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images de Berriane y a quelques jours

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    le calme semble revenir mais helas y a eu des victimes

  • #2
    un commentaire trouvé
    ....''.il est tristement drôle de constater qu'on ne manque pas de ressources pour creuser toujours plus profond vers l'Enfer.... Bahdeltouna ya Djouhal''
    Dernière modification par Sioux foughali, 20 mai 2008, 00h26.

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    • #3
      Mais ce n'est pas possible! C'est quoi cette passivité du service de sécurité? Aucune autorité!
      "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
      Socrate.

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      • #4
        Mais ce n'est pas possible! C'est quoi cette passivité du service de sécurité? Aucune autorité!
        Tu veux qu'ils frappent tout le monde comme ca on vivra dans une dictature.
        C'est la violence de ces gens. voila ce qui est impardonable.
        Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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        • #5
          Tu veux qu'ils frappent tout le monde comme ca on vivra dans une dictature.
          C'est la violence de ces gens. voila ce qui est impardonable.
          C'est une force anti émeutes, et de maintien de l'orde, les agents doivent s'interposer entre les deux groupes, ce qu'on ne voit pas du tout dans la vidéo.

          Une "violence proportionnée" peut être utilisée pour éviter le pire.
          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
          Socrate.

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          • #6
            ATTENTION ! MANIP' A BERRIANE -Ghardaïa-

            Ce n’est pas révéler un grand secret que de dire de la Station Radio Méditerranée - « MEDI-1 » pour les intimes -, qui émet depuis Tanger, est une espèce d’appendice médiatique particulièrement hostile à l’Algérie en général, comme elle l’a amplement démontré tout au long des deux dernières décennies. Une espèce de Radio "post Foccardienne" si on veut....
            Or, et bien qu’il me soit souvent arrivé de partager certaines diatribes de la chroniqueuse Salima Ghezali contre notre pauvre système politique, je ne puis m’empêcher d’apporter la contradiction totale à cette journaliste, s’agissant de sa chronique de ce matin du 18 Mai au sujet des violences qui ont lieu à Berriane près de Ghardaïa, entre Mozabites, d’obédience Ibadite et Châ’ambas, d’obédience Malékite qui constituent depuis toujours, des communautés vivant en bonne intelligence mais de temps à autre secouées par des incidents, somme toute propres à la coexistence de communautés tant soit peu diversifiées, de par leurs langues ou leurs cultures.
            Cela fait tout de même plus d’un millénaire que les habitants de l’ensemble de la Vallée du M’zab – autour de Ghardaïa - coexistent avec les mêmes aléas et les mêmes vicissitudes qu’imposent la diversité et le voisinage.
            Or, le plus étonnant dans le cas d’espèce que nous traitons ici, c’est que cette flambée de violence ne semble avoir aucune cause objective et sérieuse. Pourquoi donc Mme Salima Ghezali s’est-elle lancée ce matin dans cette inextricable cascade d’amalgames et de mensonges, en affirmant que la « minorité berbère mozabite » et travailleuse, a été débordée par les Arabes Châ’ambas, qu’elle a qualifiés de trabendistes issus de la période du FIS….etc..etc…Et que la pauvre minorité mozabite ne bénéficiait nullement de la rente pétrolière, laissant ainsi à penser, que les Arabes Châ’ambas, croulaient eux sous les pétrodollars….
            Quels sont donc les non-dits énigmatiques de ce qui ressemble fort à un début de campagne médiatique soigneusement coordonnée au sein de la presse nationale francophone, avec des articles parus ce matin sur le même sujet, en particulier dans le quotidien El Watan ; articles dont les auteurs font délibérément dans l’émotionnel et l’amalgame, relayés depuis Alger, ici, par le député Aït Hammouda, là par le Communiqué du RCD demandant une enquête officielle…
            Il y a comme qui dirait, de la manipulation dans l’air. On a comme l’impression d’un « déjà vu quelque part » - Au fait, nous y voilà ! Çà ressemble au scénario de Walid Jumblat, retour de Washington…..Ici bien sûr, il s’agit de M. Saïd Saâdi….récemment de passage à Washington.....
            Un premier bon conseil aux apprentis sorciers stipendiés ou bénévoles : les criminels politiques finissent tôt ou tard par être démasqués. Même après leur mort, comme c’est le cas pour le criminel François Mitterrand, l’assassin de Larbi Ben M’Hidi, dénoncé par son complice Aussaresse, un demi siècle plus tard.
            Un second conseil : Tous les conflits passés entre Châ’ambas et Mozabites ont été réglés in fine, par des notables issus des deux communautés et dont le crédit moral était incontesté de part et d’autre. Pourquoi alors ne pas leur confier une mission de réconciliation comme naguère ?
            Quelles sont donc les parties qui ont quelque intérêt dans l’aggravation de la situation ?
            En tout état de cause, les graves incidents de Berrinae témoignent une fois de plus de la paralysie d’un pouvoir malade ; un pouvoir dont la déliquescence manifeste est en train de donner des idées à toute une frange d’aventuriers politiques qui ne reculeront devant aucune forfaiture pour nourrir des ambitions ou conserver des privilèges. Vous remarquerez que je ne parle ni du Wali de Ghardaïa, ni des autorités de Berriane. On ne parle pas du vide....
            Ainsi que me l’a fait observer un vieil ami de la région : « Ils ont remarqué que les Châ’ambas et les Mozabites commençaient à mieux vivre ensemble, à se fréquenter les uns les autres, s’invitant réciproquement lors des mariages ou faisant montre de compassion et de solidarité, à l’occasion des funérailles dans les quartiers mixtes. On voit même depuis quelques années, des Imams de l’une des Communautés, aller faire des prêches dans les Mosquées de l’autre Communauté. Ç’en était trop pour Eux !» - C’est QUI, Eux, dis-je, pour le taquiner ?
            (Abdelkader DEHBI)

