bonjour tout le monde ,
qu'en pensez vous ?
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Le rôle des syndicats autonomes dans la scène politique
Plus de trente ans, et il n’a existé qu’une seule confédération qui représente le peuple algérien et défendre ses droits, L’union générale des travailleurs d’Algérie (UGTA). L’UGTA qui est d’ailleurs lié au parti FLN, est la seule confédération des syndicats algériens qui représente les mouvements sociaux aux yeux de l’état bien sûr.
Et comme cette confédération s’est faite discréditée aux yeux du peuple algérien, d’autres syndicats ont vu le jour dans les années 80 et 90 et surtout dans le secteur de l’éducation.
Des syndicats indépendants qui n’adhérent à aucun parti politique comme le SATEF. Mais l’état d’urgence instaurait à l’époque et qui est toujours en vigueur, laisse ces syndicats en proie de toute dissolution. Un état d’urgence qui déclare illégal toute activité syndicale, qui représente une menace pour l’ordre public.
Malgré l’illégalité de ses mouvements sociaux dans le cadre des syndicats, ses mouvements ont atteints leur apogée entre 2003-2004. Des revendications pour des salaires qui permettent une vie descente et qui s’adaptent aux flambés des prix, l’amélioration des conditions du travail et surtout une reconnaissance de l’activité des syndicats autonomes.
Mais aucune de ces revendications n’a trouvé une ouïe considérable de la part du gouvernement (Un gouvernement de Mr Ouyahia). Et pis encore, des membres de syndicats ont subit toutes les répressions possibles pour les faires taire (Suspensions des responsables des syndicats, gardes à vues et menaces physiques et harcèlement moral par le gouvernement et aussi par les hommes de l’UGTA).
Est-ce que les syndicats font peur à ce point à l’état actuel? La réponse peut se refléter dans la réaction immédiate de l’état envers ces syndicats autonomes. On a constaté à chaque révolte de ses mouvements l’état fait appel à l’Ouyahia du service pour les faire taire. Le scénario s’est fait répété deux fois en 2003-2004 et en 2008. La ou les questions qui se posent, combien de fois, on va faire appel à Mr Ouyahia ? Et combien de temps on va les faire taire ?
Les syndicats autonomes joueront-t-ils un rôle sur la scène politique ?
Le peuple algérien a perdu toute confiance en l’état actuel qui le gouverne et il n’accorde aucune crédibilité aux partis politiques existants.
Certes, il lui reste encore son gène qu’il a hérité de ses aïeuls, un gène appelé Courage-résistance, qui le stimule et le pousse à aller vers l’avant et à croire à un monde meilleur. Un gène qui l’a poussé d’ailleurs ces derniers temps à se révolter contre ses maux qui ne cessent d’augmenter. Les voix du peuple algérien se sont élevés dans différents endroits, en Kabylie en 2001, en Setif et ailleurs.
Des voix qui s’élèvent contre une administration nonchalante et corrompue. Mais comme ses voix ne sont pas bien recadrées et présentés par des organisations, sont vite étouffés.
Les syndicats peuvent être un espoir pour ce peuple ? On est à une période d’un an des élections, et des principes de la constitution vont se faire bafoués. Qu’attendent-t-ils, ces syndicats et leurs leadeurs pour réagir ???
Mahaut
Plus de trente ans, et il n’a existé qu’une seule confédération qui représente le peuple algérien et défendre ses droits, L’union générale des travailleurs d’Algérie (UGTA). L’UGTA qui est d’ailleurs lié au parti FLN, est la seule confédération des syndicats algériens qui représente les mouvements sociaux aux yeux de l’état bien sûr.
Et comme cette confédération s’est faite discréditée aux yeux du peuple algérien, d’autres syndicats ont vu le jour dans les années 80 et 90 et surtout dans le secteur de l’éducation.
Des syndicats indépendants qui n’adhérent à aucun parti politique comme le SATEF. Mais l’état d’urgence instaurait à l’époque et qui est toujours en vigueur, laisse ces syndicats en proie de toute dissolution. Un état d’urgence qui déclare illégal toute activité syndicale, qui représente une menace pour l’ordre public.
Malgré l’illégalité de ses mouvements sociaux dans le cadre des syndicats, ses mouvements ont atteints leur apogée entre 2003-2004. Des revendications pour des salaires qui permettent une vie descente et qui s’adaptent aux flambés des prix, l’amélioration des conditions du travail et surtout une reconnaissance de l’activité des syndicats autonomes.
Mais aucune de ces revendications n’a trouvé une ouïe considérable de la part du gouvernement (Un gouvernement de Mr Ouyahia). Et pis encore, des membres de syndicats ont subit toutes les répressions possibles pour les faires taire (Suspensions des responsables des syndicats, gardes à vues et menaces physiques et harcèlement moral par le gouvernement et aussi par les hommes de l’UGTA).
Est-ce que les syndicats font peur à ce point à l’état actuel? La réponse peut se refléter dans la réaction immédiate de l’état envers ces syndicats autonomes. On a constaté à chaque révolte de ses mouvements l’état fait appel à l’Ouyahia du service pour les faire taire. Le scénario s’est fait répété deux fois en 2003-2004 et en 2008. La ou les questions qui se posent, combien de fois, on va faire appel à Mr Ouyahia ? Et combien de temps on va les faire taire ?
Les syndicats autonomes joueront-t-ils un rôle sur la scène politique ?
Le peuple algérien a perdu toute confiance en l’état actuel qui le gouverne et il n’accorde aucune crédibilité aux partis politiques existants.
Certes, il lui reste encore son gène qu’il a hérité de ses aïeuls, un gène appelé Courage-résistance, qui le stimule et le pousse à aller vers l’avant et à croire à un monde meilleur. Un gène qui l’a poussé d’ailleurs ces derniers temps à se révolter contre ses maux qui ne cessent d’augmenter. Les voix du peuple algérien se sont élevés dans différents endroits, en Kabylie en 2001, en Setif et ailleurs.
Des voix qui s’élèvent contre une administration nonchalante et corrompue. Mais comme ses voix ne sont pas bien recadrées et présentés par des organisations, sont vite étouffés.
Les syndicats peuvent être un espoir pour ce peuple ? On est à une période d’un an des élections, et des principes de la constitution vont se faire bafoués. Qu’attendent-t-ils, ces syndicats et leurs leadeurs pour réagir ???
Mahaut
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