Mon cœur t’écrit de loin sur un lit de braises et des douleurs sans fin
Des maux sans accent ni refrain gris sur une page blanche écrite a la main
Seul avec mes murs et cette femme qui me chante l’amour indien
Et un cœur qui tombe dans les pommes a chaque souvenir du touché de tes mains
Mort le jour où je suis né et mille fois mort quand tu es parti avec l’horizon main dans la main
Me laissant avec un destin qui me piétine sur chaque chemin
Et des pas errants sans couleurs avec seul consolant mes yeux qui se ferment sur le regard du chien
Gris blanc, maigre aux yeux noisette et un ventre qui attend toujours demain
On ne parle pas le même langage, mais viens il ya des douleurs fraîches et des glaçons de vin
Dis moi se que tu as, n’es pas peur je ne suis pas humain, juste la créature d’un divin
Qui me couvre de bien, de l’air, du bleu, des yeux, mais je ne regarde pas loin
Mes couleurs a genoux sous ses pieds c’est la qu’ils prennent fin
Mais réveils toi, le printemps t’offre sa main faite d’une eau cristalline de la fontaine des mille et un saints
Jettes cette cane, tu n’as pas encore finis tes années mêlés au chiffre vingt
C’est triste oui, mais juste le rituel de la dernière rose embarqué dans le cœur d’un marin
Qui prend le large des regrets, vers l’île de l’oublie, cap océan indien
Des maux sans accent ni refrain gris sur une page blanche écrite a la main
Seul avec mes murs et cette femme qui me chante l’amour indien
Et un cœur qui tombe dans les pommes a chaque souvenir du touché de tes mains
Mort le jour où je suis né et mille fois mort quand tu es parti avec l’horizon main dans la main
Me laissant avec un destin qui me piétine sur chaque chemin
Et des pas errants sans couleurs avec seul consolant mes yeux qui se ferment sur le regard du chien
Gris blanc, maigre aux yeux noisette et un ventre qui attend toujours demain
On ne parle pas le même langage, mais viens il ya des douleurs fraîches et des glaçons de vin
Dis moi se que tu as, n’es pas peur je ne suis pas humain, juste la créature d’un divin
Qui me couvre de bien, de l’air, du bleu, des yeux, mais je ne regarde pas loin
Mes couleurs a genoux sous ses pieds c’est la qu’ils prennent fin
Mais réveils toi, le printemps t’offre sa main faite d’une eau cristalline de la fontaine des mille et un saints
Jettes cette cane, tu n’as pas encore finis tes années mêlés au chiffre vingt
C’est triste oui, mais juste le rituel de la dernière rose embarqué dans le cœur d’un marin
Qui prend le large des regrets, vers l’île de l’oublie, cap océan indien
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