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            • #7
              Ce n’est pas révéler un grand secret que de dire de la Station Radio Méditerranée - « MEDI-1 » pour les intimes -, qui émet depuis Tanger, est une espèce d’appendice médiatique particulièrement hostile à l’Algérie en général, comme elle l’a amplement démontré tout au long des deux dernières décennies.

              ...............................


              Les vidéos parlent d'elles mêmes .Pas besoin de Medi I.

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              • #8
                J'ai mal de voire ça dans mon pays. De voire tant de haine entre algériens.
                J'espère qu'on franchira pas la ligne de non retour ou la reconciliation ne sera plus possible.

                Que Dieu protege notre et nos compatriote.

                Allah yerheme ga3 lematou

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                • #9
                  chicha51,
                  les images montrent un état absent, des jeunes lançant des pierres et des cris ...
                  Pourquoi tous ces échauffourées ? Personne ne le sait.
                  Serait-ce une nouvelle épisode de déstabilisation ! ils peuvent toujours courir.

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                  • #10
                    Après les événements de Berriane (Ghardaïa)

                    Des familles accusent l’Etat de ne pas les avoir protégées




                    Quelque 300 familles mozabites passent leur deuxième nuit dans la rue. Elles se sont installées à la sortie de la ville de Berriane, après avoir perdu leurs maisons qui ont été incendiées. Elles réclament une enquête sur les événements et le report des examens de fin d’année au mois de septembre. Mêmes revendications du côté des sinistrés de la communauté arabophone qui se sont regroupés au centre-ville pour exiger l’indemnisation des 190 familles.


