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    mardi 27 novembre

    La Banque du Vatican au hit-parade des dix destinations les plus utilisées pour le blanchiment d’argent
    Selon une source internationale, le Vatican est le principal destinataire de plus de 55 milliards de dollars US d’argent sale italien et se place à la huitième place des destinations utilisées à travers le monde pour le blanchiment d’argent, devant des paradis fiscaux comme les Bahamas, la Suisse ou le Liechtenstein.
    Une enquête récente du "London Telegraph" et du "Inside Fraud Bulletin", cite la Cité du Vatican [1] comme étant un des principaux États "cut out" au même titre que des paradis fiscaux tels que Nauru, Macao et l’Ile Maurice. Un État "cut out" est un État dans lequel la législation sur le secret bancaire rend impossible la traçabilité de l’origine des fonds qui y sont déposés.
    La Banque du Vatican tente désespérément de s’opposer à une plainte en justice déposée par des survivants serbes et juifs de la Shoah devant la cour fédérale de San Francisco (Affaire "Alperin contre la Banque du Vatican") et visant à l’obliger à rendre compte de fonds spoliés lors de la Deuxième Guerre Mondiale [2]. S’opposant à ces accusations, l’avocat de la Banque du Vatican, Franzo Grande Stevens a déclaré sous serment devant la cour, que la "raison d’être fondamentale [de la Banque du Vatican] est de promouvoir des actes de piété" et que ses clients dépositaires sont "essentiellement des employés de l’État de la Cité du Vatican, des membres du Saint Siège, des congrégations religieuses ainsi que des personnes déposant des sommes destinées pour une part au moins à des œuvres de piété." Stevens a également déclaré à la cour que la Banque du Vatican est sous le contrôle du Pape et que les registres de la banque ne sont pas conservés au-delà d’une période de dix ans.
    Il semblerait que la Banque du Vatican utilise l’image positive du Pape Jean Paul II pour masquer une opération de blanchiment d’argent de grande envergure. La Banque du Vatican a déjà été accusée par le passé d’héberger des fonds spoliés par les Nazis et est actuellement soupçonnée d’entretenir des liens avec le milieu du crime organisé, en conséquence le moment où elle devra rendre des comptes semble ne plus être bien loin. Les preuves s’empilent et tendent à démontrer que les activités de la banque s’apparentaient plus à des actes de piraterie que des œuvres de piété [3].
    Me Jonathan Levy et Me Thomas Dewey Easton, avocats à la cour fédérale de San Francisco

    [1] À la différence des autres paradis fiscaux, le blanchiment d’argent n’est pas opéré dans l’État de la Cité du Vatican par des banques privées, mais par la Banque centrale (Istituto per le opere di religione). Celle-ci est reconnue par la Banque des règlements internationaux (Bank for International Settlements). À partir du 1er janvier 2002, elle sera autorisée à émettre des euros vaticans, alors même que l’État de la Cité du Vatican n’est pas membre de l’Union europénne (Ndlr).
    [2] Cf. http://www.vaticanbankclaims.com
    [3] Dans les années quatre-vingt, le Saint-Siège, qui avait été gravement mis en cause dans le scandale du Banco Ambrosiano, prétendit avoir été victime d’un aigrefin, Michele Sindona, que le pape Paul VI avait imprudemment nommé conseiller financier du Vatican. L’enquête du juge Ferdinando Imposimato a démontré par la suite que Michele Sindona avait été choisi en connaissance de cause par le Saint-Siège parce qu’il était, depuis 1957, le banquier de Cosa Nostra. Pour financer la lutte contre la théologie de la libération en Amérique latine, Paul VI avait accepté de faire alliance avec la mafia. Après le règlement des dettes de l’Ambrosiano, le Saint-Siège s’est efforcé de faire accroire qu’il avait définitivement assaini sa situation. L’étude publiée par l’Inside Fraud Bulletin montre qu’il n’en est rien (Ndlr).

  • #2
    article datant de 2001

    Commentaire


    • #3
      superfifi

      lis un peu ce qui suit:


