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Des sources sûres ont indiqué que le colonel « S », qui commandait la garnison de Boujdour, a été condamné à 8 ans de prison ferme, pour détournement de provisions destinées aux habitants du Mokhayam et à la caserne qu’il commandait.
Selon la même source à Smara, l’ex-colonel, âgé de 60 ans, aurait été accusé, également de transfert de fonds vers des pays étrangers.
Les habitants de Boujdour étaient surpris par l’atterrissage matinal de deux hélicoptères, à la base militaire et par le mouvement inhabituel qui s’en est suivi, ce qui avait provoqué un arrêt de travail dans la plupart des administrations, pendant une demi-journée.
Les spéculations avaient attribué cette incursion subite à une commission de contrôle qui serait venue de Rabat pour enquêter sur les trafics perpétrés par l’ancien colonel et qui n’avaient épargné ni provisions, ni financements destinés aux habitants des Mokhayam.
A noter que l’arrestation du colonel et l’envoi d’une commission d’enquête font suite à une requête présentée par les représentants de certaines tribus sahraouies venus à Rabat où ils avaient rencontré Ahmed Herzenni et Ali El Himma auxquels ils ont adressé leur plainte.
Libération - Ahmadou El-Katab
Selon la même source à Smara, l’ex-colonel, âgé de 60 ans, aurait été accusé, également de transfert de fonds vers des pays étrangers.
Les habitants de Boujdour étaient surpris par l’atterrissage matinal de deux hélicoptères, à la base militaire et par le mouvement inhabituel qui s’en est suivi, ce qui avait provoqué un arrêt de travail dans la plupart des administrations, pendant une demi-journée.
Les spéculations avaient attribué cette incursion subite à une commission de contrôle qui serait venue de Rabat pour enquêter sur les trafics perpétrés par l’ancien colonel et qui n’avaient épargné ni provisions, ni financements destinés aux habitants des Mokhayam.
A noter que l’arrestation du colonel et l’envoi d’une commission d’enquête font suite à une requête présentée par les représentants de certaines tribus sahraouies venus à Rabat où ils avaient rencontré Ahmed Herzenni et Ali El Himma auxquels ils ont adressé leur plainte.
Libération - Ahmadou El-Katab
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