                    Berriane. De notre envoyée spéciale
                    Les habitants de Berriane ont passé leur première nuit dans le calme depuis jeudi dernier. La route nationale séparant désormais les voisins rivaux, Mozabites et arabophones, est occupée par un impressionnant cordon de sécurité. De nombreux camions transportant meubles et affaires personnelles continuent de traverser la ville, sous la protection des policiers et gendarmes. En attendant l’enterrement de la deuxième victime, un homme âgé de 67 ans, prévu aujourd’hui, quelque 300 familles mozabites des quartiers arabes (Kef Hamouda, Haï Mada et Haï El Moudjahidine), dont les maisons ont été saccagées et brûlées, ont passé leur deuxième nuit dans la rue, à quelques kilomètres de la ville de Berriane, sur la route de Gourara, non loin d’une caserne militaire. A peine une dizaine de tentes collectées par les scouts et les médecins de la région sont dressées à même la chaussée pour abriter les femmes et les enfants, qui partagent un espace très réduit et vivent dans des conditions extrêmement difficiles. Des drapeaux et une immense banderole sur laquelle on pouvait lire : « Du terrorisme des montagnes au terrorisme de la ville » sont hissés pour dénoncer la « passivité » des autorités face à cette tragédie. « Comment voulez-vous que nous restions au milieu de ceux qui brûlaient nos maisons et saccageaient nos biens ? Les services de sécurité ne voulaient pas intervenir. Ils ont laissé la situation pourrir et voilà où nous en sommes arrivés », déclare une femme en pleurs. Elles sont sept mères de famille avec une quinzaine d’enfants à se regrouper autour d’un repas de fortune. Parmi elles, la mère de Lasaker et l’épouse de la victime tombée, lors des premiers événements, il y a deux mois. « Mon fils aîné a tout fait pour qu’il n’y ait pas d’autres morts. Durant deux mois, nous avons tenté de rétablir les ponts avec nos voisins, mais des personnes étrangères sont venues provoquer la fitna. Aujourd’hui, nous sommes chassés de nos maisons. Beaucoup d’entre nous n’ont même pas eu le temps de prendre leurs papiers ou leurs affaires. Ils ont fui les mains sur la tête », explique Mme Lasaker. Pour toutes ces femmes, la tragédie a été provoquée par des gens étrangers à la ville de Berriane. « Des gens qui n’arrivaient pas à accepter la cohabitation entre les communautés. Ils ont monté un plan machiavélique en profitant de l’absence de l’Etat. Ils ont semé la peur et la terreur dans les quartiers, avant d’entamer les attaques contre les plus récalcitrants d’entre nous. Nos nombreuses plaintes contre les agressions physiques, morales et verbales sont restées sans suite, ce qui a encouragé les ennemis de notre région à passer à l’étape de la violence », explique le père Lasaker. Son cousin intervient brutalement dans la discussion et nous lance : « Si on arrive au point où les femmes mozabites sortent dans la rue, c’est que vraiment le couteau est arrivé à la gorge. Les autorités locales sont les premières responsables de cette situation et il n’est pas question maintenant de revenir dans nos quartiers. Nous voulons juste récupérer ce qui reste de nos biens sans prendre le risque de se faire agresser. » Vers 15h. Des camions déchargent des vivres, des matelas et des couvertures collectés par des privés. « Vous voyez, c’est la solidarité entre les familles qui nous permet de survivre. Tous les commerçants nous aident selon leurs moyens, mais nous ne voulons plus revenir dans les quartiers arabes et l’Etat qui a failli à sa mission d’assurer la protection des biens et des personnes est dans l’obligation de nous trouver des gîtes », lance un sexagénaire. Pendant des heures, et sous un soleil de plomb, les sinistrés ne cessent de raconter dans le détail les nuits cauchemardesques qu’ils ont passées. « Nous préférons la chaleur de l’été, les tempêtes de sable comme celle de dimanche et les affres de la rue que de retourner vivre dans un quartier plein de haine », déclare un père de famille, dont les 5 enfants tous en bas âge ont dormi deux nuits consécutives à la pleine lune avec leur mère avant que les tentes ne leur soient attribuées.
                    Les sinistrés du quartier Est réclament une indemnisation
                    Toutes ces familles réclament une commission d’enquête « pour faire la lumière » sur ce qui s’est passé et situer la responsabilité de chacun dans cette tragédie. Elles demandent que l’Etat recense tous les sinistrés, ouvre une enquête sur les circonstances et les auteurs de ces actes pour les traduire en justice, indemnise les victimes, reporte tous les examens de fin d’année au mois de septembre prochain et enfin dépêche une équipe de psychologues pour suivre les enfants traumatisés. Ce sont là, précisent nos interlocuteurs, les principales et urgentes mesures à prendre pour calmer les esprits des uns et des autres. Les mêmes revendications sont avancées par les sinistrés de l’autre camp, qui se sont regroupés au centre-ville, à la limite de la route nationale qui sépare les deux communautés. Encadrés par de nombreux policiers et gendarmes, eux aussi reprochent à l’Etat de ne pas les avoir protégés lorsque les Mozabites brûlaient leurs maisons et les ont chassés de leurs quartiers. Pour eux, la crise est purement religieuse. « Les ibadites n’ont jamais accepté les malékites. Ils ne nous considèrent pas comme des leurs. Ils nous ont de tout temps rejetés et veulent que nous partions de la ville. Or nous sommes de la région et nous ne partirons pas », déclare Boudi Slimane. Originaire de Béjaïa, cela fait 17 ans qu’il habite parmi les Mozabites. Maître Zerouk Baya abonde dans le même sens et affirme qu’elle était très respectée, du fait qu’elle enseignait la langue française aux femmes mozabites. « Ils m’ont sollicitée pour apprendre aux femmes la langue française et je n’aurais jamais imaginé qu’un jour je pouvais être chassée de ma maison. Je n’ai eu que le temps de prendre la fuite, lorsqu’ils ont mis le feu à ma demeure. Comment voulez-vous qu’aujourd’hui je puisse reprendre une vie normale parmi eux ? », s’exclame cette femme, d’une cinquantaine d’années. Ferhala Mohamed, Belamri Abdelkader et tant d’autres sont résolus à ne pas réintégrer leurs domiciles situés dans les quartiers ouest et exigent des autorités une indemnisation, parce que, disent-ils, elles sont responsables de cette situation. « Les services de sécurité ont de tout temps été du côté des Mozabites. Ils n’ont jamais voulu assurer la sécurité et imposer l’autorité de l’Etat dans les quartiers. Aujourd’hui, nous sommes arrivés à un point de non retour. Nous sommes des citoyens de cette région et nous refusons de partir », lance un autre citoyen, avant que la discussion ne tourne au vinaigre entre nous. Les sinistrés deviennent virulents, lorsque nous leur avons expliqué que nous ne pouvons être les avocats des uns ou des autres. Ils versent alors dans des propos virulents, nous menaçant de ne plus nous autoriser à entrer dans leurs quartiers. Enfin, du côté des autorités locales, une cellule de crise installée par le wali, samedi, tenait sa réunion hier, dont l’ordre du jour a été consacré à la prise en charge de tous les sinistrés. Il est question de les recenser et de les loger et d’indemniser les commerçants. Néanmoins, il reste à régler un épineux problème, celui de faire accepter aux deux communautés le principe de cohabiter, comme cela a été le cas auparavant. Parce que, faut-il le préciser, les deux refusent catégoriquement de reprendre vie ensemble. Pourtant, Mozabites et arabophones reconnaissent qu’il n’y a aucun différend qui les oppose. C’est en fait la défaillance des institutions de l’Etat, chargées de la protection des biens et des personnes ainsi que du respect de la vie en communauté qui a fait que la haine s’installe progressivement. Les autorités ont très mal géré, pour ne pas dire laisser perdurer les provocations des uns et des autres, pour finir par provoquer l’effet boule de neige. Si un calme précaire règne sur la ville de Berriane, c’est uniquement parce que les services de sécurité ont assiégé les deux quartiers pour séparer les voisins rivaux. Mais jusqu’à quand ? Ni les uns ni les autres n’ont pu donner de réponse.

