Moh Oubelaïd revient avec du nouveau pour ses fans. “Awal d Amectuh” c’est le titre qu’il a choisi pour ce nouvel album qui sera disponible chez les disquaires à partir de ce dimanche. Il est l’un des rares artistes kabyles à respecter une rigoureuse règle de périodicité dans sa production. Moh Oubelaïd a, avec le temps, su construire et consolidé une fidélité réciproque avec son public qui ne cesse de s’élargir. Auteur compositeur et interprète de ses œuvres, il passe dans son style, pour une référence tout comme l’est Ferragui, Ahres et d’autres pour les jeunes générations. Loin du bruitage de la boîte à rythme, Moh Oubelaïd a tenu a s’épanouir dans l’environnement acoustique où se mêlent les sons mélodieux de la mandole, du qanoun, du violent, du nay, de la percussion, et les guitares. C’est son univers à lui. Et forcement ça le destingue des autres. Moh Oubelaïd passe désormais pour un label apprécié par les mélomanes, ce dimanche. Il revient à ces derniers avec un nouveau produit qui s’inscrit droit dans la ligne qu’il s’est tracé depuis ses débuts dans la chanson. Le nouveau CD a, pour titre, “Awal d Amectuh” (Le Mot magique) (la traduction est de lui). Dans cette superbe œuvre, Moh Oubelaïd s’imagine une rencontre avec son idéal féminin, pas évident à convaincre pour tisser ce lien qu’insiste spontanément un coup de foudre. L’album compte en tout, huit titres dont “Ala Kem” (L’unique), “Zik enni” (La Belle époque), “Ugadag Fellam” (La Destinée) qu’il a conçu dans un style qui rappelle les grandes œuvres de l’immense Idir, “Lagrur” (souffrances), “A ray-im” (conséquences), “I mettawen” (les larmes) et “Zwi erwi” (la mêlée), un titre qui a toutes les allures d’une belle gifle à l’encontre des nouveaux adeptes des reprises qui pullulent et polluent la chanson kabyle. “C’est mon avis, je l’assume pleinement. Je ne suis pas contre le non-stop mais contre les reprises”, assène l’artiste. A relever aussi la participation des Madjid Hallit et Smaïl Kabli, des chevronnés dans le domaine de l’arrangement et du mixage. L’œuvre sera donc disponible à l’appréciation du public dès ce dimanche. Moh Oubelaïd fête déjà ses “jumeaux” : son album, et sa toute nouvelle maison édition. “Solfège Music” lancée à l’occasion. Jaffar Chilab Source : La dépêche de Kabylie
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Moh Oubelaïd revient avec du nouveau pour ses fans. “Awal d Amectuh” c’est le titre qu’il a choisi pour ce nouvel album qui sera disponible chez les disquaires à partir de ce dimanche. Il est l’un des rares artistes kabyles à respecter une rigoureuse règle de périodicité dans sa production. Moh Oubelaïd a, avec le temps, su construire et consolidé une fidélité réciproque avec son public qui ne cesse de s’élargir. Auteur compositeur et interprète de ses œuvres, il passe dans son style, pour une référence tout comme l’est Ferragui, Ahres et d’autres pour les jeunes générations. Loin du bruitage de la boîte à rythme, Moh Oubelaïd a tenu a s’épanouir dans l’environnement acoustique où se mêlent les sons mélodieux de la mandole, du qanoun, du violent, du nay, de la percussion, et les guitares. C’est son univers à lui. Et forcement ça le destingue des autres. Moh Oubelaïd passe désormais pour un label apprécié par les mélomanes, ce dimanche. Il revient à ces derniers avec un nouveau produit qui s’inscrit droit dans la ligne qu’il s’est tracé depuis ses débuts dans la chanson. Le nouveau CD a, pour titre, “Awal d Amectuh” (Le Mot magique) (la traduction est de lui). Dans cette superbe œuvre, Moh Oubelaïd s’imagine une rencontre avec son idéal féminin, pas évident à convaincre pour tisser ce lien qu’insiste spontanément un coup de foudre. L’album compte en tout, huit titres dont “Ala Kem” (L’unique), “Zik enni” (La Belle époque), “Ugadag Fellam” (La Destinée) qu’il a conçu dans un style qui rappelle les grandes œuvres de l’immense Idir, “Lagrur” (souffrances), “A ray-im” (conséquences), “I mettawen” (les larmes) et “Zwi erwi” (la mêlée), un titre qui a toutes les allures d’une belle gifle à l’encontre des nouveaux adeptes des reprises qui pullulent et polluent la chanson kabyle. “C’est mon avis, je l’assume pleinement. Je ne suis pas contre le non-stop mais contre les reprises”, assène l’artiste. A relever aussi la participation des Madjid Hallit et Smaïl Kabli, des chevronnés dans le domaine de l’arrangement et du mixage. L’œuvre sera donc disponible à l’appréciation du public dès ce dimanche. Moh Oubelaïd fête déjà ses “jumeaux” : son album, et sa toute nouvelle maison édition. “Solfège Music” lancée à l’occasion. Jaffar Chilab Source : La dépêche de KabylieTags: Aucun(e)
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