qu'ils pouvaient passer les concours français. Résultat, quelques mois seulement avant les concours, on leur a annoncé que non...

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              • #8
                l'international ce n'est pas que le français.
                ce serait bien de s'inspirer aussi des écoles qui sont performantes en ce moment.
                je pense aux usa mais aussi a l'asie.le classement des universités françaises n'en font plus des modeles a copier.

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                • #9
                  kmou21,
                  ah t de ruiba, et moi qui croyais que t'étais huitcha (je les adore). Oui effectivement j'ai passé trois ans labas.
                  pour moi, la clé de la réussite est l'ouverture à l'international car c'est comme ça que l'algérie pourra répondre aux demandes de compètences des entreprises.
                  l'international pour toi c'est la France??
                  car c pratiquement le seul pays qui applique le système préparatoire, et si le Maroc et la Tunisie l'appliquent c'est parce qu'ils ont plusieurs écoles d'ingénieurs contrairement à nous (c'est l'université qui se chargeait de les former). on a surtout besoin d'un système cohérent.

                  Il y a une dizaine d'année, un programme expérimental de classes prépa a été lancé en Algérie et on avait promis aux étudiants qu'ils pouvaient passer les concours français. Résultat, quelques mois seulement avant les concours, on leur a annoncé que non...
                  là aussi tu parles de l'ENPEI, les élèves issus de cette école ne peuvent pas pas passer les concours français pour diverses raisons, et ce n'est pas parce que les autorités ne veulent pas, la principale raison est que ce n'est pas du tout le même programme, ni le même système, certains ont pu intégrer des grandes écoles mais pas par le biais du concours.
                  et je le répète encore une fois avant de penser à créer des écoles préparatoires ils faut d'abord avoir nos propres écoles d'ingénieurs.
                  ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                  • #10
                    je pense aux usa mais aussi a l'asie.le classement des universités françaises n'en font plus des modeles a copier.
                    faut aussi voir les critères de classement, car quand on voit que la première université française qui figure dans les classement est paris 6 (42 éme place) et que les grandes écoles sont au bas du classement c'est que il y quelque chose d'anormale. et c'est surtout dû au nombre restreint d'élèves dans ces écoles et non à la qualité de la formation.
                    ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                    • #11
                      et je le répète encore une fois avant de penser à créer des écoles préparatoires ils faut d'abord avoir nos propres écoles d'ingénieurs
                      Mais il y a déjà des centaines de milliers d'Ingénieurs qui se forment dans les universités algériennes.
                      Pourquoi tenir à des écoles d'ingénieurs, précisemment ?
                      L'université n'est pas assez performante ou quoi?

                      Je veux juste comprendre ton avis...

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                      • #12
                        Mais il y a déjà des centaines de milliers d'Ingénieurs qui se forment dans les universités algériennes.
                        Pourquoi tenir à des écoles d'ingénieurs, précisemment ?
                        L'université n'est pas assez performante ou quoi?

                        Je veux juste comprendre ton avis...
                        Je n'ai rien contre les ingénieurs formés par les universités algériennes, c'est le ministre qui veut changer le système et construire des classes préparatoires (le modèle français qu'on est pas obligé de suivre) et à mon avis ces classes ne servent à rien si c'est pour intégrer l'université par la suite

                        je trouve que c'est un peu incohérent...
                        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                        • #13
                          faut aussi voir les critères de classement, car quand on voit que la première université française qui figure dans les classement est paris 6 (42 éme place) et que les grandes écoles sont au bas du classement
                          dans ces criteres le nb et la qualité des travaux publiés est prépondérant.ainsi que les brevets bien sur.
                          les forumistes installés en asie ou aux usa rendraient bien des services en donnant leurs impresssions leurs expériences dans ces pays.

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                          • #14
                            J'ai donné la France comme exemple parce qu'ils sont les seuls à proposer un cursus "classes prépa"+ école d'ingé mais la france ne représente en aucun cas la seule ouverture "internationale". SI l'algérie adopte les classes prépas, il faudrait qu'elle ouvre des écoles d'ingé et ces écoles d'ingé doivent pouvoir proposer des doubles diplômes à l'étranger. Une bonne école de mesure également à son ouverture à l'internationale.

                            Concernant le classement mondial, si les écoles françaises ne sont pas bien classées, c'est uniquement à cause de leur 'petites tailles'. Ils ont des promos de 100-400 élèves, c'est rien par rapport à des grandes facs genre Imperial college, cambridge ou autre. En ce moment, ces écoles se regroupent par spécialité ou pas région pour monter dans les classements mondiaux.

                            Pour les classements des facs françaises, même pas la peine d'en parler. Il y a un manque d'investissement et de moyen flagrant. Tout pour les écoles d'ingé, rien pour les facs...

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                            • #15
                              Chaque pays qui a une longue histoire dans l’expérimental avait au cours du long parcours découvrir comment déjà déceler les lumières les former et ensuite protéger le tout.
                              l'ecole algerienne n'a pas pu mettre au point une methode pour mesurer le diplomé. je me demande comment savoir si on est dans le bon sens ou dans 180 degres de l'autre sens.je demande existe t'il de tel mesure en europe en amerique et en asie si oui y a'til un exemplaire?

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