      Par Greg Szymanski, 25 Septembre 2006
      L'ancien évêque du Guatemala dénonce le contrôle des Jésuites et du Vatican sur le Nouvel Ordre Mondial. Selon l'ancien évêque Gérard Bouffard, le chef des Jésuites, Peter Hans Kolvenbach, donne l'ordre de marche au Pape. Il appuie dès lors les accusations faites par Alberto Rivera sur l'ordre sinistre des Jésuites.
      L'ancien évêque du Guatemala, Gerard Bouffard, a affirmé que le Vatican est "celui qui contrôle en réalité spirituellement" les Illuminati et le Nouvel Ordre Mondial. Dans le même temps, les Jésuites, à travers le Pape noir, Peter Hans Kolvenbach, contrôlent la hiérarchie du Vatican et l'église catholique romaine.
      L'évêque Bouffard, qui a quitté l'église catholique et est maintenant un chrétien né de nouveau vivant au Canada, a basé sa conclusion après avoir travaillé six ans comme prêtre du Vatican, assigné à la correspondance sensible entre le Pape et les dirigeants de l'ordre des Jésuites résidant à Borgo Santo Spirito, près de la place Saint Pierre.
      "En effet, l'homme connu sous le nom de Pape noir contrôle toutes les décisions majeures faites par le Pape et contrôle alternativement les Illuminati," a déclaré l'évêque Bouffard la semaine dernière dans l'émission de greg Szymanski, le journal d'investigation, sur la radio GCNLive.com où les archives de ses déclarations saisissantes peuvent être entendues dans leur intégralité.
      "Je sais que ceci est vrai depuis que j'ai travaillé des années au Vatican et voyagé avec le Pape Jean-Paul II. Le Pape prend ses ordres de marche du Pape noir. Les Jésuites sont en définitive les véritables dirigeants du Nouvel Ordre Mondial, avec des opérations d'infiltration d'autres religions et gouvernements du monde dans le but d'apporter un gouvernement fasciste mondial et une religion mondiale basée sur le satanisme et la religion Luciférienne.
      "Personne n'imagine à quel point les dégats qu'ils causent et vont encore causer sont diaboliques, alors qu'ils agissent sous une couverture parfaite qui les fait apparaître comme des hommes de Dieu."
      Les révélations de première main de l'évêque Bouffard sur ce danger diabolique au sein de la hiérarchie du Vatican et particulièrement dans l'ordre des Jésuites confirme le témoignage d'autres chercheurs, comme Bill Hughes, auteur du livre "Secret Terrorists", ainsi que le spécialiste de l'ordre Jésuite, Eric Jon Phelps, auteur de "Vatican assassins".
      L'évêque Bouffard affirme que le pouvoir occulte des Jésuites s'étend à travers le monde, incluant une solide infiltration du gouvernement fédéral des Etats-Unis d'Amérique, du Conseil des Relations Etrangères (CFR) et des organisations religieuses majeures. Selon l'évêque Bouffard, les Jésuites agissent comme les caméléons, prenant l'identité des Protestants, des Mormons, des Baptistes et des Juifs, dans l'intention d'amener la déchéance de l'Amérique en dirigeant le pays grâce à une religion mondiale basée à Jérusalem.
      "Le Vatican contrôle et dirige tout en Israël dans l'intention de détruire les Juifs", continue l'évêque Bouffard. Le véritable objectif de l'ordre des Jésuites serait d'amener tous les dirigeants du monde dans un conflit mondial majeur qui détruira au final l'Amérique, le Proche-Orient et Israël. "Ils détruisent tout de l'intérieur et veulent amener la destruction de l'église catholique, dans le but d'y introduire une religion mondiale basée sur le Satanisme. Cela peut d'ailleurs se voir dans les paroles de la messe, qui exaltent la mort, ainsi que dans les symboles qui ornent les églises, relevant typiquement du satanisme."
      Après son service à Rome, l'évêque Bouffard servit en Afrique et au Guatemala, s'élevant à une position de pouvoir au sein de l'église. Peu importe comment, avec ce pouvoir religieux est venue l'affiliation à la franc-maçonnerie, dans laquelle il devint membre du trente septième degré, pratique en apparence réprouvée par l'église catholique romaine. En droit canonique, un membre de loge maçonnique est immédiatement excommunié. Mais selon l'évêque Bouffard, la Franc-maçonnerie est utilisée par l'église pour exécuter ses desseins secrets. Des prêtres de haut rang, des évêques, des cardinaux et même des papes auraient rejoint des sociétés secrètes.(...)
      Ses déclarations éclairent d'un jour nouveau des rapports qui furent publiés dans des journaux italiens et français au début des années 1980: plus de 150 prêtres hauts placés avaient été dévoilés comme membres de la Franc-maçonnerie, dont la fameuse loge maçonnique P2, et d'autres sociétés secrètes.
      "Je suis finalement né de nouveau et j'ai dénoncé l'église catholique", raconte l'évêque Bouffard, qui est maintenant un chrétien vivant selon la Parole de Dieu, la Bible. "Nous devons toujours prier pour nos bergers en dénonçant ouvertement le Diable et en exposant les Jésuites pour ce qu'ils sont réellement." (...)
      Greg Szymanski

      Traduit par Nicolas Walz

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