                    Salima Tlemçani
                    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                    Socrate.

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                    • #11
                      Une autre vidéo un peu plus rationnelle :



                      Mais la manipulation n'est pas à écarter.

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                      • #12
                        Soyons sérieux!
                        Il y a un problème sérieux au lieu de crier à la manipulation il vaut mieux analyser les causes réelles et éviter l'irréparable.
                        Tenter d'accuser Said Saadi, quelque soit notre avis sur sa vision politique, c'est faire soi mème dans la plus abject des manipulations.
                        En toute fraternité!
                        Oumerri
                        Ledzayer tezdegh ul-iw
                        Dzayer sakna fi qelbi

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                        • #13
                          C'est tellement préhistorique leur affaire et d'une absurdité, qu'on est tenté de croire à tout. Et l'autre cave de Said Sadi qui a pris position avec une partie contre l'autre (voir l'article de AEK Dehbi), si ce n'est pas incendiaire....
                          Si c'est un conflit religieux, on aura tout vu....

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                          • #14
                            Bonjour.

                            L'anarchie dans toute sa splendeur !



                            Si ce n'est pas malheureux de voir ça !
                            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                            • #15
                              Toujours à coté de la plaque!

                              Zerhouni refuse de lier les actes de violence à la pauvreté
                              « Des bandes de jeunes sont derrière les actes de destruction à Berriane »

                              Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Nourredine Yazid Zerhouni, a accusé cequ’il a appelé « des bandes de quartiers » d’avoir préparé à l’avance les actes de violence qu’a connus la ville de Berriane, dans la wilaya de Ghardaïa, ces deux derniers jours. Il a déclaré au sujet de la crise des prisonniers algériens en Libye, que les deux pays se sont entendus afin que les Libyens incarcérés en Algérie purgent le restant de leur peine dans leur pays et vice versa.
                              El Khabar a demandé hier au ministre de l’Intérieur, avant le lancement des assises de l’enseignement supérieur à Club des Pins, s’il détenait des informations indiquant qu’une partie quelconque aurait préparé les évènements de Berriane, qui ont causé la mort de deux personnes. Il a répondu : « Oui je peux penser cela…au moins au niveau des petits groupements de jeunes », en indiquant que les observateurs locaux ont remarqué que les individus qui sont sortis dans les rues pour tout détruire et mettre le feu étaient encagoulés, ce qui signifie, selon Zerhouni, que la violence avait été préparée avec préméditation.
                              Par ailleurs, Zerhouni a refusé de lier les vagues de violence qu’ont connues plusieurs wilayas à la pauvreté qui touche de larges catégories de citoyens. Il a répondu lorsqu’on l’a interrogé à ce sujet : « Est-ce que ce phénomène n’existe qu’en Algérie ? Vous remarquez que plusieurs pays font face à des problèmes provoqués par des groupes de jeunes dans les quartiers », allusion faite à la crise des banlieues parisienne en France, l’année dernière. De plus, le ministre de l’Intérieur a nié que la pauvreté soit une source de colère sociale en déclarant : « Les conditions des Algériens se sont améliorées au niveau matériel. La consommation des produits ordinaires, comme les aliments et les vêtements, a augmenté. Cependant je ne dis pas que l’Etat a trouvé des solutions à tous les problèmes des Algériens, et je ne peux pas cacher que la vie est devenue chère, mais en contrepartie, les revenus des Algériens ont augmenté, même si cela n’est pas suffisant ».



                              20-05-2008
                              Par H. Yes/ Traduit par F.L
                              "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                              Socrate.

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